Ces 10 dernières années ont vu une prolifération d’initiatives internationales pour encourager les pratiques d’entreprise responsables – au prix peut-être d’une certaine confusion. De nombreux instruments sont apparus : codes de conduite, mécanismes de certification et de labellisation, codes-types ou encore initiatives sectorielles… Tous élaborés de manière à aider les organisations privées et de la société civile à évaluer les situations relatives au développement durable, au changement climatique ou à la réduction de la pauvreté, et à y apporter des solutions.
Ces initiatives ont été développées par des organismes ou des secteurs particuliers, mais aussi dans le cadre de partenariats « multipartites » entre entreprises et organisations à but non lucratif. Et les discussions au sein de l'Organisation internationale de normalisation (ISO) sur l’adoption de sa toute première norme de « responsabilité sociale », prévue pour 2010, laissent présager une poursuite de cette tendance.
Cette évolution soulève plusieurs questions, pour les gouvernements comme pour les entreprises. Notamment, comment ces initiatives s’articulent-elles avec les mesures intergouvernementales en vigueur ? Quel intérêt suscitent-elles et comment sont-elles utilisées ? Quel est leur impact ? Enfin, question délicate pour les pays membres de l’OCDE, ces nouvelles initiatives privées sur la responsabilité sociale des entreprises (RSE) rendent-elles les Principes directeurs de l'OCDE obsolètes?
Comme nous y reviendrons, des recherches récentes sur les entreprises européennes indiquent que ces Principes directeurs sont largement reconnus, mais qu'ils pourraient être plus largement utilisés.
Ils occupent en effet une place à part parmi les initiatives sur la RSE. Adoptés en 1976 et révisés en 2000, ils figurent parmi...
suite :
www.observateurocde.org/news/fullstory.php/aid/2249/Les_Principes_directeurs_de_l_OCDE__E0_l_intention_des_multinationales.html
Ces initiatives ont été développées par des organismes ou des secteurs particuliers, mais aussi dans le cadre de partenariats « multipartites » entre entreprises et organisations à but non lucratif. Et les discussions au sein de l'Organisation internationale de normalisation (ISO) sur l’adoption de sa toute première norme de « responsabilité sociale », prévue pour 2010, laissent présager une poursuite de cette tendance.
Cette évolution soulève plusieurs questions, pour les gouvernements comme pour les entreprises. Notamment, comment ces initiatives s’articulent-elles avec les mesures intergouvernementales en vigueur ? Quel intérêt suscitent-elles et comment sont-elles utilisées ? Quel est leur impact ? Enfin, question délicate pour les pays membres de l’OCDE, ces nouvelles initiatives privées sur la responsabilité sociale des entreprises (RSE) rendent-elles les Principes directeurs de l'OCDE obsolètes?
Comme nous y reviendrons, des recherches récentes sur les entreprises européennes indiquent que ces Principes directeurs sont largement reconnus, mais qu'ils pourraient être plus largement utilisés.
Ils occupent en effet une place à part parmi les initiatives sur la RSE. Adoptés en 1976 et révisés en 2000, ils figurent parmi...
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