Un mois à peine après avoir dévoilé le lancement de son offre individualisée, Lydia, regroupant l'ensemble de ses services d'origine de transfert d'argent et de cagnotte en ligne, Lydia Solutions (le nom du groupe), dévoile l'autre volet de sa stratégie.
Baptisé Sumeria (hommage à la civilisation sumérienne qui a inventé l'écriture), le projet de banque numérique européenne du groupe s'envisage aussi révolutionnaire que l'offre de service lancée il y a 13 ans par Cyril Chiche et Antoine Porte (les fondateurs de Lydia).
La raison ? Ils souhaitent tout simplement faire oublier la banque à leurs utilisateurs ou peut-être leur faire aimer la banque numérique grâce à la simplicité des services mis à disposition et surtout, à la rémunération des comptes courants (4 % pour ce lancement - 2 % pour la suite).
Pour réussir ce pari ambitieux, les équipes ont prévu d'investir plus de 100 millions d'euros dans les 3 années à venir, et recruter 400 personnes (250 aujourd'hui dans les effectifs actuels). Objectif d'ici à 2027 : 5 millions de clients.
Une initiative soutenue puisque le communiqué de presse est assorti d'un appui de Madame la Secrétaire d'Etat chargée du Numérique.
« Le lancement de Sumeria par Lydia Solutions signe l'introduction de nouveaux standards inédits dans le monde des services bancaires en ligne. La French Tech, via l’une de ses entreprises grand public les plus connues, prouve à nouveau ici sa capacité à faire bouger les lignes au bénéfice des Français et des Européens. » indique Marina Ferrari, Secrétaire d'État chargée du Numérique.
Car les ambitions de Sumeria ne se limitent pas à la France. Aujourd'hui, Lydia solutions pour l'ensemble de ses services (Lydia et compte courant) revendique 8 millions d'utilisateurs dont la très très grande majorité réside en France. Demain, les services devraient s'exporter dans les pays de l'UE.
Autre signe concordant avec la mutation en une véritable banque numérique européenne : Lydia Solutions a entamé une démarche de demande d’agrément d’établissement de crédit, auprès du régulateur bancaire français.
Jusqu'ici Lydia dans sa version "compte et carte" faisait appel à Floa, filiale de BNP Paribas, pour proposer une offre de crédit express.
Rappelons que l'instant payment s'envisage comme la nouvelle norme des transferts d'argent (future réglementation européenne et initiatives comme EPI, entre autres, à l'appui). L'évolution d'un acteur comme Lydia avec une segmentation claire de son offre de paiement instantané d'un côté, et de banque numérique de l'autre, s'apparente à un virage stratégique des plus pertinents dans un contexte où être le pionnier et le plus iconique ne sera peut-être plus suffisant...
Anne-Laure Allain
Baptisé Sumeria (hommage à la civilisation sumérienne qui a inventé l'écriture), le projet de banque numérique européenne du groupe s'envisage aussi révolutionnaire que l'offre de service lancée il y a 13 ans par Cyril Chiche et Antoine Porte (les fondateurs de Lydia).
La raison ? Ils souhaitent tout simplement faire oublier la banque à leurs utilisateurs ou peut-être leur faire aimer la banque numérique grâce à la simplicité des services mis à disposition et surtout, à la rémunération des comptes courants (4 % pour ce lancement - 2 % pour la suite).
Pour réussir ce pari ambitieux, les équipes ont prévu d'investir plus de 100 millions d'euros dans les 3 années à venir, et recruter 400 personnes (250 aujourd'hui dans les effectifs actuels). Objectif d'ici à 2027 : 5 millions de clients.
Une initiative soutenue puisque le communiqué de presse est assorti d'un appui de Madame la Secrétaire d'Etat chargée du Numérique.
« Le lancement de Sumeria par Lydia Solutions signe l'introduction de nouveaux standards inédits dans le monde des services bancaires en ligne. La French Tech, via l’une de ses entreprises grand public les plus connues, prouve à nouveau ici sa capacité à faire bouger les lignes au bénéfice des Français et des Européens. » indique Marina Ferrari, Secrétaire d'État chargée du Numérique.
Car les ambitions de Sumeria ne se limitent pas à la France. Aujourd'hui, Lydia solutions pour l'ensemble de ses services (Lydia et compte courant) revendique 8 millions d'utilisateurs dont la très très grande majorité réside en France. Demain, les services devraient s'exporter dans les pays de l'UE.
Autre signe concordant avec la mutation en une véritable banque numérique européenne : Lydia Solutions a entamé une démarche de demande d’agrément d’établissement de crédit, auprès du régulateur bancaire français.
Jusqu'ici Lydia dans sa version "compte et carte" faisait appel à Floa, filiale de BNP Paribas, pour proposer une offre de crédit express.
Rappelons que l'instant payment s'envisage comme la nouvelle norme des transferts d'argent (future réglementation européenne et initiatives comme EPI, entre autres, à l'appui). L'évolution d'un acteur comme Lydia avec une segmentation claire de son offre de paiement instantané d'un côté, et de banque numérique de l'autre, s'apparente à un virage stratégique des plus pertinents dans un contexte où être le pionnier et le plus iconique ne sera peut-être plus suffisant...
Anne-Laure Allain
À propos de Lydia Solutions
Fondée en 2011, Lydia Solutions est rapidement devenue un acteur majeur du secteur de la finance technologique tricolore avec son application de paiement Lydia qui a séduit des millions de Français.
Avec ses 250 collaborateurs basés à Paris, Nantes, Bordeaux et Lyon, Lydia Solutions s’est fixée pour mission de changer les codes de la banque avec une approche essentialiste qui vise l’épanouissement de ses clients.
Listée dans le FT120, l’entreprise est soutenue par des investisseurs internationaux tels que Accel, Tencent, XAnge, New Alpha, Groupe Duval et Founders Future, auprès desquels elle a levé 235 M€.
Lydia Solutions
Avec ses 250 collaborateurs basés à Paris, Nantes, Bordeaux et Lyon, Lydia Solutions s’est fixée pour mission de changer les codes de la banque avec une approche essentialiste qui vise l’épanouissement de ses clients.
Listée dans le FT120, l’entreprise est soutenue par des investisseurs internationaux tels que Accel, Tencent, XAnge, New Alpha, Groupe Duval et Founders Future, auprès desquels elle a levé 235 M€.
Lydia Solutions
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