Certes, il est clair qu’avec de tels niveaux, la croissance américaine reste molle. Certes enfin, la faiblesse de l’activité devrait encore rester d’actualité au deuxième trimestre. Cependant, comparativement aux craintes tant répandues de grave récession, voire de dépression, il faut reconnaître que l’économie des Etats-Unis fait mieux que résister.
Mais les bonnes nouvelles ne s’arrêtent pas là, car la résistance de l’économie américaine a pour le moment été autonome, c’est-à-dire sans soutien de la politique économique. Ainsi, ce n’est seulement qu’à partir de maintenant que la forte baisse des taux d’intérêt de la Fed, la relance budgétaire et la baisse du dollar vont produire leurs effets favorables. En d’autres termes, l’économie américaine est loin d’avoir utilisé toutes ses cartouches.
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Mais les bonnes nouvelles ne s’arrêtent pas là, car la résistance de l’économie américaine a pour le moment été autonome, c’est-à-dire sans soutien de la politique économique. Ainsi, ce n’est seulement qu’à partir de maintenant que la forte baisse des taux d’intérêt de la Fed, la relance budgétaire et la baisse du dollar vont produire leurs effets favorables. En d’autres termes, l’économie américaine est loin d’avoir utilisé toutes ses cartouches.
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