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Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 10, 12 (4th update)

Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - Daily news & daily views by Finyear.


Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 10, 12 (4th update)






















MARKETS & ECONOMY - Commentaries of the day

09:30 AM

Morning Call: European Markets Kick Off The Week Cautiously Before Key Events

ETX Capital calls the FTSE 100 off by 5 points and both the DAX and CAC-40 lower by 10 points.

European markets kick off the week in a cautious manner as investors hold back from building risk exposure ahead of key events this week. We have the German Constitutional Court ruling on the ESM on Wednesday and the FOMC meeting on Thursday, both of which are major event risks.

Germany’s opposition of the ECB’s bond buying plan and the mixed data picture of the US economy prompt a huge degree of uncertainty over both events. Furthermore, we have a slew of data in the form of euro zone industrial production, UK unemployment and US retail sales all due in the week. Although European markets ended on a firm note last week due to the ECB’s latest measures, Friday’s estimate-missing US payrolls data and weak economic data from China last night have dented sentiment somewhat, albeit have built the case for more stimulus by the Fed and the PBoC. Looking ahead to today’s events, we have very little in the diary with only US consumer credit due late after the European closing bell.

Ishaq Siddiqi - ETX Capital

10:30 AM

Le D Day... Le Draghi Day...

Tribune de Charles Sannat, Directeur des Etudes économiques d'AuCOFFRE.com (vendredi 7 septembre 2012).

« Hier c'était le jour J, le D Day comme disent les Anglo-Saxons. D pour Draghi bien sûr, Mario Draghi, le Gouverneur de la Banque Centrale Européenne (BCE).

Alors que j'écris ces lignes...Mario Draghi parle, et les tractations se poursuivent entre les Etats pour trouver le plus petit dénominateur commun, et laisser la marge de manœuvre nécessaire à la BCE pour imprimer des billets à la hauteur de « juste ce qu'il faut ».

Les autorités monétaires européennes sont désormais obligées d'intervenir. Le problème n'étant plus de savoir s'il le faut, mais comment le faire.

Comment le faire, en respectant le mandat de la BCE et l'objectif allemand de maîtrise de l'inflation, qui ont une peur panique de la création monétaire débridée depuis l'époque de la République de Weimar qui déboucha sur l'avènement du nazisme et la ruine de l'Allemagne.

Comment le faire, en sauvant l'euro, et en permettant aux pays du Sud en plein marasme (avec en ligne de mire bien entendu l'Espagne et l'Italie) de s'en sortir au mieux.

Comme nous l'avons toujours dit et affirmé, le FESF ou le MES, les mécanismes de sauvetage prévus, ne seront pas suffisants pour ces deux pays. Ils sont donc fondamentalement inutiles et ne serviront pas.

Compte tenu des sommes en jeu, seule la BCE peut, en créant de la monnaie en quantité suffisante, permettre d'éteindre l'incendie qui menace d'emporter l'ensemble de la construction européenne de ces 60 dernières années.

Pour le moment, les marchés donnent crédit à la stratégie d'intervention massive annoncée hier par la Banque Centrale Européenne.

Des rachats d'obligations sans limite de montant

Mario Draghi, en s'appuyant sur l'article 18 des statuts de la BCE, lance un programme de rachat d'obligations illimité sur des échéances allant jusqu'à trois ans. Cette maturité relativement courte recueillerait l'assentiment de notre partenaire allemand puisque cela permet de cadrer la création monétaire dans le temps.

Le président de la Bundesbank, quant à lui, resterait farouchement opposé à ce changement radical de politique monétaire, et son gouverneur, Jens Weidmann, devrait démissionner dans la foulée afin de protester contre cette décision.

Mais ce n'est pas tout, la BCE renonce également à son statut de créancier privilégié pour ces achats d'obligations... Ce qui signifie en clair qu'elle accepterait de ne jamais être remboursée de ses créances... Au bout du chemin il faudra choisir entre renflouer la BCE (qui possède un bilan comme n'importe quelle banque), ou lui autoriser la création monétaire pure correspondante.

En contrepartie, des conditions strictes seront demandées aux pays qui feront appel à l'aide de la BCE (Italie et Espagne) et l'intervention de la BCE d'une rigueur budgétaire sans faille.

Cependant, à ce jour les modalités concrètes d'application de ce plan n'ont pas été dévoilées, ce qui illustre les tensions politiques toujours à l'œuvre et que les négociations entre Etats membres semblent s'éterniser.

Une volonté, sauver l'euro

C'est bien de cela fondamentalement qu'il s'agit. L'objectif n'est pas de sauver la croissance. L'objectif n'est pas de sauver l'économie, mais bel et bien de sauver la monnaie unique, l'euro.

Les propos tenus par Maio Draghi hier sont sans ambiguïté :

« Comme je l'ai déjà dit, nous ferons tout ce qu'il faut et ce sera assez. L'euro est irréversible et les craintes sont infondées. Je répète, infondées ».

Le premier pari de la BCE est qu'en disant que les rachats sont illimités en montant, cette simple annonce coupera l'herbe sous le pied des spéculateurs.

C'est une bonne nouvelle car cela peut fonctionner, même s'il est fort à parier que dans les prochaines semaines les marchés testeront la détermination des Européens.

Est-ce que ce nouveau plan de la dernière chance peut réussir ?

Oui et non.

Oui sur le court et moyen terme pour éviter l'explosion de la monnaie unique et la faillite d'Etats européens importants.

Non sur le long terme, dans la mesure où le rachat d'obligations ne résoudra en aucun cas le problème fondamental de nos économies à savoir le manque de croissance, pour ne pas dire l'absence de croissance qui est un phénomène durable.

Mais cette décision sans nul doute permettra au système économique de tenir certainement quelques années de plus et nous pouvons imaginer un répit d'environ deux à trois ans.

Cependant, pour que cela fonctionne, il faudra voir dans quelle mesure les « conditionnalités » imposées, disons-le clairement, par nos « amis » allemands seront dans leur détail acceptables par nos partenaires espagnols ou italiens.

Le principal écueil reste bien politique. Si les politiques de rigueur exigées sont trop drastiques, elles peuvent tout simplement politiquement être refusées. Dès lors, de fait, cela signifiera un retour aux monnaies nationales et de facto la reconfiguration de la zone euro. A court terme c'est le danger. A ce jour rien ne dit que l'orgueil ibérique pourra s'accommoder d'une mise sous tutelle de la Troïka (FMI, BCE, Union Européenne).

Y a-t-il des risques à mener une telle politique de création monétaire ?

Le risque majeur est celui bien évidemment de l'inflation, avec à terme, si le processus de création monétaire n'est pas maîtrisé, une hyperinflation qui peut s'avérer catastrophique aussi bien pour les finances des Etats que pour le pouvoir d'achat des ménages.

Il faut bien comprendre que, contrairement aux années 70 où la mondialisation n'existait pas, où les frontières protégeaient chaque économie nationale et où les salaires étaient indexés sur l'inflation, la situation a radicalement changé. Dans un monde ouvert, chaque point d'inflation en plus vient appauvrir d'autant les peuples dont les salaires n'évoluent plus ou très faiblement depuis maintenant plus de 10 ans.

Peut-on maîtriser ces risques ?

C'est tout le pari qui est fait par les autorités monétaires, d'abord par la FED, la Banque Centrale Américaine qui s'est lancée depuis plusieurs années dans une politique dite de « Quantitative Easing » désormais imitée par la BCE.

Nombreux sont ceux qui pensent que nous entrons dans un monde d'inflation voire d'hyperinflation.

Les forces déflationnistes à l'œuvre restent très fortes. La mondialisation (les délocalisations), la démassification (le remplacement des « travailleurs » par des machines ou des ordinateurs), le désendettement, la baisse des actifs immobiliers, la baisse des actifs actions, le vieillissement mondial de la population, sans même parler de l'impact d'une explosion des dettes souveraines qui effacerait des milliards d'euros d'épargne pour ne citer que les plus importantes.

Il ne s'agit pas de trancher le débat hier mais de mettre en exergue le risque non nul de voir le monde occidental basculer dans une déflation sévère. Le mauvais remake des années 30 n'a pu être évité que grâce aux interventions massives des banques centrales.

Un arrêt des Quantitative Easing pour permettre une maîtrise de la masse monétaire, des risques inflationnistes et des déficits aurait pour conséquence un retour du risque déflationniste.

C'est une tendance qui se matérialise clairement depuis le début de l'année 2012, notamment en Europe avec la mise en œuvre de plans de rigueur de plus en plus nombreux et aux Etats-Unis à travers l'épisode difficile du relèvement du plafond de la dette, ou encore des derniers chiffres macro économiques qui sont mauvais et montrent une dégradation forte de la conjoncture économique en l'absence d'injections monétaire supplémentaires.

Le pari des banques centrales peut donc être résumé par la formule suivante : Beaucoup de création monétaire - de fortes pressions déflationnistes = une inflation un peu plus forte mais maîtrisée.

C'est un pari, et cela n'a jamais été tenté. Dans l'histoire économique du monde, quelle que soit l'époque, la création monétaire a toujours amené les monnaies vers une valeur proche de 0.

Création monétaire européenne sans limite mais pas sans règle

C'est toute la subtilité de ce qui a été annoncé hier par le Gouverneur de la Banque Centrale Européenne. Certes aucune limite de montant n'est fixée, pourtant, ce n'est pas pour autant un blanc sein et une autorisation pour faire n'importe quoi.

D'abord la création monétaire viendra en accompagnement d'actions politiques dans les pays qui demanderont de l'aide. Pas d'austérité, pas d'aide. Le message est clair et limpide.

Ensuite, contrairement à ce qui a été fait précédemment, les chiffres seront communiqués pour certains toutes les semaines et pour d'autres mensuellement. Ce suivi permettra d'assurer une traçabilité quasiment en temps réel de la création monétaire en cours et là encore on reconnaît la main allemande.

Enfin, Mario Draghi n'a pas souhaité baisser à nouveau les taux d'intérêt en insistant sur le niveau relativement élevé de l'inflation qui reste la priorité du mandat de son institution.

Je pense que s'il y avait une manière de sauver l'euro, sans tomber dans le risque de création monétaire excessive, c'est la bonne méthode qui a été trouvé. Nous pouvons nous en réjouir car c'est une bonne nouvelle, enfin.

Néanmoins les marchés attendaient beaucoup, beaucoup plus « d'argent gratuit » et, lorsque l'on y regarde de plus près, rien ne dit que la stratégie annoncée hier par Mario Draghi sera suffisante à terme.

Elle a beau être juste et équilibrée, économiquement fondée, je crains que la BCE ne soit vite dépassée, sur sa droite par les marchés (qui détestent les conditions et les contreparties), et sur sa gauche par des politiques démagogues qui ne souhaiteront pas être les Premiers ministres, ou les Présidents de l'austérité.

Ce qui est sûr, c'est qu'il n'y aura aucun moyen indolore de sortir de cette crise et que le chemin sera encore long. »

11:30 AM

ECB leaves rates unchanged at 0,75%, launches new bond purchase program

By Peter Hensman, Strategist Newton - BNY Mellon.

Since late July when ECB chief Mario Draghi vowed to “do whatever it takes to preserve the euro”, expectations have mounted about how far the ECB would be willing to go in “non-traditional” monetary policy measures. The key aim of the ECB is to repair the “financial fragmentation” of the euro area, as countries and companies face very different interest costs across the Eurozone. The consensus was evenly split between those calling for a rate cut and those expecting no change in rates. On this front, the ECB did not deliver. However, it was the detail of the measures beyond standard monetary policy that held market attention.

Against expectations that the ECB might launch outright quantitative easing or set a ceiling on government bond yields, the ECB indicated it would conduct “Outright Monetary Transactions” (OMT) in order to ensure that the whole Eurozone benefits from a single monetary policy. The OMT purchases replace the Securities Market Program (SMP), and addresses a number of the criticisms aimed at the SMP. Importantly, the amount of and period for which bonds can be acquired under the OMT will be unlimited, and the bonds bought by the ECB will not be treated as senior to other bond holders.

Peripheral bond markets and equities more broadly reacted positively to the announcement. However, the key stumbling block to this ECB support remains the need for politicians to sign up to the conditionality required by the central bank, especially the requirement to request IMF involvement. Whether this is political barrier can be overcome in the months ahead is likely to be crucial.

01:00 PM

European financial markets are little changed heading into the lunch today, with investors cutting exposure to risk ahead of key events this week including the German court ruling on the ESM and the Fed’s monthly policy meeting.

Both events present plenty of risk as traders feel increasingly uncertain over the outcomes, unlike last week’s ECB meeting in which it looked almost certain the certain the central bank was on course to deliver stimulus.

Out of the two events this week, it is likely the Fed will act with some form of QE3 given the poor US jobs data on Friday. In Asia overnight, weak data from China fuelled hopes of further stimulus measures, lifting stocks in the region however this did not feed through in Europe – the poor China data does raises expectations for some Chinese central bank policy easing soon. Helping to support the tone in European markets today are reports that German Chancellor Angela Merkel changing her mind on Greece by saying she wants the country to remain in the euro zone at all costs.

This will go some way in helping Greece extend the period of debt repayments to international lenders, giving the country some much needed breathing room and a “Grexit” off the cards. Greece’s ASE index is up around 9% on the back of these reports. Looking ahead, there are no major data releases which has left markets feeling directionless. We may receive some guidance from the US session, but even Wall Street futures look pretty dull with the DJIA down around 18 points and S&P 500 off around 3 points.

Ishaq Siddiqi - Market Strategist - ETX Capital

02:00 PM

Couverture : Le régime de volatilité reste propice aux ventes de calls

Signe d’une nervosité persistante, les niveaux de volatilité implicite restent historiquement élevés sur les marchés d’actions, en dépit de la vigueur du rally estival. Cette configuration n’est pas neutre pour les stratégies de couverture.

En apparence, la configuration des marchés semble se normaliser, depuis le début de l’été. Le volontarisme affiché par la BCE ces derniers mois, concrétisé par le lancement d’un dispositif inédit de rachat « illimité » de titres obligataires souverains en zone euro, sur des maturités de 1 à 3 ans, éloigne les risques extrêmes, atténuant d’autant l’aversion au risque des investisseurs. Résultat : nous avons observé une baisse de la volatilité historique (constatée) sur les marchés et un vif mouvement de revalorisation des cotes européennes tout au long de l’été.

Aujourd’hui, où en sommes-nous ? En réalité, les marchés n’ont pas encore retrouvé leur configuration habituelle. La volatilité implicite de l’EuroStoxx50, qui découle du prix des options indicielles et qui reflète le risque anticipé à un mois à l’égard de l’indice paneuropéen, a certes reculé depuis le début de l’été (d’un plus haut à 38% au début du mois de juin à un plus bas de 20% à la mi-juillet). Mais d’une part, la volatilité implicite a depuis rebondi jusqu’à une fourchette comprise entre 26% et 28%. D’autre part, nous sommes encore loin des niveaux moyens souvent inférieurs à 15% constatés lors de la période 2003-2007. L’examen des niveaux de volatilité implicite évoque donc un environnement plus tendu que le seul resserrement des écarts de rendements sur les dettes périphériques à court terme et sur les dettes corporate ne pourrait le laisser suggérer.

D’un point de vue fondamental, le maintien d’un risque anticipé significatif s’explique par la conjonction entre une accumulation d’échéances critiques pour les marchés (décision de la Cour de justice de Karlsruhe sur le MES, réunion de la Fed…) et un environnement macroéconomique particulièrement dégradé. D’un point de vue technique, elle découle aussi de la configuration du rally estival, qui s’est déroulé sans réel élan de la part des grands investisseurs, avec très peu de volumes.

Ce régime de volatilité toujours historiquement élevé n’est pas neutre, pour les investisseurs. Dans cette période charnière propice aux mouvements erratiques de marché et aux mouvements de correction technique, ces derniers ont en effet la possibilité de couvrir tactiquement leurs positions au moindre coût. Comment ? En mettant en place des stratégies de vente de calls (sur indices ou sur actions individuelles), dont le maintien d’une volatilité implicite globalement élevée réduit le coût relatif par rapport à une vente de futures ou l’achat de puts.

De Michaël LEVY, Associé - Gérant de FLEX 360- Responsable de la multigestion chez 360 AM

STATISTICS of the day

EUROPA - EUROSTAT

L’UE27 a enregistré un excédent des échanges courants de 4,6 milliards d’euros.
EU27 current account surplus 4.6 bn euro.
EU27 verzeichnet Leistungsbilanzüberschuss von 4,6 Mrd. Euro.

FRANCE - INSEE

En juillet 2012, la production manufacturière est en hausse (+0,9 %)

Au mois de juillet 2012, la production de l’industrie manufacturière augmente en volume par rapport à juin (+0,9 %). Elle était stable au mois de juin 2012.
La production de l’ensemble de l’industrie est en légère hausse (+0,2 %).

- Au cours des trois derniers mois, la production manufacturière a diminué de 1,0 % …
Au cours des trois derniers mois, la production a diminué dans l’industrie manufacturière (-1,0 %) et dans l’ensemble de l’industrie (-1,5 %).
Sur ces trois mois, la baisse de la production affecte notamment les matériels de transport (-2,7 %), les autres produits industriels (-0,6 %) et les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (-1,0 %).

- … et est inférieure de 3,5 % au niveau atteint l’année précédente.
La production manufacturière des trois derniers mois est en net repli (-3,5 %) par rapport au trois mêmes mois de l’année dernière.
Sur cette période, la production a nettement baissé dans les autres produits industriels (-3,6 %) ainsi que dans les matériels de transport (-6,3 %) et les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (-3,5 %). Elle est en forte baisse dans le raffinage (-8,8 %).

CHINA - National Bureau of Statistics of China

Producer Prices for the Industrial Sector for August

In August 2012, Producer Price Index (PPI) for manufactured goods decreased 3.5 percent, year-on-year, and 0.5 percent decrease month-on-month. The purchasing price index for manufactured goods went down by 4.1 percent year-on-year, and 0.5 percent decrease month-on-month. In the average from January to August, the PPI decreased 1.3 percent, year-on-year, the purchasing price index for manufactured goods went down by 1.2 percent year-on-year.

1. Year-on-Year Changes of Prices of Different Categories
The year-on-year change of producer prices for means of production decreased 4.6 percent. In which, producer prices for mining and quarrying industry decreased 8.3 percent; that of raw materials industry decreased 5.2 percent, that of manufacturing and processing industry decreased 3.9 percent. Producer prices for consumer goods went up by 0.2 percent. Of which, producer prices for foodstuff increased 0.5 percent, that of clothing increased 1.7 percent, that of commodities up by 0.3 percent, while that of durable consumer goods dropped 1.2 percent.
The year-on-year purchaser price indexes for non-ferrous metal materials and wires decreased 9.9 percent, ferrous metals declined 9.8 percent, chemical raw materials decreased 6.5 percent, fuel and power decreased 2.6 percent, building materials and non-metallic fell by 2.4 percent.

2. Month-on-Month Changes of Prices of Different Categories
The month-on-month change of producer prices for means of production decreased 0.7 percent. Of the total, producer prices for mining and quarrying industry decreased 1.5 percent, that of raw materials industry decreased 0.6 percent, that of manufacturing and processing industry dropped 0.7 percent. Producer prices for consumer goods remained at the same level month-on-month (the amount of change was 0). Of which, producer prices for foodstuff increased 0.1 percent, clothing, and durable consumer goods remained at the same level, while that of commodities decreased 0.1 percent.
The month-on-month purchaser price indexes for ferrous materials fell by 1.9 percent, non-ferrous metal materials and wires, fuel and power decreased 0.8 percent respectively, agricultural and sideline products increased 0.5 percent.

CHINA - National Bureau of Statistics of China

Consumer Prices for August 2012

In August, the consumer price index (CPI) went up by 2.0 percent year-on-year. The prices grew by 2.1 percent in cities and 1.8 percent in rural areas. The food prices went up by 3.4 percent, while the non-food prices increased by 1.4 percent. The prices of consumer goods went up by 2.1 percent and the prices of services grew by 2.0 percent. On average from January to August, the overall consumer prices were up by 2.9 percent over the same period of the previous year.

In August, the month-on-month change of consumer prices was up by 0.6 percent, prices in cities and rural areas went up by 0.6 percent, simultaneously. The food prices increased by 1.5 percent, the non-food prices rose by 0,1 percent. The prices of consumer goods increased by 0.7 percent, and the prices of services increased by 0.2 percent.

GERMANY - Federal Statistical Office (Destatis)

Turnover in manufacturing in July 2012: +1.9%seasonal adjusted on June 2012
Turnover index in manufacturing, 2005=100, seasonally adjusted

As reported by the Federal Statistical Office (Destatis) on the basis of provisional data, the manufacturing sector saw turnover rise in real terms adjusted for seasonal fluctuations and working-day variations 1.9% in July 2012 compared with June 2012 (following a revised –1.5% in June 2012). Domestic turnover increased by 2.2%, the business with foreign customers ascended 1.7%. Sales to euro area countries were 0.4% above preceding month’s level, while sales to other countries went up 2.4%.

GERMANY - Federal Statistical Office (Destatis)

Crafts Sector: Turnover down by 3.3% in the Second Quarter of 2012
Compulsory approval crafts sector

As reported by the Federal Statistical Office (Destatis), the turnover in crafts with compulsory approval was down by 3.3% in the second quarter of 2012 compared to the second quarter of 2011. At the end of June 2012 the number of persons employed by crafts entrepreneurs was up 0.1% compared to the level a year earlier.


Lundi 10 Septembre 2012




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