- Les grandes banques françaises restent solides et continueront de renforcer certains facteurs de robustesse (capitalisation, coussins d’absorption des pertes, etc.)
- Risque d’une légère détérioration de la qualité de crédit des actifs : le profil de risque domestique reste faible, mais augmentation du risque de crédit à l’international, sur certains marchés ou secteurs. Attention aux risques géopolitiques en lien avec les expositions internationales et expositions sectorielles (énergie, matières premières)
- Les grandes banques françaises devraient toutefois maîtriser leurs risques en 2016, partant également globalement d’un niveau bas du coût du risque en 2015.
- Leur rentabilité restera sous pression, comme celle de leurs homologues européennes, sous l’effet de contraintes réglementaires, de la faiblesse des taux ainsi qu’en raison des investissements nécessaires au maintien d’une capacité d’innovation sur le long terme.

Lire la suite dans l’étude ci-dessous (PDF 14 pages en anglais)

www.standardandpoors.fr

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