Du côté de la Fed, le marché estime qu’il s’agit de la dernière hausse avant une pause qui pourrait se prolonger. Ceci étant, la faillite de la deuxième plus grosse banque américaine de l’histoire, First Republic, rachetée en urgence par JP Morgan, n’est pas de nature à rassurer les investisseurs. Un climat de suspicion s’est installé autour des banques régionales américaines, sur « who’s next » à savoir qui sera la prochaine ?
Par ailleurs, un autre facteur participe au climat anxiogène actuel, il s’agit du plafond de la dette américaine. Ce plafond pourrait être atteint début juin si aucun accord n’était trouvé entre les démocrates et les républicains au Congrès. La réalisation d'une telle hypothèse serait évidemment un choc pour les marchés obligataires américains.
Du côté des bonnes nouvelles, l’emploi américain a rassuré, avec un nombre de créations de postes bien supérieur au consensus (253k vs 181k). De son côté Apple a également publié des résultats, certes en léger recul, mais toujours très solides et supérieurs aux attentes, ce qui a permis au titre de bondir de 5%.
En Europe, les marchés ont également reculé dans ce climat anxiogène, le Cac 40 se repliant de 0,78%. L’addition aurait pu être plus salée, mais la séance de vendredi a permis de limiter les dégâts avec un rebond de 1,4% dans le sillage du rebond des marchés américains. Les valeurs défensives à l’image d’EssilorLuxottica ou de Pernod Ricard ont permis au marché français de rester au-dessus des 7 400 points.
Mercredi, les chiffres de l'inflation d'avril aux Etats-Unis vont dominer la semaine, avec les prix à la production d'avril (jeudi) et l'indice de confiance des consommateurs de l'Université du Michigan (vendredi).
Antoine Fraysse-Soulier, responsable de l'analyse de marchés
Par ailleurs, un autre facteur participe au climat anxiogène actuel, il s’agit du plafond de la dette américaine. Ce plafond pourrait être atteint début juin si aucun accord n’était trouvé entre les démocrates et les républicains au Congrès. La réalisation d'une telle hypothèse serait évidemment un choc pour les marchés obligataires américains.
Du côté des bonnes nouvelles, l’emploi américain a rassuré, avec un nombre de créations de postes bien supérieur au consensus (253k vs 181k). De son côté Apple a également publié des résultats, certes en léger recul, mais toujours très solides et supérieurs aux attentes, ce qui a permis au titre de bondir de 5%.
En Europe, les marchés ont également reculé dans ce climat anxiogène, le Cac 40 se repliant de 0,78%. L’addition aurait pu être plus salée, mais la séance de vendredi a permis de limiter les dégâts avec un rebond de 1,4% dans le sillage du rebond des marchés américains. Les valeurs défensives à l’image d’EssilorLuxottica ou de Pernod Ricard ont permis au marché français de rester au-dessus des 7 400 points.
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc...) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement.
The financial and/or economic opinions presented by Finyear.com contributors (experts, lawyers, observers, bloggers, etc.) are their own and may change without the need to update the content. The articles presented do not constitute an invitation to make any investment.
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