ACTUALITE :
Le reporting intégré une solution à l’avalanche d’information ?
Vous cherchiez une lecture pour finir l’été ? Si vous avez quelques semaines, vous pouvez vous attaquer aux rapports annuels des sociétés du CAC 40, un bel opus de plus de 14 000 pages (soit 6 fois plus long qu’A la recherche du temps perdu, 10 fois Le seigneur des anneaux, 12 fois le Vernimmen 2015 ou 2016…). Il aurait fallu à notre lecteur environ 3 fois moins de temps il y a une vingtaine d’années pour se délecter de ces rapports annuels. On a vu en effet passer le rapport annuel moyen de quelques 100 pages à 350 pages aujourd’hui. Le passage aux IFRS (et l’évolution de ces normes) est certainement responsable d’une part importante de cette augmentation mais le nombre croissant de données non comptables à intégrer (données environnementales, corporate governance) a également joué dans le même sens.
Il n’en fallait pas tant pour qu’une part importante des utilisateurs naturels de ces documents (investisseurs, analystes, banquiers, …) se considèrent maintenant exonérés de la lecture de ces rapports pourtant toujours très instructifs. Il est vrai que nombreux sont ceux qui avaient démontré dès les années 2000 que la lecture des rapports annuels était optionnelle pour eux, souvent à leurs dépens au demeurant.
...
suite
Pascal Quiry, co-auteur du Vernimmen
www.vernimmen.net
www.vernimmen.com
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Vous cherchiez une lecture pour finir l’été ? Si vous avez quelques semaines, vous pouvez vous attaquer aux rapports annuels des sociétés du CAC 40, un bel opus de plus de 14 000 pages (soit 6 fois plus long qu’A la recherche du temps perdu, 10 fois Le seigneur des anneaux, 12 fois le Vernimmen 2015 ou 2016…). Il aurait fallu à notre lecteur environ 3 fois moins de temps il y a une vingtaine d’années pour se délecter de ces rapports annuels. On a vu en effet passer le rapport annuel moyen de quelques 100 pages à 350 pages aujourd’hui. Le passage aux IFRS (et l’évolution de ces normes) est certainement responsable d’une part importante de cette augmentation mais le nombre croissant de données non comptables à intégrer (données environnementales, corporate governance) a également joué dans le même sens.
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