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The Financial Year Coffee - 8 avril 2014 (édition de 17H00)

Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre chaque matin des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

17H00

Discours de Manuel Valls : analyse des mesures économiques et budgétaires

Réaction de Philippe Crevel, Économiste, au discours de Manuel Valls avec une analyse des mesures économiques et budgétaires.

Les marges de manœuvre économiques et budgétaires sont plus que limitées obligeant le Premier Ministre à opérer des arbitrages au fil de l'eau. Le déficit public devrait être de 4 % en 2014 et nul n'imagine que l'objectif de 3 % soit atteint en 2015. L'Europe sera contrainte d'accepter un nouveau report mais le conditionnera par l'engagement de véritables réformes de structure (assurance-maladie, droit du travail, prestations). En promettant des baisses de charges salariales et patronales tout en conservant le cap de la rigueur budgétaire, le Premier Ministre est contraint à se transformer en équilibriste de haut vol ou à devenir un professionnel du jeu de bonneteau.

La difficile bataille des économies

Le Premier Ministre a confirmé la réalisation du plan d'économies de 50 milliards d'euros avec la clef de répartition suivante : « 19 milliards d'euros économisés par l'Etat, 10 milliards par l'assurance maladie, 10 milliards par les collectivités locales et le reste proviendra d'une plus grande justice de notre système de prestations sociales ».

Cette clef de répartition sera plus que délicate à respecter compte tenu des tendances lourdes.

Les collectivités locales devraient bénéficier de dotations et de subventions revues à la baisse avec un risque d'augmentation des impôts à la clef. La réduction de la moitié du nombre de régions est un objectif à moyen voire à long terme. Les économies qui seront réalisées supposent qu'il y ait de véritables suppressions de services...

Sur l'assurance-maladie dont le déficit structurel est de 8 milliards d'euros, un plan d'économies de 10 milliards d'euros est extrêmement optimiste d'autant plus que les investissements ont déjà été réduits au maximum.

L'effort demandé sur les prestations sociales risque de pénaliser les classes moyennes. Le Gouvernement pourrait revoir l'attribution des aides pour les concentrer sur les revenus modestes.

Baisse de l'impôt sur les sociétés au nom de l'attractivité

L'impôt sur les sociétés est, en France, caractérisé par une assiette étroite et par un taux élevé. Avec la majoration exceptionnelle, le taux de l'IS est de 37 % contre une moyenne de 30 % au sein de l'Union Européenne. Il est de 22 % au Royaume-Uni, de 30 % en Allemagne et de 27 % en Italie.

Manuel Valls a promis de réduire le taux à 28 % en 2020. Il n'a pas indiqué si l'assiette serait élargie. Par ailleurs, la contribution sociale de solidarité des sociétés sera supprimée en 3 ans???.

Cette baisse vise à améliorer l'attractivité de la France. De nombreux investisseurs étrangers étaient dissuadés d'investir en France du fait du niveau excessif du taux, même si in fine la contribution fiscale pouvait être moins élevée que chez nos partenaires.

Charges sociales entre l'erreur de casting et le jeu de bonneteau ?

Conformément aux annonces précédentes sur le pacte de responsabilité, le Premier Ministre a indiqué qu'au 1er janvier 2015, les cotisations salariales seront abaissées pour le SMIC, représentant un gain de 500 euros par an de salaire net???.

Cette mesure vise à redonner du pouvoir d'achat aux bas salaires conformément à l'esprit de pacte de solidarité.

Par ailleurs, les cotisations familiales seront abaissées pour les salaires jusqu'à 3 fois et demi le SMIC. En outre, « pour les salariés au SMIC, les cotisations patronales seront supprimées???».

Ces allègements de charges représenteraient 30 milliards d'euros d'ici 2016.

Ces mesures créent des effets de seuil et maintiennent par définition la France dans la production de gamme moyenne. La France comporte deux fois plus de salariés à faibles qualifications que l'Allemagne. Du fait du jeu des exonérations sociales sur les bas salaires, l'élévation en gamme est rendue difficile.

Il aurait mieux valu appliquer un abattement de charges total sur les 500 premiers euros de salaires rendant ainsi notre système de cotisations sociale progressif. Par ce système, les bas salaires seraient avantagés mais il n'y aurait pas d'effet de seuil.

La réduction des charges est une mesure de court terme, populaire car l'effet est direct pour les entreprises comme pour les salariés. A court terme, cette mesure pourrait être positive pour l'emploi ; en revanche, elle est dangereuse et coûteuse à moyen terme car, par définition, il faudra compenser les pertes de recettes pour les régimes sociaux. Il y a un risque de jeu de bonneteau ou de transferts de caisses vides entre l'Etat et ces régimes.

Philippe Crevel, Economiste

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16H00

DPG : Manuel Valls réussit son challenge

Christopher Dembik, Analyste Financier chez Saxo Banque, vous propose son regard sur la conjoncture et les grands sujets du moment.

Le discours de politique générale est toujours un exercice périlleux pour un Premier ministre. Manuel Valls a, néanmoins, réussi à passer l’épreuve avec succès.

Confirmant « ouvrir une nouvelle étape du quinquennat », il a tenu un discours résolument rassembleur, concret, volontariste et tourné vers l’économie. Les annonces ayant trait au Pacte de responsabilité n’ont pas surpris, même si le détail des mesures était le bienvenu.

Il a également confirmé une nouvelle trajectoire de politique économique et budgétaire. Bien que l’objectif de consolidation budgétaire soit toujours maintenu, il sera étalé dans le temps avec 50 milliards d’euros d’économies de 2015 à 2017. La France devra donc dans les prochaines semaines négocier avec les partenaires européens pour obtenir un nouveau délai ce qui ne sera vraisemblablement, à en juger par les propos tenus à Bruxelles et à Francfort, pas acquis d’avance. Il n’est pas impossible que la Commission Européenne accentue le contrôle exercé sur la France, réduisant au passage la marge de manœuvre du gouvernement pour remplir les objectifs du pacte de solidarité.

Plutôt étonnant dans le cadre d’un discours de politique générale, Manuel Valls a fait référence au taux de change de l’euro qui mine les exportations françaises. Serpent de mer de la politique française, le niveau de l’euro demeure toutefois une donnée exogène et à moins d’une refonte du rôle de la BCE, on voit mal comment des discussions à l’échelon européen pourraient aboutir, surtout quand on sait l’opposition des Allemands à influencer les taux des monnaies.

Cependant, la vraie surprise est plutôt venue de la réforme territoriale qui semble être mieux engagée que lors de sa présentation en Janvier dernier. Elle s’inscrit dans le cadre des réformes structurelles que la France doit mettre en œuvre. On peut toutefois regretter que la réforme ne soit complètement fonctionnelle qu’à partir de 2021 alors que l’Italie a réussi à faire la sienne en l’espace de six mois. Il est donc probable que les prochaines échéances électorales et surtout l’élection présidentielle de 2017 viennent mettre un terme à ce processus. On pourra au minimum se satisfaire d’une diminution de moitié du nombre de régions dans l’Hexagone qui sera effective à partir du 1er janvier 2017.

Pour résumer, pas d’annonces fracassantes mais un calendrier plus précis qui reste toutefois largement tributaire de la bonne volonté de l’Europe et du choix des électeurs en 2017.

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11H30

Christopher Dembik, Analyste Financier chez Saxo Banque, vous propose son regard sur la conjoncture et les grands sujets du moment

Qu’attendre du discours de politique générale ?
Les ambiguïtés et questionnements sont nombreux avant le discours de politique générale. Les investisseurs et les partenaires européens de la France attendent un discours clair, un guide d’action pour la fin du mandat. Il n’est toutefois pas certain qu’ils soient satisfaits. Les derniers signaux contradictoires récemment envoyés par Bercy font planer un doute sur les priorités du nouveau gouvernement. La réaffirmation de l’objectif de consolidation budgétaire sera suivie de près. C’est un impératif avant d’envisager d’éventuelles mesures de soutien à l’économie juste avant l’élection présidentielle.

Il est fortement probable que ce discours soit avant tout consensuel et cherche à donner des gages à EELV et à l’aile gauche du PS dans la perspective du vote de confiance. Le bloc réformiste devrait être limité au pacte de responsabilité alors que de nombreux autres chantiers sont nécessaires pour redonner à la France une marge de manœuvre et une économie saine. Pour n’en citer que deux : la réforme de l’allocation-chômage ou celle des retraites. Les attentes sont faibles, donc la déception qui suivra ne devrait pas surprendre.

Le début de la saison des résultats aux Etats-Unis :
Le climat n’est pas à l’optimisme sur les marchés boursiers mondiaux à l’approche des résultats trimestriels. Une inquiétude par rapport au business model de nombreuses firmes technologiques du Nasdaq, le risque géopolitique persistant et également les craintes de ralentissement économique impactent directement l’évolution des valeurs boursières. Alcoa va ouvrir le bal ce soir et devrait permettre de rassurer un peu. Le prix de son action a, en effet, augmenté de 67% depuis juillet. Toutefois, signe que le pessimisme domine, les estimations de bénéfices se sont contractées de 3% à l’approche des premières annonces

Le démembrement de l’Ukraine est en cours :
Après la Crimée, de nouvelles informations nous parviennent à propos d’un mouvement pro-russe qui semble en passe de prendre le contrôle de la région de Donestk, l’une des plus riches d’Ukraine, avec une spécialisation dans le secteur bancaire et l’industrie lourde. Un référendum sur l’indépendance pourrait être organisé dans les prochaines semaines d’après la télévision d’Etat russe.

Ce scénario noir pour l’Ukraine valide les prévisions de Saxo Banque : le pays est face à un démembrement organisé avec minutie par Moscou via le soutien aux mouvements pro-russes dans le Sud et l’Est. L’objectif pour la Russie est de reconstituer son glacis stratégique en profitant de l’inaction des Occidentaux.

Le risque immédiat demeure faible pour les marchés financiers qui sont concentrés sur d’autres problématiques – le ralentissement en Asie et les résultats trimestriels des entreprises aux Etats-Unis – mais le risque politique est en revanche extrêmement élevé.

L’Ukraine apparait comme un État failli aux frontières de l’Union Européenne, source possible de déstabilisation. Une escalade de la violence n’est en aucune façon exclue à tout moment, avec impact immédiat sur les actifs financiers dans la région, en particulier les actifs russes (rouble et MICEX). A moins d’un règlement politique rapide, mais improbable, de la situation, l’Ukraine sera pendant encore longtemps un facteur d’inquiétudes pour les investisseurs.

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10H00

Markets Anxious On Geopolitical Tensions; Eyes Shift To US Earnings Season

European equities pare early session gains to trade lower Tuesday, pressured by fresh geopolitical drama together with declines on Wall Street overnight where tech stocks continued their descent amid worries about inflated valuations – Amazon, Facebook, Twitter and LinkedIn all registered fat losses. European tech shares fell sharply in the previous session as the declines in the sector over in the US spread across the global sector – this morning however, tech shares in Europe are in for a little respite; ARM Holdings in London is amongst one of the biggest risers on the FTSE100 index. That said, traders are still anxious on the whole in Europe, refraining from building risk-exposure.

Geopolitical tensions are on the rise again after pro-Russian demonstrators seized government buildings in three Ukrainian cities with rebels now declaring independence in the Donetsk region. The US responds by warning Russia over destabilisation in Ukraine – markets again are on edge as this fresh escalation of the crisis could see further turbulence in financial markets and more worrying, this crisis is now become a protracted affair which stands further dent the West’s relations with Russia to the point where the damage could be irreparable for some time.

Across other asset classes, USD remained largely steady after the Bank of Japan kept monetary policies unchanged while the euro edges higher, back up to the 1.37 level despite talk of an ECB bazooka in recent days. BOJ maintained policies and kept an upbeat assessment in the first policy meeting by the central bank since the introduction of the increased sales tax in Japan – traders have expressed concerns that the sales tax increase could discourage consumption, weighing on domestic demand which could in turn derail the Japanese economy.

That said, all of this means that market participants are convinced that the BOJ will have to expand its stimulus measures even more aggressively even if BOJ chief Kuroda showed reluctance over further stimulus at the press concurrence. Kuroda instead said that he believes the Japanese economy will rebound in the summer, shaking off the negative effects of the increased sales tax in the current quarter. The yen jumped a touch following Kuroda’s comments amid diminishing prospects of further stimulus measures in the near-term.

Closer to home, there’s little on the macro agenda out of the euro zone but the UK’s manufacturing and industrial output releases are likely to garner some attention ahead of the Bank of England’s policy meeting on Thursday. In the US later, we will see the release of Alcoa’s earnings after the closing bell in New York with consensus EPS at around $0.05 and consensus revenue of $5.57b for the Q1 – note that Alcoa was last year kicked out of the DOW but it’s earnings release still heralds the start of the reporting season.

Alcoa’s eviction from the DOW followed growing concerns about the company’s poor earnings outlook which worried the market however since then, management are attempting to turn the business around by investing $575million to expand production to meet the needs of the auto industry and that are projecting the use of aluminium in auto parts to double by 2025. That said, the market is still somewhat sceptical about the company as the balance sheet will most certainly suffer from costs related to restructuring, closing plants and laying off workers. This week also sees banking giants JPMorgan and Wells Fargo line up to release numbers.

Ishaq Siddiqi
Market Strategist
ETX Capital
www.etxcapital.com

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9H30

Good Morning Finyear Readers!

European markets are trading little changed to slightly lower this morning after having received another bashing yesterday on continuous weakness out of the US and on increasing concerns that the situation in Easter and Southern Ukraine could further escalate in the days ahead.
In the US traders are remaining rather cautious and hesitant what adding to and initiating ‘long-positions’ is concerned.
Besides an increasingly bleak technical picture possibly pointing towards to the early stages of a major correction, stock valuations in general seem to have run a bit ahead of themselves without earnings growth managing to keep up pace.
In Europe things look slightly different even European markets have underperformed their American peers over the past few months and the situation in Europe especially in the battered periphery countries is improving faster than expected the ongoing situation in the Ukraine is continuing to take a toll on markets and impacting investor’s risk appetite in a negative way.
However while overall sentiment has worsened substantially and despite the sharp weakness seen over the past couple of days no real damage has been done yet, in Europe and the US markets are still confined within their recent trading ranges.
It needs to be seen if downside momentum will continue with the US earnings season upon us or if traders turning more neutral in the days ahead awaiting floods of corporate earnings and outlooks for the quarters ahead.
A bit of a wildcard continues to remain the situation in the Ukraine any further instability should quickly filter through to European markets.
Due to the current prevailing negative sentiment traders still prefer selling rallies instead of going on bargain hunting and trying to pick a bottom.

Thank you.
Kind regards,

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com

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9H00

Les marchés prudents avant le lancement de la saison des résultats

Marchés Actions : Sur les marchés actions, Wall Street a clôturé en nette baisse hier, dans le sillage des bourses mondiales. Les investisseurs se retirent des valeurs à très forte croissance en prévision d’un mouvement de repli. L’indice Dow Jones cède ainsi 1,08% à 16 245,87 points, le S&P500 1,08% à 1 845,04 points. Le Nasdaq a décroché de 1,15% à 4 080,27 points. Au cours des trois dernières séances, le S&P500 a lâché près de 2,4%, soit la plus mauvaise performance en plus de deux mois de l’indice de référence des gérants de fonds. Il efface ainsi l’ensemble des gains accumulés depuis le début de l’année. Le recul global de Wall Street est principalement dû aux valeurs technologiques. Un peu plus tôt dans la journée, le CAC40 a fini en repli de 1,08% à 4 436,08 points, le FTSE 1,09% et le Dax a perdu 1,91%. Alors que les tensions semblaient s’apaiser entre Kiev et Moscou permettant aux bourses à travers le monde de clôturer en territoire positif depuis plusieurs séances, de nouveaux évènements perturbent cet équilibre précaire. Les militants pro-russes qui occupent le siège du pouvoir régional à Donetsk, dans l’Est de l’Ukraine, ont proclamé lundi la création d’une république séparatiste et demandé l’organisation d’un référendum d’ici le 11 mai. De plus, un officier ukrainien a été abattu par un soldat russe hier.

Ce matin, la bourse de Tokyo a fini en baisse de 1,36% à 14 606,88 points et le Topix 1,86% à 1 174,56 points. Les valeurs technologiques continuent de particulièrement souffrir, subissant de nombreuses prises de profits. En effet, nombre d’investisseurs les trouvent survalorisés. La Banque du Japon a laissé sa politique monétaire inchangée et maintenu son pronostic d’une reprise économique modérée, réitérant ainsi sa confiance dans la capacité du pays du soleil levant à atteindre son objectif d’inflation.

D’après les premières informations disponibles, les principales bourses européennes sont attendues stables ou en léger repli à l’ouverture. Le CAC pourrait ouvrir proche de la neutralité, tandis que le Dax devrait céder 0,1% et le FTSE 0,3%. La saison des résultats commence ce soir avec Alcoa.

Forex : Pour ce début de semaine, le marché s’est révélé relativement calme faisant suite au discours du président de la BCE en fin de semaine dernière. Durant son intervention, Mario Draghi a indiqué que l’utilisation d’instruments non conventionnels pourrait être envisagée afin de maintenir la stabilité des prix. Dans le même temps, les investisseurs ont appris le maintien du taux directeur à 0,25%. Ainsi, les opérateurs de marché s’attendent à une action prochaine de la BCE et restent ainsi attentistes et prudents.

Durant la séance d’hier, les cambistes ont favorisé la monnaie unique au détriment du billet vert. En effet, le cross EUR/USD a rebondi au niveau de son point pivot fixé à 1,3699$ et s’est apprécié de près de 50 pips. Dans sa timide ascension, la parité EUR/USD a réussi à s’échanger au-dessus du seuil des 1,3740$. Depuis cette nuit, l’EUR/USD marque une pause et reste dans un range compris entre 1,3738$ et 1,3745$.

Le GBP/USD a connu le même scénario haussier. La livre sterling a gagné du terrain face au dollar et les investisseurs ont ainsi porté le cross GBP/USD à son plus haut, aux encablures des 1,6661$. Actuellement la parité s’adjuge à 1,6617$.

Pour le premier jour de la semaine, le billet vert a prolongé son trend baissier et a cassé les 103 yens. Après un recul de près de 50 pips, le cross se traite aux alentours de son actuel support 1 fixé à 102,90 yens. L’USD/JPY s’échange à 102,90 yens.

Matières premières : Du côté des matières premières, le brut WTI rebondit hier alors que la demande d’essence diminue pour la septième semaine aux Etats-Unis, pays considéré comme le plus grand consommateur de pétrole au monde. Le Brent restait stable à Londres.

Les contrats à terme baissent de 0.6% à New York, en hausse pour la troisième fois en quatre jours. Les stocks d’essence ont reculé de près de 1 million de barils la semaine dernière, selon un sondage d’analystes de Bloomberg. Par ailleurs, le Brent de la mer du Nord a chuté hier au moment où les rebelles libyens ont abandonné le contrôle de deux ports pétroliers au gouvernement, permettant de ce fait une augmentation des exportations de la nation de l’OPEP. Ce matin, le WTI progresse de 0.32% à 101.05$ et le Brent gagne 0.11% à 106.11$.

Les métaux précieux évoluent à la hausse ce matin à l’ouverture. L’or remonte fortement aux alentours des 1 307.50$ après avoir ouvert à 1 296.60$, soit en hausse de 0.83%. Quant à l’argent, il gagne 0.38% et cote ce matin aux encablures des 20.04$, repassant au-dessus des 20$. Le statu quo annoncé par Mario Draghi, président de la BCE, a permis aux métaux précieux de souffler. Les investisseurs attendront prochainement les discours des banques centrales.

L'équipe Saxo Banque
www.saxobanque.fr

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7 avril 2014

Chine – Répit temporaire ou phénomène plus durable ?

La Chine a rarement été absente des médias au cours de ces trois derniers mois. Depuis le début de l’année, le sentiment général a été sérieusement affecté par une combinaison de statistiques économiques décevantes et d’inquiétudes croissantes sur le crédit. Cette détérioration n’a pas été circonscrite aux seuls actifs chinois. Les inquiétudes suscitées par un possible atterrissage brutal et/ou l’émergence de risques pesant sur le système financier ont également affecté un ensemble de marchés d’actifs - du cuivre et du minerai de fer aux devises matières premières (AUD, CAD, BRL, CLP etc..) ainsi que diverses actions émergentes - tous sensibles à la demande des utilisateurs finaux chinois. Depuis mi-mars cependant, ce sentiment baissier qui imprègne ces marchés a commencé à céder du terrain. Une diminution à court terme des tensions financières et l’éventualité de mesures de stimulation de la politique monétaire ont ouvert la voie à une couverture de positions à découvert et à une possibilité de renversement de tendance. Question : s’agit-il d’un simple répit temporaire ou du début d’une évolution plus durable ?

Le fait que l’économie chinoise ait commencé l’année 2014 dans un état de santé bien moins reluisant que les précédentes anticipations ne le laissaient supposer est un diagnostic désormais largement partagé. Malgré les perturbations habituelles du Nouvel an chinois, le ralentissement de l’activité a dépassé le stade des ajustements saisonniers normaux. Au cours des mois de janvier et février cumulés, la production industrielle a progressé de 8,5 % en glissement annuel contre 9,5 % anticipés par le consensus ; les investissements en immobilisations corporelles au cours de cette même période se sont élevés à 17,9 % contre 19,4 % pour les prévisions du consensus de Bloomberg ; la croissance des ventes de détail a atteint +11,8 % contre 13,5 % pour les prévisions du consensus. Ce ralentissement est particulièrement frappant lorsque l’on examine les taux de croissance en variation trimestrielle (que le National Bureau of Statistics ne publie pas). La plupart des estimations pour le premier trimestre 2014 ont reculé à un niveau compris entre 5 % et 6 % SAAR (en taux annuel désaisonnalisé) contre des niveaux habituels compris entre 7 % et 9 %. La bonne nouvelle est que les prévisions concernant les taux de croissance trimestriels postérieurs au premier trimestre sont un peu plus robustes, ce qui rend le ralentissement headline (apparent) en glissement annuel bien moins évident (avec des estimations pour l’année entière de 7,4 % en moyenne après les 7,7 % enregistrés l’an dernier). Mais il est également clair que le premier trimestre 2014 sera le plus faible jamais enregistré par la Chine depuis les profondeurs abyssales enregistrées lors de la Crise financière mondiale.

Pourquoi l’activité a-t-elle été aussi faible ? Cela peut être mis en partie sur le compte du resserrement des conditions financières survenu au cours du second semestre 2013, les dirigeants politiques s’étant focalisés sur la reprise en main de la croissance excessive du crédit.

Mais il s’agit aussi en partie d’un dommage collatéral de la campagne anti-corruption en cours menée par le Président Xi Jin Ping. Les ordres reçus des entreprises d’Etat (SoEs) et des institutions gouvernementales se sont brutalement raréfiés, les fonctionnaires ayant réduit les dépenses pour éviter d’attirer inutilement l’attention. Les dépenses d’investissement ont également été touchées par le fait que les dirigeants d’entreprises se sont attachés à sécuriser leur propre poste. Beaucoup d’entre eux cherchant à éviter l’attention des autorités, le résultat final a abouti à une paralysie des prises de décision. Etant donné le caractère sans précédent de la campagne anti-corruption actuelle, il est difficile d’en tracer toutes les ramifications et les conséquences économiques se manifestent sous des formes inattendues. Par conséquent, il n’est peut-être pas surprenant que les conséquences économiques de cette évolution aient été également sous-estimées. Au même moment, du fait qu’un impératif politique plus large est à l’oeuvre, il est également difficile d’inverser la tendance en prenant des mesures de stimulation à titre compensatoire, qui pourraient contribuer à réduire l’efficacité des mesures disciplinaires en cours d’implémentation.

Si des mesures de stimulation de grande envergure ne sont pas à l’ordre du jour, comment Pékin pourrait-il réagir pour soutenir la croissance ? Plutôt qu’une déclaration unique, il est plus vraisemblable que nous assisterons à une série de petites mesures de dépenses ciblées qui, bien que fragmentaires par nature, sont susceptibles de contribuer à un double objectif de croissance et de réforme. Il existe un fort consensus chez les dirigeants politiques pour estimer que les programmes de dépenses précédents ont été à la fois inutilement dispendieux sur le plan économique et nuisibles politiquement. Ils ont laissé aux gouvernements locaux un lourd passif de mauvaises dettes et ont amoindri l’autorité de l’administration centrale. Les récentes déclarations politiques qui ont suivi les réunions de l’Assemblée populaire nationale de Chine (NPC) du mois dernier ont été tout à fait sur cette ligne.

Dans le même temps, la nature modeste et progressive, de ces mesures rend les marchés vulnérables à la déception. Si les investisseurs revenaient vers les actions chinoises (et les actifs qui leur sont associés) en anticipant des mesures plus radicales (par exemple un plan d’investissements important dans les infrastructures ou d’éventuelles baisses de taux d’intérêt), cette attente deviendrait assez rapidement vaine dans la mesure où il devient clair qu’aucune annonce de stimulation globale ne se dessine. Fait plus inquiétant, nous approchons de la période du pic de remboursement des produits de gestion d’actifs lancés entre 2011 et 2013. Beaucoup d’entre eux ont consisté en des prêts octroyés aux gouvernements locaux lorsqu’ils ont augmenté leurs dépenses consacrées aux projets d’infrastructure. Credit Suisse, par exemple, estime que 2 300 milliards RMB doivent être remboursés aux épargnants des fiducies au cours du second semestre 2014. Il est prudent d’estimer que ces encours ne seront pas en totalité prorogés ou remboursés. La façon dont ce processus sera géré n’est pas claire mais, compte tenu de ses ramifications et des réactions en chaîne possibles, l’éventualité d’un défaut générant des inquiétudes plus systémiques reste élevée.

Dans ce contexte, nous suggérons que le rebond actuel des actions chinoises est davantage un répit provisoire qu’une inversion de tendance fondamentale. La croissance du crédit restant largement supérieure à celle du PIB, le travail de rééquilibrage de l’économie et de gestion d’un processus de désendettement devrait être une oeuvre de longue haleine. A moyen terme, la Chine a la capacité d’empêcher un désendettement désordonné grâce à son marché de capitaux encore fermé, de faibles niveaux de participation étrangère, d’importantes réserves de change et à la répression financière en cours. Le secteur public a également la capacité d’absorber les importants coûts de crédit des banques nationales et de recapitaliser le système bancaire en cas de besoin. Mais il reste de nombreux obstacles à surmonter si l’objectif poursuivi est un rééquilibrage ordonné. Les perspectives vont rester au minimum volatiles, les dirigeants politiques cherchant à suivre un chemin étroit entre les objectifs contradictoires de réduction de l’excès de crédit, de libéralisation du système financier et de soutien de la croissance.

Jonathan Lowe
J.P. Morgan Asset Management

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3 avril 2014

Les réformes engagées par l’Europe commencent à porter leurs fruits mais la poursuite des efforts est indispensable, selon l’OCDE

Les mesures prises par de nombreux pays européens pour assainir leurs finances publiques commencent à porter leurs fruits, selon l’OCDE. Les économies de la zone euro qui accusaient d’importants déficits de la balance des paiements courants au lendemain de la crise sont désormais excédentaires. Les ratios dette au PIB se stabilisent et les tensions sur les marchés se sont atténuées.

Même si l’activité économique des pays européens redémarre lentement, ces pays sont confrontés à des défis de taille. Le chômage reste élevé et, dans certains pays, le chômage des jeunes a franchi la barre des 30 %.

Deux nouveaux rapports de l’OCDE – consacrés à la zone euro et à l’UE dans son ensemble – présentent les politiques indispensables pour conforter une croissance économique durable et s’attaquer au creusement des inégalités sociales en Europe.

« L’assainissement budgétaire a beaucoup progressé mais la dette publique de nombreux pays est encore trop élevée », a déclaré M. Angel Gurría, Secrétaire général de l’OCDE. « Il est indispensable de poursuivre le processus d’assainissement, sans toutefois perdre de vue la nécessité de soutenir une croissance inclusive et la création d’emplois. » Des réformes visant à renforcer le secteur bancaire, à consolider le marché unique et à stimuler les nouvelles sources de croissance dans une économie sobre en carbone sont également essentielles.

Présentant ces rapports à Bruxelles avec M. Joaquín Almunia, Vice‑président de la Commission européenne, M. Gurría a ajouté, « Il est également primordial de restaurer les flux de crédit et d’investissement. De ce fait, plus tôt les problèmes liés aux bilans des banques seront résolus, mieux ce sera. »

D’après l’Étude sur la zone euro, il conviendrait d’améliorer la méthodologie de pondération des actifs bancaires en fonction des risques et de la rendre plus transparente. Les auteurs de cette étude saluent la mise en place du mécanisme de supervision unique mais suggèrent, lors de l’évaluation des risques, d’accorder plus d’attention au « ratio de levier », qui rapporte les fonds propres des banques à leurs actifs non pondérés.

Parallèlement, l’intensification de la concurrence est indispensable pour promouvoir la mobilité sur le marché du travail et les marchés de produits, un facteur essentiel pour assurer la prospérité d’économies dynamiques.

Selon l’Étude économique consacrée à l’UE, plusieurs pays comme l’Espagne, la Grèce, l’Irlande et le Portugal ont considérablement progressé sur la voie des réformes structurelles nécessaires à la modernisation de leur économie.

Cela étant, toujours d’après cette étude, des mesures plus approfondies et plus amples sont indispensables en Europe. Des initiatives comme le Semestre européen et le programme Horizon 2020, destinées à favoriser la croissance et l’innovation, n’ont eu jusque‑là que des effets limités dans la mesure où les pays n’y ont guère adhéré et que les coûts de la réglementation sont élevés, précisent encore les auteurs de l’étude.

Pour redynamiser le marché unique, la directive européenne « services » doit aller encore plus loin, explique l’étude. En raison de la diversité des règles en vigueur dans les pays de l’UE, les entreprises ont du mal à s’adapter. La coopération entre les instances de réglementation nationales pourrait être renforcée et la mobilité de la main‑d’œuvre stimulée en développant les mécanismes de reconnaissance automatique des qualifications.

Les progrès vers une économie sobre en carbone devraient rester une priorité et l’UE devrait adopter un objectif d’émission ambitieux pour 2030. Il conviendrait d’éviter que l’objectif fixé pour les énergies renouvelables et les mécanismes de subvention créent des distorsions au sein du marché unique.

Une synthèse des Études économiques sur la zone euro et l’Union européenne peut être consultée à l’adresse suivante : oecd.org/fr/economie/etudes/

À propos de l’OCDE : l’OCDE est un forum mondial de politique économique. Elle fournit des analyses et conseils à ses 34 pays membres et aux autres pays à l’échelle mondiale, en encourageant des politiques meilleures pour une vie meilleure.
Organisation de coopération et de développement économiques
ocde.org

Corporate Finance : commentaires du jour

(NOUVEAU) L'actu Corporate Finance par FinActu :

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Le taux de chômage à 11,9% dans la zone euro (Février 2014)

À 10,6% dans l’UE28

Dans la zone euro (ZE18), le taux de chômage corrigé des variations saisonnières s’est établi à 11,9% en février 2014, stable depuis octobre 2013.
Il se situait à 12,0% en février 2013.
Dans l’UE28, le taux de chômage s’est établi à 10,6% en février 2014, en baisse par rapport au taux de 10,7% de janvier 20144.
Il se situait à 10,9% en février 2013.

Ces chiffres sont publiés par Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne.

EUROSTAT
ec.europa.eu/eurostat

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mardi 8 Avril 2014




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