Avant de déclencher la révolution promise, qui ne se fera certainement pas en un jour, Slice devrait commencer par lancer – prochainement – un produit plus modeste, dans les 7 états américains dans lesquelles elles dispose d'une licence. Inscrit dans la tendance de l'économie « collaborative », il permettra aux conducteurs de VTC (Uber, Lyft et consorts…) de souscrire, en toute simplicité et en totale transparence, une assurance à la demande, apportant les garanties qui manquent généralement dans les polices usuelles (dont celles des plates-formes elles-mêmes).
En dépit de son périmètre initial réduit, cette solution comprendra déjà toutes les caractéristiques qui définissent la stratégie de la startup : intelligence, simplicité et accessibilité. En d'autres termes, il s'agit d'offrir une couverture aussi complète que possible, à coût maîtrisé, adaptée au contexte et disponible d'un seul geste (ou moins). En pratique, une fois souscrite, l'assurance du conducteur de VTC entre en action (et est facturée) uniquement pendant les courses qu'il effectue, ces périodes étant déterminées automatiquement par l'activation de son application de réservation.
Au-delà de cette première étape, on peut aisément imaginer la déclinaison du service sur des domaines proches, tels que le co-voiturage, voire la co-livraison. Dans un registre un peu plus élaboré mais reposant sur les mêmes bases, Slice évoque également l'hypothèse d'un contrat universel, pour les activités professionnelles et pour les usages personnels, chacun avec ses risques spécifiques, pris en charge au moment opportun, sans que l'assuré ait jamais à s'inquiéter de devoir déclarer sa situation immédiate.
En prolongeant encore la réflexion, il devient facile (et réaliste) d'envisager des extensions dans tous les recoins de la vie quotidienne, avec les produits d'assurance correspondants : l'habitation (y compris avec ses périodes de location), les activités sportives, les voyages et déplacements… À chaque instant, la compagnie pourrait détecter les protections requises et procurer l'inestimable tranquillité d'esprit de savoir que les risques sont toujours couverts, quoi qu'il arrive, de manière presque invisible…
Grâce aux technologies (mobile en tête) et en adoptant l'état de l'art de l'expérience client chère aux plates-formes « collaboratives » d'aujourd'hui, Slice ne fait finalement que transposer l'assurance aux exigences de l'ère moderne, dans laquelle la personnalisation et la transparence sont les valeurs clés.
À lire également, à propos de Slice, ce billet de Mike Fitzgerald, pour Celent (thanks !):
http://insuranceblog.celent.com/2016/03/29/slice-insurance-disruption-in-action/
En dépit de son périmètre initial réduit, cette solution comprendra déjà toutes les caractéristiques qui définissent la stratégie de la startup : intelligence, simplicité et accessibilité. En d'autres termes, il s'agit d'offrir une couverture aussi complète que possible, à coût maîtrisé, adaptée au contexte et disponible d'un seul geste (ou moins). En pratique, une fois souscrite, l'assurance du conducteur de VTC entre en action (et est facturée) uniquement pendant les courses qu'il effectue, ces périodes étant déterminées automatiquement par l'activation de son application de réservation.
Au-delà de cette première étape, on peut aisément imaginer la déclinaison du service sur des domaines proches, tels que le co-voiturage, voire la co-livraison. Dans un registre un peu plus élaboré mais reposant sur les mêmes bases, Slice évoque également l'hypothèse d'un contrat universel, pour les activités professionnelles et pour les usages personnels, chacun avec ses risques spécifiques, pris en charge au moment opportun, sans que l'assuré ait jamais à s'inquiéter de devoir déclarer sa situation immédiate.
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