En dehors des marchés périphériques de la zone euro, les rendements obligataires flirtent désormais avec leurs planchers historiques. En Allemagne, les rendements sont retombés à leurs niveaux de la première crise de la dette européenne de l’année passée, tandis que les taux des bons d’État américains sont comparables à ceux prévalant lors de la Grande Dépression et que les rendements du papier souverain britannique se situent à leur niveau le plus faible des 200 dernières années. Cette situation impressionnante est imputable à la combinaison des craintes systémiques et des inquiétudes relatives à la croissance.
Pour ceux qui sont toujours convaincus qu’une politique monétaire exceptionnellement souple est susceptible d’entraîner d’importants risques...
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