L’entreprise est un organisme vivant composé de cellules interdépendantes les unes des autres. Or, nous avons bien souvent tendance à proposer des solutions répondant à un besoin particulier d’un service sans voir le problème dans sa globalité. Et dans une certaine mesure nous avons raison car à vouloir voir trop grand dès le départ, on finit par ne rien faire face à l’ampleur de la tâche. Alors autant commencer petit, pour obtenir des résultats rapides, visibles et mesurables, avant de prendre de la hauteur. C'est précisément ce qu’ont fait les acteurs de la dématérialisation de factures pendant des années et ce que nous continuons à faire. Nous avions là -et nous avons toujours- un processus manuel fastidieux, source d’erreurs, coûteux, impliquant un manque de traçabilité et une inefficacité à répercussions multiples : sur la relation clients-fournisseurs, sur le BFR, sur la capacité à répondre aux réglementations et à garantir une piste d’audit fiable...
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Lisez la suite dans finyear magazine de avril-mai 2014
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