Lorsqu'il s'agit d'évaluer une entreprise, notamment dans le cadre d'une reprise d'entreprise, les premiers documents auxquels le repreneur ou ses conseils ont accès, ce sont, encore et toujours, les bilans et les comptes de résultats des cinq dernières années, la situation patrimoniale et financière de l'entreprise.
Les méthodes d'évaluation à partir de ces documents financiers sont pléthoriques : multiples du chiffre d'affaires, de la rentabilité, flux de trésorerie actualisés, méthodes patrimoniales...
Mais elles ne suffisent plus.
De nouveaux critères d'évaluation apparaissent
Le banquier ou l'investisseur, lui, s'intéressera avant tout à la capacité du repreneur à rembourser la dette, tout en laissant suffisamment d'argent dans l'entreprise pour qu'elle ne soit pas « étranglée » et pour pouvoir subvenir aux inévitables besoins d'investissement.
Mais désormais, on assiste à une tendance de fond qui consiste à prendre en compte, pour évaluer une entreprise, de nombreux autres critères. Les méthodes de gouvernance seront examinées à la loupe : le dirigeant exerce-t-il solitairement son autorité, ou a-t-il su s'entourer d'experts qui apportent leur vision professionnelle et objective ?
Ensuite, l'organisation humaine, la qualité des cadres et des équipes seront tout aussi essentielles, qu'il s'agisse de l'équipe commerciale, de l'équipe technique, de l'équipe administrative.
Les critères à prendre en compte et leur importance respective dépendront de l'activité et de la nature de l'entreprise : le portefeuille de marques, les équipements, la stratégie commerciale, le CRM, la performance en e-commerce, la qualité du contrôle interne, la répartition du chiffre d'affaires et de la clientèle...
Et bien évidemment, la politique sociétale et environnementale (RSE) est prise en considération de manière grandissante.
Connaître l'entreprise de l'intérieur
Pour évaluer l'entreprise dans sa globalité, il faut la connaître de l'intérieur. Pour appréhender concrètement tous ces critères, il faut également apprécier ses capacités réelles et ses faiblesses. Seul un regard averti saura déjouer les pièges d'une évaluation fantaisiste, pour aboutir à une évaluation qui ne tienne pas compte que des éléments financiers mais de sa performance globale.
Les conseils historiques ont le sens des réalités
L'accompagnement des entreprises par leurs conseils historiques, experts-comptables ou avocats, revient au goût du jour. Ils sont les mieux placés pour connaître la véritable situation de l'entreprise, ses faiblesses mais surtout son potentiel. Ce sont eux qui ont le sens des réalités, qui leur permettra d'obtenir une évaluation raisonnable, qui profitera aussi bien aux cédants qu'aux repreneurs.
Alain Perret le rappelle : « Combien d'entreprises sont tombées en faillite, et/ou ont été pressurisées par des fonds de pension ? Avec une fin sociale malheureuse... »
Pérenniser le tissu économique français
Cette nouvelle éthique a un autre avantage : elle contribue à la pérennisation du tissu économique de la France.
Baker Tilly France en quelques chiffres :
- un réseau fédéraliste de 37 cabinets indépendants répartis sur l'ensemble du territoire français, y compris les départements d'Outre-Mer (Guadeloupe et Réunion) et dans la plupart des pays francophones d'Afrique (Bénin, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Madagascar, Maroc, Tunisie, République Centre Afrique et Sénégal)
- date de création : 1974
- 159 experts-comptables diplômés et 1255 collaborateurs
- un siège basé à Paris avec une équipe de permanents
- chiffre d'affaires : 112 millions d'euros
Baker Tilly France est membre de Baker Tilly International :
- un réseau de 154 cabinets et 693 bureaux implanté dans 133 pays
- date de création : 1989
- placé au 8ème rang des réseaux au niveau mondial
- 27 000 associés et collaborateurs
- un siège basé à Londres avec une équipe de permanents
- chiffre d'affaires : 3,6 milliards de dollars US
www.bakertillyfrance.com
Les méthodes d'évaluation à partir de ces documents financiers sont pléthoriques : multiples du chiffre d'affaires, de la rentabilité, flux de trésorerie actualisés, méthodes patrimoniales...
Mais elles ne suffisent plus.
De nouveaux critères d'évaluation apparaissent
Le banquier ou l'investisseur, lui, s'intéressera avant tout à la capacité du repreneur à rembourser la dette, tout en laissant suffisamment d'argent dans l'entreprise pour qu'elle ne soit pas « étranglée » et pour pouvoir subvenir aux inévitables besoins d'investissement.
Mais désormais, on assiste à une tendance de fond qui consiste à prendre en compte, pour évaluer une entreprise, de nombreux autres critères. Les méthodes de gouvernance seront examinées à la loupe : le dirigeant exerce-t-il solitairement son autorité, ou a-t-il su s'entourer d'experts qui apportent leur vision professionnelle et objective ?
Ensuite, l'organisation humaine, la qualité des cadres et des équipes seront tout aussi essentielles, qu'il s'agisse de l'équipe commerciale, de l'équipe technique, de l'équipe administrative.
Les critères à prendre en compte et leur importance respective dépendront de l'activité et de la nature de l'entreprise : le portefeuille de marques, les équipements, la stratégie commerciale, le CRM, la performance en e-commerce, la qualité du contrôle interne, la répartition du chiffre d'affaires et de la clientèle...
Et bien évidemment, la politique sociétale et environnementale (RSE) est prise en considération de manière grandissante.
Connaître l'entreprise de l'intérieur
Pour évaluer l'entreprise dans sa globalité, il faut la connaître de l'intérieur. Pour appréhender concrètement tous ces critères, il faut également apprécier ses capacités réelles et ses faiblesses. Seul un regard averti saura déjouer les pièges d'une évaluation fantaisiste, pour aboutir à une évaluation qui ne tienne pas compte que des éléments financiers mais de sa performance globale.
Les conseils historiques ont le sens des réalités
L'accompagnement des entreprises par leurs conseils historiques, experts-comptables ou avocats, revient au goût du jour. Ils sont les mieux placés pour connaître la véritable situation de l'entreprise, ses faiblesses mais surtout son potentiel. Ce sont eux qui ont le sens des réalités, qui leur permettra d'obtenir une évaluation raisonnable, qui profitera aussi bien aux cédants qu'aux repreneurs.
Alain Perret le rappelle : « Combien d'entreprises sont tombées en faillite, et/ou ont été pressurisées par des fonds de pension ? Avec une fin sociale malheureuse... »
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