Etat des lieux de l’économie française :
- Le momentum de croissance se renforce clôturant l’épisode ouvert en 2008 ;
- La politique de l’offre n’est pas un échec mais son impact reste encore peu perceptible ;
- La surabondance de mesures pourrait avoir un effet contre-productif ;
- Pas d’embellie sur l’emploi prochainement.
Tous les indicateurs économiques (ou presque) sont au vert. Après un premier trimestre qui avait surpris à la hausse (croissance de 0,6%), le momentum de croissance se renforce ces derniers mois. L’indicateur PMI flash composite de juin est ressorti à un plus haut de quatre ans. Sans surprise, le secteur des services poursuit sa lancée mais, en plus, le secteur manufacturier parvient à s’extraire de la borne des 50, qui sépare la contraction de l’activité de l’expansion.
L’économie française est, cette année, à un point de retournement qui devrait permettre de clore définitivement le chapitre de la crise financière mondiale et de ses retombées, comme le suggère l’évolution des indicateurs composites avancés (ICA) de l’OCDE.
L’impact de la politique de l’offre peu perceptible
Selon l’INSEE, la croissance devrait s’établir en 2015 à 1,2%, ce qui correspond à nos attentes formulées en fin d’année dernière (1%-1,2%). Bien que l’activité reparte, elle reste encore sous le niveau de croissance potentielle (1,5%). L’activité reste largement tirée par une consommation intérieure toujours dynamique. C’est une constance de l’économie française. En dépit de la politique de l’offre du gouvernement, la structure de l’économie française reste identique. Aujourd’hui, les dépenses de consommation des ménages représentent toujours plus de 50% du PIB. La transition vers un autre modèle de croissance prendra du temps.
Il apparait que l’investissement et le commerce extérieur ne bénéficient pas substantiellement de la politique économique du gouvernement Valls. La mesure de suramortissement annoncée en avril ne devrait avoir qu’un effet très marginal sur l’investissement tandis que le commerce extérieur reste toujours pénalisé par les choix stratégiques des PME qui privilégient encore trop le marché intérieur en raison des marges plus importantes qu’elles peuvent attendre. Les PME sont souvent frileuses à affronter la concurrence internationale. Cela peut s’expliquer par des coûts de production plus élevés que leurs concurrents directs, mais également par une difficulté à monter en gamme, suivant en cela l’exemple allemand. Aujourd’hui, sur certains segments de marché, les PME françaises sont dévorées par leurs concurrentes espagnoles qui peuvent capitaliser sur une baisse significative du coût du travail.
Il n’est pas question de dire que la politique de l’offre est un échec, simplement qu’il est encore trop tôt pour en analyser tous les effets et que sa réussite dépendra aussi des spécificités culturelles françaises.
Le risque de surabondance des réformes
Selon nos estimations, la dynamique positive observée depuis six mois devrait se poursuivre le semestre à venir. Le repli de l'euro et du pétrole ont été des facteurs de soutien en tout début d’année mais l’alignement des astres n’est plus qu’une chimère désormais. En revanche, l’absence prévisible de hausses d’impôt à l’approche de l’élection présidentielle constitue un élément favorable pour la reprise. Tout comme l’est le CICE, dont une évaluation ne sera réellement possible que d’ici un an, en 2016. La volonté de certains responsables socialistes de faire un bilan de ce dispositif dès cet été est prématurée voire démagogique. Cette mesure est bien trop récente pour avoir un effet notable sur la dynamique économique.
La volonté de réforme de l’exécutif est à saluer. Il n’est certainement pas faux de dire que peu de gouvernements ont autant fait pour les entreprises depuis quinze ans en France. Le problème, c’est qu’une impression de confusion et d’absence de ligne directrice ressortent de cette profusion de mesures. Presque chaque mois, de nouvelles annonces sont faites. L’abondance de réformes peut être contre-productif et avoir un effet repoussoir auprès des dirigeants de TPE et de PME. Ils finissent par ne pas s’y retrouver, considérant que les dispositifs mis en œuvre sont trop confus ou trop compliqués, et ils renoncent à en bénéficier. Le gouvernement aurait donc intérêt à rappeler les grandes lignes de sa politique économique et à limiter les effets d’annonce.
Un faible gain politique à atteindre de la baisse du taux de chômage
Bien que la croissance reparte, le gouvernement ne devrait pas enregistrer un succès notable sur le terrain de l’emploi. L’envolée sur les derniers mois des demandeurs d’emploi en catégories B et C semble confirmer l’hypothèse d’une croissance sans emploi. Toute faible baisse du taux de chômage cette année sera artificielle et liée aux contrats aidés dont bénéficieront essentiellement les collectivités locales, comme c’est habituellement le cas.
La France n’a pas changé de logiciel et privilégie toujours un traitement social du chômage qui est, pourtant, un complet échec comme l’ont montré les vingt-cinq dernières années. En la matière, les deux angles de réformes à privilégier sont connus : la mise en place d’un contrat de travail unique et l’amélioration des dispositifs de formation qui permettra, justement, la nécessaire montée en gamme de l’industrie française. Cependant, ces réformes sont compliquées et aucun homme politique sensé ne s’attaquera à ces deux chantiers en fin de mandat.
- Le momentum de croissance se renforce clôturant l’épisode ouvert en 2008 ;
- La politique de l’offre n’est pas un échec mais son impact reste encore peu perceptible ;
- La surabondance de mesures pourrait avoir un effet contre-productif ;
- Pas d’embellie sur l’emploi prochainement.
Tous les indicateurs économiques (ou presque) sont au vert. Après un premier trimestre qui avait surpris à la hausse (croissance de 0,6%), le momentum de croissance se renforce ces derniers mois. L’indicateur PMI flash composite de juin est ressorti à un plus haut de quatre ans. Sans surprise, le secteur des services poursuit sa lancée mais, en plus, le secteur manufacturier parvient à s’extraire de la borne des 50, qui sépare la contraction de l’activité de l’expansion.
L’économie française est, cette année, à un point de retournement qui devrait permettre de clore définitivement le chapitre de la crise financière mondiale et de ses retombées, comme le suggère l’évolution des indicateurs composites avancés (ICA) de l’OCDE.
L’impact de la politique de l’offre peu perceptible
Selon l’INSEE, la croissance devrait s’établir en 2015 à 1,2%, ce qui correspond à nos attentes formulées en fin d’année dernière (1%-1,2%). Bien que l’activité reparte, elle reste encore sous le niveau de croissance potentielle (1,5%). L’activité reste largement tirée par une consommation intérieure toujours dynamique. C’est une constance de l’économie française. En dépit de la politique de l’offre du gouvernement, la structure de l’économie française reste identique. Aujourd’hui, les dépenses de consommation des ménages représentent toujours plus de 50% du PIB. La transition vers un autre modèle de croissance prendra du temps.
Il apparait que l’investissement et le commerce extérieur ne bénéficient pas substantiellement de la politique économique du gouvernement Valls. La mesure de suramortissement annoncée en avril ne devrait avoir qu’un effet très marginal sur l’investissement tandis que le commerce extérieur reste toujours pénalisé par les choix stratégiques des PME qui privilégient encore trop le marché intérieur en raison des marges plus importantes qu’elles peuvent attendre. Les PME sont souvent frileuses à affronter la concurrence internationale. Cela peut s’expliquer par des coûts de production plus élevés que leurs concurrents directs, mais également par une difficulté à monter en gamme, suivant en cela l’exemple allemand. Aujourd’hui, sur certains segments de marché, les PME françaises sont dévorées par leurs concurrentes espagnoles qui peuvent capitaliser sur une baisse significative du coût du travail.
Il n’est pas question de dire que la politique de l’offre est un échec, simplement qu’il est encore trop tôt pour en analyser tous les effets et que sa réussite dépendra aussi des spécificités culturelles françaises.
Le risque de surabondance des réformes
Selon nos estimations, la dynamique positive observée depuis six mois devrait se poursuivre le semestre à venir. Le repli de l'euro et du pétrole ont été des facteurs de soutien en tout début d’année mais l’alignement des astres n’est plus qu’une chimère désormais. En revanche, l’absence prévisible de hausses d’impôt à l’approche de l’élection présidentielle constitue un élément favorable pour la reprise. Tout comme l’est le CICE, dont une évaluation ne sera réellement possible que d’ici un an, en 2016. La volonté de certains responsables socialistes de faire un bilan de ce dispositif dès cet été est prématurée voire démagogique. Cette mesure est bien trop récente pour avoir un effet notable sur la dynamique économique.
La volonté de réforme de l’exécutif est à saluer. Il n’est certainement pas faux de dire que peu de gouvernements ont autant fait pour les entreprises depuis quinze ans en France. Le problème, c’est qu’une impression de confusion et d’absence de ligne directrice ressortent de cette profusion de mesures. Presque chaque mois, de nouvelles annonces sont faites. L’abondance de réformes peut être contre-productif et avoir un effet repoussoir auprès des dirigeants de TPE et de PME. Ils finissent par ne pas s’y retrouver, considérant que les dispositifs mis en œuvre sont trop confus ou trop compliqués, et ils renoncent à en bénéficier. Le gouvernement aurait donc intérêt à rappeler les grandes lignes de sa politique économique et à limiter les effets d’annonce.
Un faible gain politique à atteindre de la baisse du taux de chômage
Bien que la croissance reparte, le gouvernement ne devrait pas enregistrer un succès notable sur le terrain de l’emploi. L’envolée sur les derniers mois des demandeurs d’emploi en catégories B et C semble confirmer l’hypothèse d’une croissance sans emploi. Toute faible baisse du taux de chômage cette année sera artificielle et liée aux contrats aidés dont bénéficieront essentiellement les collectivités locales, comme c’est habituellement le cas.
La France n’a pas changé de logiciel et privilégie toujours un traitement social du chômage qui est, pourtant, un complet échec comme l’ont montré les vingt-cinq dernières années. En la matière, les deux angles de réformes à privilégier sont connus : la mise en place d’un contrat de travail unique et l’amélioration des dispositifs de formation qui permettra, justement, la nécessaire montée en gamme de l’industrie française. Cependant, ces réformes sont compliquées et aucun homme politique sensé ne s’attaquera à ces deux chantiers en fin de mandat.
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TAUX D'INTERET LEGAL & TAUX INTERBANCAIRES
L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".
Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".
Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.
L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."
Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %
Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien
Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".
Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.
L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."
Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %
Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien
Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
Notes :
- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.
- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.
Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France
- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.
- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.
Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France
Taux de référence des bons du Trésor et OAT
Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France
INDICES OBLIGATAIRES
Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.
Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.
Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)
Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France
Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France
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