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Finyear Eco - 9 octobre 2014 (n°6 - 14H00) | Major US indices recover, Barclays continued woes & FTSE increases

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco - 9 octobre 2014 (n°6 - 14H00) | Major US indices recover, Barclays continued woes & FTSE increases
N°6 - 14H00

Major US indices recover, Barclays continued woes & FTSE increases

Major US indices posted their biggest one day gains yesterday after the Federal Reserve calmed investor’s nerves that its long anticipated interest rate hike would not happen until the economy can withstand it. The Dow Jones made the biggest gains, closing up 274 points at 16994 whilst the SP500 closed up 33 points finishing at 1968. Asian shares also soared on the dovish Fed message.

The Feds posturing saw the Dollar crumble against a basket of major pairs, slipping 0.2% against the yen to 107.75, well away from its six year high of 110 set last week. The Euro rose 0.1% against the greenback to £1.274, two cents above its $1.2500 two year trough we saw last week. Sterling also rose above an eleven month low ahead of the BOE policy announcement later in the day where the bank is expected to keep rates unchanged.

Commodities, especially the yellow metal were the big winners after yesterdays Fed announcement. Recent dollar strength has seen prices fall but the weakening of the dollar saw gold rise to its highest level in two weeks trading around $1224 an ounce.

Within the equity space Rio Tinto, the Anglo Australian mining giant announced that falling iron ore prices would lead to the elimination of 125m tonnes of iron ore supply among higher cost producers in 2014. Further woe for Barclays hits the wires today, the under pressure British bank has agreed to pay nearly $20m to resolve a U.S. class action lawsuit accusing them of manipulating the Libor benchmark interest rate, according to court papers filed Wednesday.

The FTSE was called to open 70 points higher and is now trading 40 points higher at 6527 as traders cast one eye on the BOE rate announcement at 12pm whilst Thursday also brings us the US jobless claims number expected to be higher than last week at approximately 294k.

ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk


N°5 - 10H15

Vers une meilleure gouvernance des finances publiques ?

Le présent flash analyse le projet de loi de programmation des finances publiques (PJLPFP) pour la période 2014-2019 présenté la semaine dernière, notamment dans sa dimension « gouvernance ».

1. Origine et impact des premières lois de programmation relatives aux finances publiques

Le PJLPFP 2014-2019 est le quatrième projet de loi de programmation depuis la réforme constitutionnelle issue de la loi du 23 juillet 2008. Contrairement aux deux premières lois, qui s’inscrivaient dans un cadre souple, la LPFP 2012-2017 a été votée fin 2012 à la suite de la signature au niveau européen du Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) le 2 mars 2012 qui fixe un objectif à moyen terme (OMT) de déficit structurel au plus égal à - 0,5 % du PIB.

Déclinant le traité, la loi organique relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques a introduit plusieurs évolutions en droit français :
1) elle dispose que les lois de programmation fixent l’objectif de solde structurel et la trajectoire pour y parvenir ;
2) elle institue un Haut conseil des finances publiques (HCFP), chargé de veiller au respect de cet objectif et d’émettre un avis sur les hypothèses macroéconomiques sous-jacentes aux textes financiers ;
3) elle introduit un mécanisme de correction en cas d’écart « important » (1) à la trajectoire. Le HCFP est en charge d’identifier les écarts entre l’exécution et la prévision : en cas d’écart « important », le Gouvernement doit expliquer les causes de ce dernier et (sauf « circonstances exceptionnelles »)(2) prendre des mesures de correction au plus tard dans le prochain texte financier (PLF/PLFSS) afin de revenir sur la trajectoire de solde structurel initialement prévue par la loi de programmation au plus tard dans les deux ans suivant la constatation de l’écart.
La loi de règlement de l’année 2013 a constitué une première épreuve pour ce mécanisme : le HCFP a en effet détecté un écart « important » de trois fois supérieur à la limite (1,5 point de PIB) et constaté que les mesures inscrites dans le collectif budgétaire de l’été 2014 (0,2 point de PIB) ne corrigeaient que peu cet écart. En fixant une nouvelle trajectoire, le PJLPFP 2014-2019 officialise donc le fait que ce dernier ne sera pas résorbé.

2. Une confirmation des instruments existants et quelques nouveautés

Au-delà de la fixation de la nouvelle trajectoire des comptes publics, le PJLPFP prévoit plusieurs mesures en faveur de la gouvernance des finances publiques, dont certaines existaient déjà : mise en réserve des crédits sur les dépenses de l’Etat (0,5 % des crédits de personnel, 6 % des autres dépenses) et de l’assurance-maladie (0,3 % de l’ONDAM), affectation des surplus de recettes au désendettement, évaluation socio-économique des projets d’investissement publics.
D’autres sont nouvelles : instauration d’une revue des dépenses publiques, mise en place d’une conférence des finances publiques sur l’ensemble du champ des administrations, encadrement du recours aux taxes affectées, amélioration de l’information et du contrôle du Parlement sur, d’une part, l’évolution des dépenses de personnels des établissements de santé et, d’autre part, les perspectives financières de l’assurance-chômage et introduction d’un objectif d’évolution de la dépense publique locale (ODEDEL). Ces deux derniers points méritent une attention particulière : en effet, tous deux procèdent du constat que certains pans de l’action publique ne sont pas directement maîtrisables par le Gouvernement du fait de leurs spécificités institutionnelles (gestion paritaire dans le cas des régimes de retraite complémentaire et d’assurance-chômage, libre administration des collectivités locales). Pourtant, leur appartenance au périmètre des comptes publics exige une association étroite afin qu’ils intègrent dans leur gestion les contraintes s’appliquant aux dépenses directement pilotées par l’Etat.
L’UNEDIC bénéficie ainsi d’une garantie de l’Etat pour ses emprunts obligataires tout en conservant une large autonomie dans ses décisions : en l’absence de cette garantie, le taux d’emprunt appliqué au régime serait vraisemblablement plus élevé, même si cela pèserait in fine sur le déficit public. S’agissant des collectivités locales, l’introduction de l’ODEDEL constitue une nouveauté intéressante qui pourrait toutefois s’avérer peu contraignante en pratique : en effet, comme l’indique l’évaluation préalable de l’article 11, « cet objectif est strictement indicatif. Dans le respect du principe de libre administration consacré par la Constitution, il ne permet, ni ne vise, en aucun cas à contraindre les dépenses locales ».
Or cette question est centrale du point de vue de la gouvernance des finances publiques : en effet, les normes de dépenses existantes (zéros « volume » et « valeur » pour les dépenses de l’Etat, ONDAM sur les dépenses de santé) ont rencontré un certain succès pour freiner la progression des dépenses correspondantes grâce à la crédibilité de la contrainte. Il en est ainsi du « comité d’alerte » sur l’ONDAM, dont l’avis peut contraindre les caisses d’assurance-maladie à proposer des mesures de redressement en cas de risque « sérieux » de dépassement.

3. Une protection sociale « structurellement excédentaire » ?

Dans le rapport annexé au PJLPFP, le Gouvernement détaille la trajectoire de solde par type d’administration. Pour les administrations de sécurité sociale (ASSO), la trajectoire fait apparaître un excédent structurel des comptes sociaux qui attire l’attention. En effet, dans une telle situation, la théorie économique indique que le déficit existant (de nature « conjoncturelle ») sera résorbé une fois que l’activité économique repartira : de ce fait, il n’y a pas lieu d’ajuster les comptes par des mesures nouvelles.


Comment réconcilier cet excédent affiché avec l’effort de 20Md€ d’économies que prévoit le Gouvernement entre 2015 et 2017 sur le champ social ? Au sens du périmètre maastrichtien, les administrations de sécurité sociale (ASSO) incluent le régime général de sécurité sociale, les régimes complémentaires de retraite, l’assurance-chômage, les hôpitaux publics ainsi que la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) et le Fonds de réserve des retraites (FRR). Contrairement à la plupart des autres institutions du périmètre ASSO, ces deux dernières entités n’administrent pas un risque (ex : versement de prestations, pensions…) et assurent un rôle essentiellement financier auprès de la protection sociale : en comptabilité nationale, leurs dépenses sont donc limitées et largement inférieures à leurs recettes (CRDS, fractions de CSG et de prélèvement social sur les revenus du capital…). Equivalente à + 0,5 point de PIB, la « clé » CADES+FRR introduit donc une perturbation dans la présentation des résultats qui joue également sur le solde structurel.

Sensiblement étoffée au cours de la période récente, la gouvernance des finances publiques doit permettre aux pays européens de réduire leur endettement afin de le rendre plus soutenable. Au-delà de la question des instruments utilisés, dont la sophistication croissante s’accompagne parfois de sérieuses fragilités méthodologiques (calcul du solde « structurel »), se pose celle de la cohérence entre les règles mises en place et la volonté politique des gouvernements dans un contexte macroéconomique difficile.

(1) Supérieur ou égal à 0,5 point de PIB sur une année ou au moins 0,25 point de PIB en moyenne sur deux années consécutives.
(2) Extrait de l’article 3 du TSCG : « (elles) font référence à des faits inhabituels indépendants de la volonté de la partie contractante et ayant des effets sensibles sur la situation financière des administrations publiques ou à des périodes de grave récession économique (…), pour autant que l’écart temporaire (…) ne mette pas en péril sa soutenabilité budgétaire à moyen terme ».

FLASH ECO
« Analyse à caractère économique ne constituant pas une prise de position. Liste complète disponible sur www.afep.com »


N°4 - 10H00

Les indicateurs composites avancés signalent un ralentissement de la croissance dans la zone euro et une croissance stable dans la plupart des autres grandes économies

Les indicateurs composites avancés (ICA) de l’OCDE, conçus pour anticiper les points de retournement de l’activité par rapport à sa tendance, signalent des perspectives de croissance mitigées dans les grandes économies: un ralentissement de la croissance dans la zone euro et une croissance stable dans les autres grandes économies.

Les ICA pour la zone OCDE dans son ensemble ainsi que pour le Canada et les États-Unis continuent designaler une dynamique de croissance stable. Parmi les grandes économies, une dynamique de croissance stable est également anticipée pour le Brésil, la Chine et la Russie.

L’ICA pour le Japon signale un infléchissement de la croissance, peut-être lié à des facteurs temporaires. En Europe, des signes d’infléchissement de la croissance apparaissent dans la zone euro, plus particulièrement en Allemagne et en Italie, alors qu’en France et au Royaume-Uni les ICA signalent une croissance stable.

L’Inde est la seule grande économie pour laquelle l’ICA signale une inflexion positive de la croissance..

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N°3 - 9H45

Conjoncture Industrie, Services et Bâtiment (banque de France)

- Industrie : stabilité de la production et des livraisons, niveau convenable des carnets, maintien des stocks, prévisions de hausse de l’activité en octobre.
- Services : légère progression de l’activité, faible augmentation de l’activité prévue à court terme.
- Bâtiment : repli de l’activité, carnets dégarnis, baisse de l’activité prévue pour le prochain mois.
- Prévision de PIB : 3ème trimestre 2014 : +0,2 % (troisième estimation, inchangée)

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N°2 - 9H30

Les marchés accueillent positivement les propos de la FED

Marchés actions
Sur les marchés actions, les principales bourses à travers le monde ont terminé en ordre dispersé. Ainsi, alors que le Vieux Continent a clôturé une nouvelle séance en territoire négatif, Wall Street a tiré profit des minutes de la FED pour rebondir en fin de séance. Le Dow Jones s’est adjugé 1.64% à 16 994.22 points, le S&P500 1.75% à 1 968.89 points, et le Nasdaq affiche un fort rebond de 1.90% à 4 468.59 points. Un peu plus tôt dans la journée, les bourses européennes n’ont pas eu d’annonces pour décoller et on continuait à souffrir dans le sillage de cette semaine. Le CAC 40 a cédé 0.97% à 4 168.12 points, le Dax 1.00% à 8 995.33 points et le FTSE n’a reculé que de 0.21% à 6 482.24 points.

Les investisseurs attendaient donc avec impatience les minutes de la FED et n’ont pas été déçus. En effet, face au fort recul du chômage le mois dernier, nombre d’investisseurs se montraient « inquiets » sur un calendrier de hausse des taux plus précoce. Néanmoins, au vue du compte rendu, les investisseurs semblent s’attendre à une remontée très lente et progressive des taux pour les années à venir. De plus, face au ralentissement économique à travers le monde, la forte hausse du billet vert au cours du dernier trimestre devrait permettre de diminuer le coût des importations, et donc pourrait ralentir la progression de l’inflation américaine.

Un peu après la clôture du marché, le « bal » de la saison des résultats a débuté avec Alcoa qui a publié des résultats supérieurs aux attentes avec 31 cents de profit contre 22 attendu et 11 précédemment. Les investisseurs continueront de scruter avec attention les résultats des entreprises et tout particulièrement celles dont le chiffre d’affaire dépend fortement des exportations.

Il y a quelques dizaines de minutes, la Bourse de Tokyo a fini en territoire négatif après avoir concédé 0.75% à 15 478.93 points, pénalisée par les valeurs exportatrices. En effet, le compte rendu de la FED a fait baisser le billet vert contre le Yen, ce qui pénalise les exportations.

Forex
Sur le marché des devises, la monnaie unique européenne consolidait un peu face au dollar, en attendant la publication des minutes de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed).

En fin de journée, après la parution de ces minutes, certains membres de l'institution américaine estimaient que la montée du dollar pourrait porter préjudice à l'économie américaine en pesant sur ses exportations. Le renforcement du billet vert risque par ailleurs, en rendant les importations bon marché, de ralentir la remontée de l'inflation américaine dont l'objectif annoncé par la Réserve Fédérale est de 2% ,avant que soit envisagée une remontée des taux d'intérêt. La Fed pourrait donc prendre son temps avant de relever ses taux.

De son côté, l'euro continuait à pâtir des perspectives moroses pour la zone euro dont la croissance a été nettement revue à la baisse mardi par le Fonds monétaire international (FMI) à 0,8% cette année et 1,3% en 2015. La zone euro pourrait souffrir davantage en cas de déflation et d'affaiblissement de la demande, selon les déclarations du FMI.

Peu de temps auparavant, un nouvel indicateur décevant sur l'industrie allemande, avec un recul de 4% de la production industrielle en août sur un mois, venait d'être publié, au lendemain de l'annonce d'une baisse de 5,7% des commandes à l'industrie sur la même période, un repli là encore plus fort qu'anticipé par le consensus.

Les cambistes ont depuis opté pour quelques prises de profit sur le dollar, permettant ainsi à l'euro de tenter de se reprendre quelque peu.

Outre-Manche, la livre britannique perdait du terrain face à l'euro, à 0,7882 livre pour un euro avant le discours du président de la Banque of England, Mark Carney ce midi, et une éventuelle hausse des taux d’intérêt. Face au dollar, la devise britannique s’échangeait à 1,6172 dollar pour une livre.
Face à la devise nippone, le billet vert s’est renforcé de 0,4 pour cent à ¥ 108,44. La monnaie unique européenne, de son coté, s’est renforcée de 0,5 pour cent à ¥ 137,51 pour un euro .

Du côté des devises plus exotiques, la journée de mercredi a été marquée par un fort affaiblissement de la monnaie russe. Le président Vladimir Poutine est sous pression alors que les Etats-Unis et l'Union européenne continuent d’imposer des sanctions sur l'économie russe et les investisseurs retirent progressivement l'argent du pays. La Banque de Russie aura probablement besoin de réinjecter 30 milliards de dollars en fin d'année pour ralentir le déclin de la monnaie, qui a perdu 14% par rapport au dollar sur le trimestre passé.
Le rouble a baissé pour la neuvième fois en 10 jours contre un panier euro-dollar, glissant de 0,5% à 44,9587 rouble pour un dollar.

En Turquie, la lire a chuté après que les manifestants se soient battus avec la police et dans certaines régions, avec des membres de groupes islamistes locaux, selon les médias turcs. L'effusion de colère est survenue après l’immigration de populations kurdes de Syrie qui n'ont pas réussi à arrêter l'État islamique avançant dans la périphérie de Kobane, une ville à majorité kurde que les djihadistes assiègent depuis trois semaines.

La lire s’affaiblit pour la seconde journée consécutive à 2,2848 contre le dollar.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, le pétrole reste orienté à la baisse après la publication des stocks américains. Le Département américain de l’Energie a fait état d’une hausse des stocks de brut de 5 millions de barils soit un chiffre bien supérieur au consensus. Même constat du côté des réserves d’essence qui ont augmenté de 1,2 million de barils. Dans une phase de transition entre la période estivale et la période hivernale, la hausse des stocks pourraient encore s’accentuer. Cette hausse des stocks se fait dans un contexte où les perspectives économiques sont moroses. L’absence de réaction de l’OPEP pour faire baisser l’offre est un poids supplémentaire. Ces craintes autour de l’abondance de l’offre ont fait oublier la baisse du dollar à l’issue des minutes du FOMC qui n’a pas profité à l’or noir.

Dans ce contexte, sur le Nymex, le baril Light Sweet Crude évolue autour des 87,6 dollars. De son côté, le Brent de la Mer du Nord s’échange, ce matin, contre 91,5 dollars.

Sur le front des métaux précieux, l’or a tiré profit de la publication des minutes du FOMC qui ont contribué à affaiblir le dollar. La FED a en effet montré des signes d’inquiétude sur la croissance des Etats-Unis qui pourraient être impactée négativement par le ralentissement économique mondial. Le dollar a perdu du terrain suite à ces annonces profitant ainsi à l’or. L’once d’or se traite ce matin contre 1 226 dollars.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°1 - 8H30

UBS daily roundup - The Fed gang beat up investors

Paul Donovan daily briefing.

• The Fed dominates the agenda today with assorted governors and presidents gathering to beat investors over the head with their various opinions. This comes in the wake of the Fed minutes that acknowledged risks from external forces, but also saw higher inflation risks.

• Meanwhile the G20 finance ministers and central bank governors will gather together in a demonstration of the pointless irrelevance of the group. The problem with such things is that once the group is established, no one has the courage to question why they continue to exist.

• The Bank of England policy verdict is due. No one is expecting a change in rates just yet, despite the tendency to dissent and the fact that quantitative policy and regulatory policy has already been tightened. The RICS reported a slowing of London property prices.

• The Euro area is not offering much by way of excitement today. We do get to hear from ECB president Draghi, and the divergence of smaller economy inflation will be on display (positive consumer prices in Ireland, negative in Greece).

www.ubs.com/investmentbank

Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Etude Preqin: Quarterly private equity fundraising slows in Q3 2014 08/10/2014
- Winch Capital annonce la cession de sa participation dans le Groupe ADF 08/10/2014
- Vente2site.fr organise la cession du e-commerce BioSanteSenior.fr à Olivier Rombi 08/10/2014
- PlaceVictorHugo accueille Midi Capital 07/10/2014
- Le Petit Ballon, leader de la vente de vin par abonnement lève 1 M€ auprès de Wonderbox 07/10/2014
- Mergermarket releases Global M&A Trend Report with financial advisors Q3 2014 07/10/2014
- IXO Private Equity accompagne le dirigeant du groupe IFC dans une nouvelle opération de MBO 07/10/2014
- Le Groupe Promoplast annonce le rachat d’Alsys 07/10/2014
- Industries & Finances poursuit le renforcement de son équipe avec le recrutement d’un Chargé d’affaires 07/10/2014
- Altana conseille Gyro dans l’acquisition de l’agence parisienne Ailleurs Exactement 07/10/2014

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 9 Octobre 2014




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