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Finyear Eco - 23 octobre 2014 (n°4 - 13H30) | Que penser du renforcement actuel des risques de marché ?

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel. Finyear Eco est exclusivement réservé aux investisseurs et aux conseillers financiers professionnels et n’est pas destiné aux particuliers.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco - 23 octobre 2014 (n°4 - 13H30) | Que penser du renforcement actuel des risques de marché ?
N°4 - 13H30

Que penser du renforcement actuel des risques de marché ?

Par Guillaume Monarcha, Responsable de la Recherche Orion Financial Partners.

Depuis le début du mois, l’aversion au risque a significativement progressé sur l’ensemble des segments de marché, comme l’illustre la récente hausse des volatilités actions et l’écartement des spreads de crédit, aux États-Unis comme en Europe.

Si ces niveaux de risque restent, pour l’heure, nettement inférieurs à ceux constatés durant l’été 2013 ou durant la crise de 2011, la réaction des marchés à ce nouvel environnement a été vive : - 9% pour l’Euro Stoxx 50, -7% pour le S&P500.

En quoi la situation actuelle est-elle différente des corrections que nous avons connues ces deux dernières années ?

Les derniers épisodes de hausse de l’aversion au risque sont restés cantonnés à certains segments de marché (actions et crédit en 2012, actions et devises en 2013). Or depuis le début du mois, nous observons des tensions significatives sur l’ensemble des segments de marché (actions, high yield, devises...). C’est cette évolution conjointe et significative des risques qu’illustre la récente hausse de notre indicateur de risque de marché.

Entre 2012 et le premier semestre 2014, les anticipations des investisseurs évoluaient autour d’un consensus macroéconomique intégrant dans les grandes lignes : un environnement de croissance durablement faible en Zone Euro, l’impulsion positive générée par la politique de la BOJ (Abenomics) l’amélioration, la bonne tenue du cycle US et le recul du potentiel de croissance dans les grands pays émergents. Le seul facteur d’incertitude était le timing du tapering, i.e. du ralentissement du programme de rachat de la FED, facteur déclencheur de l’aversion au risque durant l’été 2013.

Ce qui a changé depuis

La récente progression des niveaux de risque sur les différents segments de marché traduit un changement dans les anticipations des investisseurs, provenant conjointement :
- de la compression continue des primes de risque sur les marchés du crédit et de la forte progression des marchés actions depuis deux ans, dans un environnement macroéconomique dégradé (hors USA);
- de l’effet conjoncturel et non structurel des Abenomics, se traduisant par une nouvelle dégradation de l’environnement macroéconomique Japonais;
- par l’accélération de la dégradation de la situation macroéconomique en Zone Euro, particulièrement en France et en Allemagne.

En d’autres termes, il nous semble que la récente hausse des risques est imputable à l’intégration de potentiels nouveaux scénarios macroéconomiques, notamment pour l’Europe, dans les anticipations des investisseurs qui, combiné à l’arrêt du robinet de liquidités en provenance de la FED pénaliserait lourdement l’ensemble des classes d’actifs risquées (actions des développés et crédit en premier lieu).

La fin de l’histoire ?

La situation actuelle montre le rééquilibrage des deux piliers du puzzle de la formation des prix des actifs. Le premier – le pilier fondamental – a été largement occulté depuis 2011 (tout au moins en Europe), les anticipations des investisseurs s’étant essentiellement articulées autour du pilier comportemental, alimenté par un afflux sans précédent de liquidités sur l’ensemble des marchés.

D’un point de vue théorique, nous serions actuellement confrontés à une force de rappel fondamentale (de par la dégradation de l’environnement en Zone Euro), à l’origine des récentes corrections (actions, high yield). Le risque est alors que les anticipations des investisseurs se focalisent massivement sur le pilier fondamental, ce qui pourrait engendrer une sur-réaction des marchés et transformer la correction actuelle en crise.


N°3 - 10H00

INSEE - jeudi 23 octobre 2014 à 08h45

En octobre 2014, le climat des affaires reste défavorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

Selon les chefs d’entreprise interrogés en octobre 2014, le climat des affaires reste défavorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles. L’indicateur qui le synthétise se stabilise à 90, nettement en dessous de sa moyenne de longue période.

Suite

Au troisième trimestre 2014, la demande adressée à l’industrie manufacturière a reculé

Au troisième trimestre 2014, la demande globale adressée à l’industrie manufacturière, comme la demande étrangère, a baissé. Les soldes correspondants sont tous deux en dessous de leur moyenne de long terme. Pour les trois prochains mois, les industriels anticipent une stabilité de la demande globale et une nouvelle baisse de la demande étrangère.

Suite

En octobre 2014, le climat des affaires en France est stable

En octobre 2014, l’indicateur du climat des affaires en France, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, est stable, à un niveau inférieur à sa moyenne de longue période.

Suite

En octobre 2014, le climat conjoncturel reste dégradé dans le bâtiment

Selon les chefs d’entreprise du bâtiment interrogés en octobre 2014, le climat des affaires reste morose. L’indicateur qui le synthétise perd de nouveau un point par rapport au mois précédent. Il atteint son plus bas niveau (87) depuis 1997, nettement en dessous de sa moyenne de long terme. L’indicateur de retournement se situe en zone défavorable.

Suite

En octobre 2014, le climat des affaires est quasi stable dans les services

D’après les chefs d’entreprise interrogés en octobre 2014, la conjoncture dans les services est quasi stable par rapport à septembre. L’indicateur synthétique du climat des affaires gagne un point et s’établit à 93. L’indicateur de retournement se situe en zone neutre.

Suite

En octobre 2014, le climat des affaires dans l’industrie manufacturière s’améliore légèrement

Selon les chefs d'entreprise interrogés en octobre 2014, le climat conjoncturel dans l’industrie s’améliore légèrement par rapport au mois précédent (+1 point). L’indicateur synthétique qui le mesure se situe trois points en dessous de sa moyenne de longue période.

Suite

N°2 - 9H15

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading lower this morning with weakness coming out of the US and Asia overnight as several US companies posted disappointing earnings and in addition investors decided to take some money off the table in light of the immense rebound seen over the past few days.
Traders haven’t necessarily turned negative on shares just yet however with corporate data somewhat disappointing and markets being short-term overbought for some it didn’t take much persuading to lock in some profits.
Unlike yesterday there are plenty of economic data scheduled for release in Europe and the US today.
The main focus this morning will be on PMIs for individual Euro-zone countries and the Euro-zone as a whole and UK retail sales.
For the Euro-zone more weakness in form of lower PMIs is expected which should already be priced into the markets however should the PMIs come in much lower than forecast speculation will once again heat up that the ECB will take further measures in the months ahead.
Concerning UK retail sales, even much better than expected numbers might not bring an increase in rates any closer as many are expecting that persisting economic weakness in the Euro-zone will sooner or later also impact the UK in a negative way keeping rates on hold for longer.
Overall sentiment remains positive and the market appears to take a much needed breather after the most recent advance however should more bad economic and corporate news hit markets today shares could easily move back into neutral to negative territory.
Also after the events in Canada yesterday, more potential terror attacks might be likely in the next few days keeping some money which was meant to be put to work on the side-lines for now.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°1 - 9H00

Les marchés en baisse avant les indices PMI

Marchés actions
Les indices américains ont marqué le pas hier dans une séance peu animée où les volumes sont restés faibles. Après plusieurs séances de hausse, les marchés ont marqué une pause. Le Dow Jones enregistrait une baisse de 0,92% à 16 461,32 points. De son côté, le Nasdaq lâchait 0,83% à 4 382,85 points. Enfin, l’indice élargi S&P 500 perdait 0,73% à 1 927,11 points. A noter également que les marchés ont pu être perturbés par une fusillade qui a éclaté à proximité au parlement canadien et qui a jeté un froid sur le marché.

Du côté des valeurs, la saison des résultats se poursuit. Les investisseurs ont bien accueilli les chiffres de Yahoo qui gagnait à la clôture 4,50% à 41,99 dollars. Du côté des déceptions, on notera la baisse importante du titre Xerox qui perdait 7,5% à 12,21 dollars après avoir publié un bénéfice en berne au 3ème trimestre. Autre baisse remarquée, celle de Boeing qui, malgré des résultats satisfaisants, abandonnait 4,46% à 121,45 dollars. Les investisseurs ont mal accueilli l’annonce des coûts du nouveau 787 Dreamliner.

Côté asiatique, les marchés s’affichent également dans le rouge. Le Nikkei reculait de 0,37% à 15 138,96 points. Les valeurs exportatrices souffraient face à un nouveau mouvement de baisse du yen après que la Banque du Japon ait émis pour la première fois des obligations à un taux négatif. Côté chinois, l’enquête préliminaire de la Banque HSBC a révélé un PMI manufacturier en hausse à 50,4 contre un consensus à 50,2. Malgré cette hausse relative, le chiffre reste à des niveaux très bas et les composantes commande et production restent inquiétantes. Ainsi, l’indice Hang Seng affichait des pertes de l’ordre de 0,4% avant la clôture.

Ce matin, les marchés européens sont attendus en baisse dans le sillage de places américaines et asiatiques. Les investisseurs seront attentifs à la publication des indices PMI en Europe ce matin. L’actualité du côté des entreprises sera également très riche. Orange a publié des données décevantes tout comme Michelin. A l’inverse, Safran et Pernod Ricard ont fait étant de chiffres encourageants. Plus tard dans la journée, d’autres résultats seront scrutés comme ceux d’Axa, Gemalto, Publicis et Dassault Systèmes. Outre Atlantique, il faudra également être attentif aux publications de Caterpillar, General Motors ainsi que Microsoft et Amazon.

Forex
Sur le marché des devises, l'euro baissait face au dollar mercredi, dans un marché fébrile nourri par des spéculations persistantes sur la politique monétaire européenne ainsi que sur les résultats des tests de résistance des banques européennes attendus dimanche.

La monnaie unique s'était déjà trouvée sous pression mardi après la publication d'informations de presse selon lesquelles la Banque centrale européenne étudierait l'extension de ses rachats d'actifs à des obligations d'entreprises, c'est-à-dire à des actifs jugés plus risqués. Ce programme doit augmenter le montant d'actifs possédés par la banque centrale et le volume d'euros en circulation, diluant en conséquence la valeur de la monnaie unique, et l'ajout d'actifs jugés risqués ajouterait de la pression sur la monnaie unique européenne.

Les marchés sont d'autant plus réactifs que dans le même temps, la Réserve fédérale américaine se prépare à fermer le robinet des rachats d'actifs en mettant un terme à son programme la semaine prochaine.

Les cambistes digéraient mercredi l'accélération surprise de la hausse des prix aux États-Unis en septembre.

En effet, le billet vert a gagné du terrain alors que l'indice des prix à la consommation aux États-Unis a grimpé de 0,1 pour cent après une baisse de 0,2 pour cent en Août, d’après le rapport du département du Travail à Washington .

La mesure de l'inflation de base , qui exclut les aliments et le carburant, a également progressé de 0,1 pour cent après avoir peu changé en Août .

La monnaie unique s’échange aux environs de 1,2630 dollar ce matin.

Au Canada, la Banque centrale a maintenu son taux d'intérêt directeur à 1 pour cent, comme prévu.

L'inflation devrait ralentir à une moyenne de 1,4 pour cent au deuxième trimestre de 2015 , selon la banque, par rapport à ses prévisions de Juillet qui tablait sur un ralentissement de 1,7 pour cent au deuxième trimestre de 2015.

La Banque juge que les risques qui entourent sa projection de l'inflation sont relativement limités. Le gouverneur Stephen Poloz, a déclaré qui’il ne "resterait finalement pas neutre par rapport à la prochaine modification du taux de la politique monétaire candadienne."
Face au billet vert, le loonie s’échange aux alentours de 1,1255 dollar canadien ce matin.

Outre-Manche, la livre sterling s'est affaiblie face aux principales devises, les « minutes » du dernier comité de politique monétaire de la Banque d'Angleterre réduisant les anticipations de hausse des taux. Le dollar américain gagnait ainsi 0,50% à 1,6042 dollar ce matin. Sept des neuf membres du conseil se sont opposés à une hausse des taux d'intérêt. Selon ce compte-rendu, une majorité des membres du comité estime qu'il n'existe pas de preuves suffisantes de pression inflationniste pour relever les taux. Cette majorité estime également qu'une hausse prématurée des taux rendrait la Grande-Bretagne vulnérable à d'éventuels nouveaux chocs économiques.

Du coté asiatique, sans grandes annonces majeures hier, la devise nippone restait assez stable face à ses deux contreparties majeures. L'euro baissait cependant légèrement face au yen, à 135,60 yens, alors que le dollar progressait face à la devise japonaise, à 107,29 yens.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, le pétrole repart nettement à la baisse. Après la publication du rapport du Département américain de l’Energie, l’or noir a de nouveau souffert. En effet, les stocks de brut ont augmenté de 7,1 millions de baril, un chiffre largement au-dessus des attentes. En parallèle, les réserves enregistrées au terminal de Cushing ont, quant à elle, progressé de 1 million de barils. Ce rapport met à nouveau en lumière la faiblesse de la demande et ravive ainsi les craintes des investisseurs. Par ailleurs, il faut ajouter à cela la tendance du dollar qui semble opérer un nouveau renforcement.

Dans ce contexte, sur le Nymex, le baril Light Sweet Crude évolue autour des 80,6 dollars. De son côté, le Brent de la Mer du Nord s’échange, ce matin, contre 84,8 dollars.

Sur le front des métaux précieux, après une séance plus délicate hier, le métal jaune tente de reprendre le chemin de la hausse. L’or a profité ces dernières semaines d’un certain retour de l’aversion au risque sur les marchés pour se redresser. Hier, le renforcement du dollar a pesé sur la tendance. Ce matin, l’once d’or se traitait contre 1 244 dollars.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- bioMérieux acquiert Advencis pour un prix maximum de 10 M€ 22/10/2014
- Le Groupe SeLoger.com annonce sa prise de participation majoritaire dans Webimm.com 22/10/2014
- Heurtey Petrochem annonce la signature par Prosernat d’un accord pour l’acquisition d’ITS Reaktortechnik GmbH 22/10/2014
- PhotoBox acquiert Bellapix et accélère la consolidation du marché français 22/10/2014
- Brunswick société d’avocats accompagne IFE Mezzanine dans le cadre de la reprise de Sinéquanone 22/10/2014
- BPI France accompagne la transmission du Groupe Vaglio aux côtés de LBO France et de l’Institut Lorrain de Participation 22/10/2014
- Oddo & Cie acquiert la banque allemande Close Brothers Seydler 22/10/2014
- Alcatel-Lucent Submarine Networks signe un accord pour l’acquisition du norvégien Optoplan 22/10/2014
- Arc International entame des négociations avec Peaked Hill Partners 22/10/2014
- Largillière Finance accompagne Panthéra et Entrepreneur Venture dans la reprise de Groupe Michel Ferrero 21/10/2014

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 23 Octobre 2014




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