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Finyear Eco - 14 novembre 2014 (n°9 - 14H30) | Les marchés tiraillés entre la chute de l'or noir et un retour de la croissance européenne

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel. Finyear Eco est exclusivement réservé aux investisseurs et aux conseillers financiers professionnels et n’est pas destiné aux particuliers.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco - 14 novembre 2014 (n°9 - 14H30) | Les marchés tiraillés entre la chute de l'or noir et un retour de la croissance européenne
N°9 - 14H30

Les marchés tiraillés entre la chute de l'or noir et un retour de la croissance européenne

Saxo Banque - Newsletter Hebdomadaire.

Marchés actions :

Sur les marchés actions, alors que Wall Street est en passe d’enchainer une quatrième semaine consécutive en territoire positif, les marchés européens se montrent beaucoup plus indécis et ont souffert cette semaine.

Le début de semaine aura été relativement calme avec notamment un jour férié en France mardi, et « semi-férié » aux Etats-Unis, entraînant un faible volume d’échange. Dans un contexte où les investisseurs présentent de plus en plus de difficultés à suréagir positivement aux flux d’annonces favorables outre-Atlantique en raison de marchés déjà élevés, mais où le soutien de la BCE parvient quand même à rassurer une tendance économique bancale en Europe, les marchés s’affichent sans grand changement en ce début de semaine.

Les investisseurs restent prudents alors que certains secteurs sont à la peine, tel que le secteur pharmaceutique. Ce dernier a, en effet, pâti de la décision de la Cour suprême américaine qui pourrait anéantir une partie clef de la réforme du système de santé Obamacare. Deux secteurs souffrent également de la conjoncture actuelle, à savoir le secteur bancaire et énergétique, avec en ligne de mire les pétrolières. Le secteur bancaire tout d’abord, avec les amendes infligées par les régulateurs britanniques et américains pour un montant supérieur à 4 milliards de dollars à cinq banques : JPMorgan, HSBC, RBS, Citigroup et UBS. Elles sont accusées de manipulation du marché des changes. Le secteur énergétique quant à lui, subit la chute du baril, alors que le Brent est également passé sous le seuil symbolique des 80$ par baril, entraînant dans sa chute les valeurs fortement exposées au prix du baril depuis quelques semaines déjà.

La Chine et le Japon ont été particulièrement à l’honneur cette semaine, avec la publication de nombreuses données macro-économiques chinoises, et des rumeurs du côté du Japon. La Bourse de Tokyo ne cesse de progresser et est revenue sur son plus haut niveau depuis sept ans. En effet, les investisseurs ont accueilli de façon favorable les spéculations sur un possible report de la prochaine hausse de TVA au Japon par le premier ministre Shinzo Abe, initialement prévue en Octobre 2015, dans le but de soutenir l’économie. Néanmoins, les gains ont été limités suite à la déclaration du secrétaire général japonais du gouvernement qui a précisé que ces affirmations n’étaient pas d’actualité. On notera également que les valeurs exportatrices, profitant d’un dollar fort contre la devise nippone, continuent de soutenir très largement la progression du Nikkei. Les investisseurs attendent maintenant la publication du PIB du troisième trimestre la semaine prochaine.

La Chine a publié un certain nombre d’indicateurs macroéconomiques, démontrant à nouveau l’essoufflement de la deuxième puissance économique mondiale. La production industrielle et les ventes au détail sont ainsi ressorties en dessous des attentes des investisseurs, tandis que l’inflation reste proche de son plus bas niveau au cours des cinq dernières années à 1.6%. La hausse des prix à la consommation en Chine est ressortie proche de son plus bas de cinq ans à 1,6% et les prix à la production ont reculé de 2,2% sur un an.

Devant le regain de tensions en Ukraine, les investisseurs scruteront également avec attention les conséquences de la nouvelle réunion à Bruxelles entre l’Union Européenne et les Etats-Unis dans le but d’adopter de nouvelles sanctions à l’égard de la Russie au vu des derniers évènements en Ukraine, où s’oppose toujours séparatistes pro-russes et ukrainiens. En effet, de nombreux camions de matériels militaires ont été aperçus vers les bases des troupes séparatistes.

En cette fin d’année, on approche également de la fin du « bal » de la saison des résultats d’entreprises, et les résultats sont globalement bons, alors que pas moins de 60% des entreprises en Europe ont atteint leurs objectifs ou l’ont dépassé, et plus de 70% aux Etats-Unis.

De leur côté, les indices américains continuent leur ascension, et battent record sur record, notamment le S&P500. Ces progressions sont limitées par les pétrolières principalement, qui « pèsent » très lourd sur les indices, alors que le cours du brut ne semble pas vouloir arrêter sa descente. Les investisseurs se retrouvent donc dans une situation mitigée. Ce matin, le PIB du troisième trimestre français a été la bonne surprise puisqu’il a battu le consensus qui tablait sur 0.1%, pour atteindre 0.3%, tandis que le PIB allemand sur la même période était conforme aux attentes des analystes. De même, le PIB de la zone euro est sorti 0.1% au-dessus des attentes du consensus.

Forex :

Sur le marché des devises, semaine tumultueuse pour le cours de la paire phare du marché des changes qui a oscillé pendant 5 jours pour finalement s’échanger aujourd’hui en légère baisse, passant de $1,2450 pour un euro en début de semaine, à $1,2444 aujourd’hui à midi.

En Europe, la monnaie unique a pâtit toute la semaine du climat d’incertitude qui pèse sur la zone euro. Ce sentiment a d’ailleurs été renforcé la semaine dernière, par les propos du président de la BCE, Mario Draghi. Ce dernier a en effet sous-entendu que de nouvelles mesures d’assouplissement monétaire pourraient être envisagées « si nécessaire ». L’écart entre la politique monétaire de la FED et celle de la BCE continue donc de se développer, réduisant petit à petit l’intérêt des cambistes pour la devise européenne. En effet, à l’heure où la Réserve fédérale met un terme à son programme de rachat d’actifs, la BoJ augmente ses mesures de relance pour fortifier sa reprise économique trop fragile et la Banque centrale européenne lutte activement contre les risques de déflations et tente de soutenir son économie devenue atone.

Il aura fallu attendre aujourd’hui, pour obtenir des données encourageantes pour la zone euro, avec la publication ce matin des PIB français et allemand, respectivement en hausse à 0.3% et 0.1%. Ces données n’ont cependant pas sur faire le poids face à l’inquiétude des investisseurs vis-à-vis de la santé de l’économie européenne.

Outre-Atlantique, la devise américaine a su se maintenir à la hausse cette semaine face à l’ensemble de ses contreparties. Après un début de semaine au ralenti, dans un marché sans grandes tendances, et touché par les chiffres décevants des emplois non agricoles parus à 214 000 contre 230 000 attendus par le consensus vendredi dernier, le billet vert a finalement réussi à profiter de la suprématie de sa politique face à l’Europe ou le Japon. A la suite de cette prise de bénéfices des cambistes, le dollar a pu profiter d’un recul du taux de chômage pour le mois d’Octobre, touchant un plus bas depuis 2008 à 5,8%. Aujourd’hui, c’est dans un climat attentiste de la publication des chiffres de la consommation (attendus à la hausse à 0,2%), véritable moteur de l’économie américaine, que le billet vert évolue.

Outre-Manche, la devise britannique a fortement chuté cette semaine face à ses deux principales contreparties. Face à la monnaie unique, la livre a abandonné près de 113 pips depuis lundi matin, s’échangeant aujourd’hui à £0,7950 pour un euro.
De son côté, le Cable a glissé de 240 pips pour atteindre les $1,5645 pour une livre, un plus bas datant du mois de Septembre 2013.

Cette réaction de la devise anglaise s’explique par la journée de Mercredi, riche en annonce, où l’on a notamment pu écouter Mark Carney, gouverneur de la BoE s’exprimer sur le niveau record des taux d’intérêts britanniques. Pour rappel, la banque centrale avait auparavant revu à la baisse ses perspectives de croissance, au vu d’une chute de l’inflation, causée par le ralentissement de l’économie européenne et la chute du prix du pétrole.

En Asie, la devise nippone signe aujourd’hui, après 4 semaines de baisse, une chute d’environ 8% face à ses deux principales contreparties. La rumeur amenant le premier ministre japonais, Shinzo Abe, à dissoudre le Parlement et à retarder la mise en place de la seconde hausse de la taxe sur la consommation a en effet impacté le cours des paires en yen. Pour rappel, la première augmentation d’impôt datant du mois d’Avril, avait contribué à une contraction de l’économie au deuxième trimestre ; cette réaction en chaine avait probablement jouée un rôle dans l’arrivée des nouvelles mesures d’assouplissement monétaire prises par le BoJ. Abe Shinzo a par ailleurs rappelé qu’il n’y aurait pas de limites à ces dernières dans le cadre de la lutte contre la déflation.

Cette chute de la devise nippone a cependant profité aux actions japonaises, en particulier aux entreprises exportatrices.
Une grande partie des investisseurs voient en ces diverses éventuelles mesures un suicide de l’économie du pays, à mesure que les ménages et les entreprises ne semblent pas prêts à rendre l’économie plus robuste. Il faudra donc attendre les données du PIB japonais pour le troisième trimestre qui sera publié dans la nuit de dimanche à lundi, à 00h50.
Face à l’euro, le yen a donc évolué de 142,69 yens à 145 yens pour un euro cette semaine, atteignant un sommet non atteint depuis la fin de l’année 2013. Scénario similaire face au dollar où un plus haut de 7 ans a été touché par le cross USDJPY, aux encablures des 116,39 yens pour un dollar.

Matières premières :

Le pétrole se dirige vers une septième baisse hebdomadaire, ce qui n’était plus arrivé depuis Mars 1986.

Après le recul de près de 3$ enregistré pour la séance d’hier, le baril WTI évoluait ce matin aux encablures des 73,45$.
Les prix sont échangés à des niveaux bas qui n’ont pas été franchis depuis le mois de septembre 2010. Le Brent n’échappe pas à la tendance baissière et s’échange désormais sous le seuil symbolique des 78$. Le contrat décembre a expiré hier après avoir perdu $2.46 à $77.92. La prime avec son homologue américain reste étroite à $3.64.

Cet effondrement s’explique notamment par le sentiment grandissant d’une non-action de l’OPEP sur sa production. Le prix du baril de brut s'est affaibli car le marché craint de plus en plus que l'OPEP ne réduise pas l'excédent de production au moment où l'organisation se réunira le 27 novembre à Vienne pour examiner sa stratégie. Le pétrole s’effondre dans un marché déjà largement baissier dans un contexte où les membres de l’OPEP font paraitre pour le moment des avis partagés sur leur politique qui sera exposé lors de la réunion lors de la réunion cruciale. Si la possibilité d'une baisse de la production de l'OPEP limite le recul des prix, l'absence de déclarations favorables à un tel repli de la part des membres de l'organisation conduit les investisseurs à douter.

L’Arabie Saoudite s’est engagée dans une guerre des prix avec les Etats-Unis alors que les stocks de bruts américains continuent de s’accumuler et que d’autres membres de l’OPEP tels que le Venezuela, la Libye et l’Equateur réclament des mesures suite au rétrécissement de leurs marges. Les chiffres de production d’octobre commencent à sortir chez les membres de l’OPEP. L’Arabie Saoudite affiche une légère baisse de 69 900 barils par jour. Selon les estimations, au total l’OPEP aurait produit 30 974 000 barils par jour ce qui devrait faire exploser l’objectif des 30 millions. De l’autre côté de l’Atlantique, les stocks de brut américain ont augmenté à 381.3 millions de barils la semaine dernière, le plus haut niveau depuis juillet. Ils ont augmenté de 1.1 millions de barils pour une sixième hausse hebdomadaire. Le plus grand centre de stockage de pétrole des Etats-Unis, Cushing, a progressé de 1.7 millions de barils à 22.5 millions la semaine passée et devrait rester sur cette croissance cette semaine.

Sur les métaux, l’or a évolué de manière hésitante cette semaine après avoir été largement freinée par l’appréciation du dollar la semaine dernière.
L’once a perdu 1.1% à $1149.87 et se négociait à $1153.41 ce matin, soit une baisse de 2.1% pour la semaine. L’inflation peine toujours à repartir, ce qui conduit à une faible demande de l’or. Les tensions en Ukraine qui sont montées encore d’un cran en début de semaine avec des échanges de tirs, ont fait rebondir l’once. Cependant, le calendrier de la hausse des taux, limite toujours un rebond durable du métal jaune. De plus, la demande d’or de la Chine a diminué car le pays rentre dans une grande campagne anti-corruption sur ses fonctionnaires. A noter toutefois, que la fin d’année est souvent synonyme de forte demande d’or physique en Inde. Ainsi, les fêtes pourraient provoquer un léger rebond. Pendant la séance d’hier, l’argent a chuté d’avantage (-2.4%) et se rapproche du plus bas du 7 novembre dernier à $15.0681. Le Platine fait de même en passant la barre des $1200 à la baisse et côte $1187.

Saxo Banque France


N°8 - 13H00

2015 : le « contre choc » pétrolier ? (suite)

Suite de la note du 7 novembre.

Hier soir, le prix du baril de pétrole à New York a chuté de plus de 3 $. Le Brent est passé sous 80 $, et le WTI, sous les 75 $. Si le « contre choc » pétrolier n’est pas encore certain, les tendances récentes confirment la forte décrue des prix du pétrole. Nous reprenons donc ce thème du « contre choc pétrolier » de plus en plus probable, pour en mesurer tous les effets sur notre scénario et sur l’évolution prévisible du cours des actions.

L’analyse historique de ce phénomène est utile

Une première démarche consiste à observer le comportement des cours de Bourse en situation de contre choc pétrolier. Le premier exemple historique correspond à 1986, le cas le plus typique et le plus puissant en la matière. Déjà, à l’époque, le risque déflationniste avait fait parler de lui : l’inflation était devenue nulle, voire légèrement négative, en partie en raison justement de la baisse, en glissement annuel, de 30 à 50 % du cours du pétrole tout le long de l’année 1986. Les cours des actions avaient flambé : la raison invoquée n’était pas forcément le contre choc pétrolier, mais la poursuite de la désinflation, qui avait suscité, en parallèle de la baisse des cours de l’or noir, une chute des taux d’intérêt. La fin de l’année 1991 et le début de l’année 1993 ont correspondu à une situation de baisse marquée des prix du pétrole, et de hausse du cours des actions. Le contre choc pétrolier de 1998 est bien plus marqué : les cours du brut avaient baissé, de 20 à 45 %, tout le long de l’année 1998, qui avait été un grand millésime pour les actions… Le contre choc pétrolier le plus récent date de 2009, mais il suivait une flambée impressionnante des cours. La chute des prix du pétrole de plus de 50 % à la fin de l’année 2008 avait catalysé le rebond des actions, qui a suivi lui aussi une chute exceptionnelle. Au total, on peut considérer qu’historiquement, les situations de dépréciation importante des cours du pétrole font monter les actions. C’est 1986 et 1998 qui représentent les situations les plus « pures »…

L’analyse prospective du phénomène est essentielle

Si la baisse des cours du pétrole, commencée pendant l’été 2014, se confirmait ou s’amplifiait, ce qui semble possible, il faut en considérer tous les effets économiques. Outre les impacts majeurs sur l’échiquier géopolitique mondial, que nous ne traiterons pas ici, l’impact essentiel est une grande bouffée d’oxygène pour les économies développées, au premier rang desquelles l’Europe et le Japon. Il se trouve, d’ailleurs, que le Quantitative Easing japonais relancé récemment, accentue la baisse des cours du pétrole, via l’effet haussier sur le cours du dollar. L’effet sur le pouvoir d’achat des ménages est très significatif ; il a l’avantage d’être certain et mesurable relativement « facilement ». Rappelons que 20 $ le baril représente environ 1 % du PIB… A ce stade de la « grande panne de croissance mondiale », un contre choc pétrolier est tout simplement une bénédiction. Il permet de distribuer aux ménages un véritable pouvoir d’achat, de nature à relancer l’activité globale. Conjointement avec d’autres mesures, il est possible que ce contre choc pétrolier permette d’éloigner l’ogre déflationniste, de la même façon que le contre choc pétrolier de 1986 avait éloigné l’hydre inflationniste…

La hausse du dollar et la baisse conjointe des prix du pétrole est une excellente nouvelle pour l’Europe, le monde, et le cours des actions en 1986 comme en 2015

Le phénomène est confirmé par la reprise de la tendance baissière des cours de l’Or. Ainsi, notre schéma de moyen long terme de sortie par le haut de la longue phase de contreperformance des actions (1997-2014) devient plus probable…

Par Eric Galiègue
www.walquant.fr


N°7 - 12H15

Schroders | Commentaire sur le PIB en zone euro

Vous trouverez ci-dessous un commentaire d’Azad Zangana, économiste Europe chez Schroders, sur la publication ce matin des chiffres du PIB des pays de la zone euro.

Eurozone growth remains sluggish

"The eurozone economy grew by 0.2% in the third quarter compared to the previous quarter, which was slightly better than consensus expectations of 0.1%. Compared to the same period a year earlier, the eurozone grew by 0.8%.

"The performance of individual member states remains very diverse and reflects the progress made in terms of fiscal and structural reforms. For example, Italy is in recession with the economy having shrunk by 0.1%, whereas Spain grew by 0.5% over the same period.

"Having contracted in the second quarter, Germany was feared to have slipped into recession given falls in industrial production and retail sales during the third quarter. However, the economy managed to eke out 0.1% growth to avoid a technical recession. Consumer spending appears to have saved Germany as business investment continues to flounder, possibly in reaction to rising tensions between Europe and Russia. Meanwhile, France beat expectations by recording 0.3% growth, although according to the French statistical office, much of that growth was driven by government spending.

"In more positive news, Greece was the fastest growing economy in the eurozone, posting 0.7% growth on the quarter and 1.4% growth compared to a year earlier. It appears that the Greek economy has finally stabilised and while there is still a mountain of fiscal and structural reforms that need to be implemented, positive growth will help ease the social problems caused by the crisis.

"Overall, while the latest GDP figures are slightly better than expected, they continue to paint a picture of a weak eurozone economy that is struggling to break out of this sluggish growth environment. Consequently, inflation remains dangerously low (confirmed at 0.4% year-on-year for October) which will trouble the European Central Bank."


N°6 - 11H45

Le taux de chômage de la zone OCDE en légère baisse à 7.2% en septembre 2014

Le taux de chômage de la zone OCDE était en baisse de 0.1 point de pourcentage à 7.2% en septembre 2014. Dans l’ensemble, 44.2 millions de personnes étaient au chômage dans la zone OCDE, 5.6 millions de moins que lors du pic d’avril 2010, mais toujours 9.6 millions de plus qu’en juillet 2008.

Le taux de chômage était stable dans la zone euro, à 11.5% pour le quatrième mois consécutif. Au sein de la zone euro, les plus fortes baisses du taux de chômage ont été enregistrées au Portugal (baisse de 0.3 point de pourcentage, à 13.6%), en Irlande (baisse de 0.2 point de pourcentage, à 11,2%), en République slovaque (baisse de 0.2 point de pourcentage, à 13.0%), en Slovénie (baisse de 0.2 point de pourcentage à 8.9%) et en Espagne (baisse de 0.2 point de pourcentage, à 24.0%), et la plus forte hausse en Autriche (hausse de 0.2 point de pourcentage, à 5.1%).

Aux États-Unis et au Canada, le taux de chômage était en baisse de 0.2 point de pourcentage à 5.9% et 6.8%, respectivement, tandis qu’il était en hausse de 0.1 point de pourcentage au Japon (à 3.6%). Des données plus récentes montrent qu’au mois d’octobre, le taux de chômage continuait de baisser au Canada (de 0.3 point de pourcentage, à 6.5%) et aux États-Unis (de 0.1 point de pourcentage, à 5.8%).

Le taux de chômage de la zone OCDE pour les jeunes (15-24 ans) était en hausse de 0.3 point de pourcentage en septembre, à un niveau de 15.1%. Le taux de chômage des jeunes demeurait exceptionnellement élevé dans plusieurs pays de la zone euro, avec plus d’un jeune (sur le marché du travail) sur deux au chômage en Grèce (50.7% en juillet, le dernier mois disponible) et en Espagne (53.7%), et plus d’un sur trois au Portugal (35.2%) et en Italie (42.9%).

Suite


N°5 - 11H30

Le taux d’inflation annuel de la zone euro en hausse à 0,4%
Celui de l'UE en hausse à 0,5%.

Le taux d’inflation annuel de la zone euro s’est établi à 0,4% en octobre 2014, contre 0,3% en septembre. Un an auparavant, il était de 0,7%.
Le taux d’inflation annuel de l’Union européenne s’est établi à 0,5% en octobre 2014, contre 0,4% en septembre.
Un an auparavant, il était de 0,9%. Ces chiffres sont publiés par Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.

Le PIB en hausse de 0,2% dans la zone euro et de 0,3% dans l’UE28
Estimation rapide pour le troisième trimestre 2014.
+0,8% et +1,3% respectivement par rapport au troisième trimestre 2013.

Au cours du troisième trimestre 2014, le PIB corrigé des variations saisonnières a augmenté de 0,2% dans la zone euro (ZE18) et de 0,3% dans l’UE28 par rapport au trimestre précédent, selon les estimations rapides publiées par Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.
Au cours du deuxième trimestre 2014, le PIB avait crû de 0,1% dans la zone euro et de 0,2% dans l’UE28.

EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat


N°4 - 10H30

Crude Falls to Four-Year Low, USD Makes Further Gains Against the Yen

Asian stocks fell on Friday following fresh signs of slowing Chinese growth, with energy stocks depressed across the region as crude oil hovered near a four-year low in an oversupplied market. U.S. crude oil was down 0.1% at $74.17 a barrel after suffering a 3.9% slump on Thursday, when it fell to a four-year low of $74.07.

The Dow closed at a record high on Thursday, boosted by gains in Wal-Mart, but the S&P 500 was little changed as energy shares tracked crude futures prices lower. The Dow rose 40 points to close at 17,652 and the S&P500 gained 1 point to close at 2039.

The Dollar was up 0.3% to 116.16 Yen after scaling a new seven-year peak of 116.24 Yen on the back of firmer Japanese stocks. The Euro was down 0.4% at $1.2429, inching back towards a two-year low of $1.2358 struck last Friday.

Friday's session will see the release of Euro zone GDP amid concerns about the health of the bloc's economy. Analysts expect GDP to have risen by 0.7% year-on-year in the third quarter, after 0.9% growth the previous period. Separately, a report is forecast to confirm that consumer prices rose by 0.4% in October, well below the European Central Bank's target of just under 2%.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital
www.etxcapital.com


N°3 - 9H00

Le CAC salue l'amélioration surprise de la croissance française

Marchés actions
Sur les marchés actions, les principaux indices à travers le monde ont clôturé péniblement en territoire positif hier, aidés par la publication de résultats d’entreprises aux États-Unis notamment, mais plombés par les entreprises du secteur pétrolier alors que le Brent est passé sous le seuil symbolique des 80$.

Le Dow Jones et le Nasdaq s’adjugent respectivement 0.23% et 0.11% à 17 652.79 points et 4 680.14 points, tandis que le S&P500 se contente de grappiller 0.05% à 2 039.33 points, après avoir longtemps navigué dans le rouge en cours de séance. Un peu plus tôt dans la journée, leurs consœurs européennes les avaient précédées, le CAC 40 progressant de seulement 0.19% après avoir perdu pas moins de 1.5% la veille à 4 187.95 points. Le Dax et le Footsie prennent respectivement 0.41% et 0.37% à 9 248.51 points et 6 635.45 points.

En cette fin d’année, on approche également de la fin du « bal » de la saison des résultats d’entreprises, et les résultats sont globalement plutôt bons alors que pas moins de 60% des entreprises en Europe ont atteint leurs objectifs ou l’ont dépassé, et plus de 70% aux États-Unis.

Ce matin la Bourse de Tokyo s’est adjugée 0.56% à 17 490.83 points et continue de culminer proche de ses plus haut niveaux au cours des sept dernières années. Le Nikkei profite une nouvelle fois de la faiblesse du Yen contre le billet vert pour voir ses valeurs exportatrices continuer leur progression. Les investisseurs attendent maintenant la publication du PIB du troisième trimestre la semaine prochaine.

Ce matin, le PIB du troisième trimestre français a été la bonne surprise puisque battant le consensus qui tablait sur 0.1%, pour atteindre 0.3%, tandis que le PIB allemand sur la même période était conforme aux attentes des analystes. Selon les dernières indications disponibles les principales bourses européennes devraient ouvrir en légère hausse, dans le sillage de Wall Street hier et soutenu par les bons chiffres ce matin.

Forex
Sur le marché des changes ce matin, le dollar évolue à la hausse face à l’ensemble de ses contreparties, dans l’attente de la publication des chiffres des ventes au détail, prévus à la hausse par le consensus, à 0,2% contre -0,3% précédemment. Les cambistes pourront donc suivre avec attention ce potentiel nouvel indicateur de la bonne tenue de l’économie américaine, et sa suprématie sur les économies européenne et japonaise.

En Europe, l’effet de la hausse du PIB en France et en Allemagne n’a pas eu l’effet escompté face aux principales contreparties de la monnaie unique. Le climat de tension et d’incertitude qui pèse sur la zone euro continue de freiner la devise locale, malgré des chiffres encourageants. Par ailleurs, les investisseurs pourront suivre à 11h la publication de la variation de l’indice des prix à la consommation européen. La paire phare du marché des devises évoluait en très légère hausse ce matin, aux encablures des $1,2443 pour un euro, après avoir rebondis sur un support à $1,2425.

Outre-Manche, la devise britannique a gagné un peu de terrain ce matin face à la monnaie unique et au billet vert. La tendance pour la journée pourrait s’inverser au fil des importantes annonces attendues outre-Atlantique, ainsi qu’en zone euro. En Angleterre, les investisseurs pourront s’intéresser à la variation des constructions, attendue à la hausse. Le cours du cross EURGBP cotait donc aux alentours des £0,7935, évoluant dans de très faibles mouvements, alors que l’on pouvait observer une impulsion haussière plus distincte sur le Cable, progressant d’une trentaine de pips pour finalement s’échanger à $1,5680 pour une livre.

En Asie, à l’heure où les cambistes tentent de déceler la moindre information quant aux signaux des politiciens japonais sur un éventuel retard de l’augmentation des taxes, la devise nippone continue de plonger, perdant du terrain face à la plupart de ses contreparties. Après 4 semaines de pertes, le yen a abandonné 8% face à l’Euro et au billet vert. Les investisseurs attendent donc avec attention la semaine prochaine, le discours de Abe Shinzo, premier ministre japonais, sur la décision finale concernant le retardement de la hausse de la taxe de vente, ainsi que la dissolution du parlement. Le retard de cette hausse est prévu, selon le ministre des Finances Taro Aso, de manière à tenir compte des conditions économiques actuelles. Il faudra également tenir compte lundi à 00h50, de la publication des chiffres du PIB au Japon pour le troisième trimestre. Face à l’Euro, le yen continue d’enfoncer son plus bas non atteint depuis Décembre 2013, en s’échangeant à 144,69 yens pour un euro. Scénario similaire face au billet vert, où la devise japonaise enfonce un plus bas de 7 ans, amenant le cours du cross USDJPY aux alentours des 116,31 yens, après avoir cassé la résistance à 116 yens.

Matières premières
Le baril de WTI s’échange ce matin à $73.45 après s’être écroulé de presque $3 hier en séance. Les plus bas de septembre 2010 sont sans arrêt battus. Les volumes échangés étaient presque le double de la moyenne hier, ce qui se traduit par une baisse plus que significative pour la tendance générale. Le Brent lui est maintenant sous les $78 à $77.58. Le contrat décembre a expiré hier après avoir perdu $2.46 à $77.92. La prime avec son homologue américain reste étroite à $3.64.

Les spéculations sur un non ralentissement de production de la part de l’OPEP font rage et amplifient les inquiétudes d’une surabondance de l’offre. Le consensus des analystes va de plus en plus dans le sens de ce maintien de production. On parle maintenant de « boom du schiste », les américains en profitent en écrasant les marges des petits producteurs de l’OPEP et surtout de la Russie. Le marché cherche les acheteurs qui sont de moins en moins nombreux face à la vague déferlante d’une offre exponentielle. La réunion de l’OPEP du 27 pourrait devenir un évènement majeur pour la planète financière cette année en fonction des décisions qui seront prises.

Sur les statistiques, le plus grand centre de stockage de pétrole des États-Unis a progressé de 1.7 millions de barils à 22.5 millions la semaine dernière et devrait rester sur cette croissance cette semaine. Au niveau des pronostics, 11 des 22 analystes et traders qui étaient interrogés pour un sondage Bloomberg croient en une poursuite de la chute tandis que seulement sept d’entre eux voient un rebond.

Sur les métaux, l’or a évolué en dents de scie alors que le volume des actifs investis dans le SPDR Gold Trust subit sa plus grande série de baisse depuis mai 2013. L’once d’or perd se matin du terrain et se redirige de nouveau sur les $1150. Hier le contrat a perdu 0.3% à $1158.30. L’argent chute davantage de 0.7% et le platine passe en dessous de la barre symbolique des $1200 à $1193.75 hier.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°2 - 8H45

UBS daily roundup - Deflation risks and inflation reality

Paul Donovan daily briefing.

• Euro flash CPI is due, as Bloomberg run alarmist headlines about investors' belief in the risk of Euro deflation. Investors are generally so bad at predicting inflation that this could be seen as an encouraging sign. Yesterday's regional CPI data was in line or slightly higher than consensus.

• Euro area preliminary GDP will be monitored as much for the detail as for the headline. France is expected to offer weak but positive growth (not the negative growth the PMI data indicates). German growth in the context of export demand is likely to be the main focus, however.

• The UK is only offering construction output data – none of the drama of the Euro area. There are many reports of construction supply constraints in the UK, and for the UK economy it is bricks not BRICs that matter.

• US retail sales should bounce back in October – we see 0.2% with upside risks to either the October or the September data. The labour market is good, the economy is performing well, and there is a new smartphone out there. It is hard to see how the US consumer could resist the lure of the mall.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 8H30

Les rendements des fonds monétaires européens sont proches de zéro

Fitch: Yields Close To Zero for Euro Money Funds

Link to Fitch Ratings' Report: European MMF Quarterly - 3Q14

Euro-denominated money market funds (MMFs) are moving closer to negative yields, on average, as declining short-term market rates have turned negative for most high quality money market issuers, Fitch Ratings says in its latest quarterly publication on European MMFs. Euro MMFs saw their yields fall to 3bp, on average, at end-September after the European Central Bank (ECB) lowered its policy rates earlier in the month. Euro MMFs are closer than ever to posting negative yields as declining short-term market rates have turned negative for most high quality issuers. Earlier investments in longer-dated assets have allowed funds to maintain small positive fund yields until now. As these assets mature, funds are reinvesting at lower, often negative rates, which is expected to push euro MMF yields into negative territory.

Negative euro MMF yields or the use of unit cancellations or other mechanisms to maintain a stable share class in the face of negative yields, in and of itself, would not be a negative rating factor. It will be more relevant how investors react to a negative yield environment and whether this drives redemption activity as investors search for higher yielding alternatives.

In 3Q14, Euro MMFs increased their allocation to sovereigns, supranationals and government agencies (SSA) to a two-year high. Allocation to SSA issuers has increased by more than 200bp over 3Q14, on average, across Fitch-rated European MMFs, reaching 12.4% at end-September. The move happened at the expense of financial exposures, notably short-term collateralised exposures through repurchase agreements, across funds denominated in the three major currencies. It is most pronounced in euro funds as they search for higher yielding investments.

The prospect of prolonged negative euro short-term rates have led euro money funds to increase portfolio weighted average maturities (WAM) to 47 days, which is 10 days longer than a year ago. The WAM for Sterling MMFs remained more relatively stable, while US dollar MMF WAMs declined slightly. Overnight and one-week portfolio liquidity levels remain high at 27% and 39% on average, stable over the quarter.

Across all three main currencies, constant net asset value (CNAV) funds' assets grew by 7%, continuing their rise that started early 2014. Despite their low yields, even euro MMFs attracted new assets. This reflects negative deposit rates being posted by many deposit counterparties and difficulties in finding suitable liquid alternative investments.

The full report, "European MMF Quarterly - 3Q14" is available at www.fitchratings.com.



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

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- VISEO annonce l’acquisition d’Isthma 12/11/2014

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 14 Novembre 2014




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