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FY Daily Briefings - 29 septembre 2014 (n°7 - 15H15) | Le marasme s’installe… comme prévu !

Daily Briefings by Finyear. Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 29 septembre 2014 (n°7 - 15H15) | Le marasme s’installe… comme prévu !
N°7 - 15H15

Le marasme s’installe… comme prévu !

Nous l’avons évoqué à plusieurs reprises dans notre revue Décryptage : notre scénario économique pour la France n’est pas celui d’une faiblesse conjoncturelle liée à une crise passagère, mais bien une transition vers un environnement de stagnation prolongée. Il aura fallu bien du temps à nombre d’experts et de prévisionnistes pour se rallier à cette conviction. Mais force est de constater que les chiffres nous donnent raison : cela fait désormais deux ans que la croissance n’a pas dépassé les +0.5% par an en France…

L’explication est pourtant relativement simple : sans augmentation de la demande des ménages (qui pèse à elle seule 60% de la richesse créée en France), les espoirs de croissance sont très faibles. Or, dans un pays qui vieillit, avec le passage des baby-boomers au-delà de l’âge de la retraite, il est normal d’observer une chute globale des dépenses des ménages. Ce phénomène n’en étant qu’à ses débuts, il semble bien plus raisonnable d’ancrer un objectif de croissance ne dépassant pas les +1% par an, plutôt que d’imaginer revenir sur les niveaux d’avant crise. Dans ces conditions, les objectifs de déficits publics deviennent évidement bien plus complexes à tenir : une simple stabilisation des dépenses ne suffira pas… Il faudra passer par des arbitrages parfois difficiles, avec comme objectif une baisse concrète des dépenses de l’Etat si l’on souhaite stopper la hausse continue de l’endettement public.

Au-delà de la prise de conscience progressive de la situation de stagnation dans laquelle l’économie française s’installe, il reste encore une fausse idée contre laquelle lutter : pour beaucoup, c’est l’absence d’investissement des entreprises qui fait tomber l’économie dans le marasme. C’est selon nous une grave erreur de jugement : une entreprise investit lorsqu’elle a un espoir de débouchés. Or, dans une situation où les ménages ont des problèmes structurels de solvabilité, c’est bien l’absence d’espoir de retour sur investissement qui explique l’attentisme actuel des entreprises. Attention donc à ne pas confondre la poule de l’oeuf…

Pierre Sabatier - Article extrait de la revue Décryptage, n°14, Septembre 2014

PrimeView, cabinet indépendant de recherche économique et financière, publie chaque mois la revue Décryptage, qui vise à apporter des bases solides pour décrypter l’actualité économique et financière, à identifier les grands enjeux des entreprises dans une économie mondialisée et interdépendante et à anticiper les tendances d’un monde en mutation. Son objectif est de permettre aux décideurs et entrepreneurs de prendre de la hauteur dans un environnement économique particulièrement compliqué et incertain et de bénéficier d’un regard neuf, objectif, argumenté et transversal pour optimiser leur stratégie d’entreprises au regard des scénarios économiques.

www.primeview.fr


N°6 - 12H00

Croissance économique soutenue aux Émirats arabes unis grâce à une politique de diversification efficace

- 5% de croissance prévus pour 2014 grâce à une politique de diversification efficace
- Un environnement des affaires favorable soutenu par la nouvelle loi sur les entreprises qui améliore la transparence
- Amélioration du profil de la dette ; la question des besoins de financement des entités liées à l’État reste d’actualité

Coface a attribué aux Émirats arabes unis (EAU) l’évaluation A3[1] et prévoit une croissance d’environ 5% en 2014. L’environnement des affaires des EAU, qui mesure le risque présenté par les entreprises en fonction de critères tels que la transparence financière des sociétés, la fiabilité et l’efficacité du système juridique, a également été évalué A3. Après une contraction d'environ 5% en 2009, l'économie des Emirats s’est progressivement redressée, pour enregistrer des taux de croissance élevés, atteignant 5,2% en 2013.

« L’économie des EAU reste solide, principalement grâce au secteur des hydrocarbures, mais également à l’activité non pétrolière. La politique de diversification active est un véritable atout pour la croissance, dans la mesure où elle réduit la dépendance à l'égard du pétrole et soutient l’économie réelle. L’environnement des affaires s’améliore et les actions entreprises pour accroître la transparence de l’économie sont cruciales pour réduire les risques des entreprises », déclare Seltem Iyigun, économiste Moyen-Orient et Afrique du Nord chez Coface.

En début d’année, Dubaï est parvenue à refinancer à des conditions favorables sa dette venant à échéance (environ 20 milliards de dollars) avec le soutien d’Abu Dhabi et de la Banque centrale des EAU. Toutefois, le poids de la dette de l’ensemble du secteur public de Dubaï demeure élevé et des montants considérables arriveront à échéance au cours des prochaines années (près de 40 milliards de dollars entre 2015 et 2017).

L’introduction de mesures réglementaires par les autorités afin d'éviter une autre bulle immobilière devrait également être favorable pour l’économie du pays. De plus, l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi réformant progressivement la gouvernance d’entreprise est perçue comme une avancée majeure. Néanmoins, il y a encore matière à amélioration, les comptes financiers des entreprises étant rarement disponibles, à l'exception de ceux des grands groupes internationaux.

Hydrocarbures : un moteur clé de la croissance

Les EAU produisent 3,5% du pétrole brut mondial, détiennent 7% des réserves prouvées, et se classent au 7e rang mondial et à la 4e place des pays de l’OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole). En 2013, le secteur des hydrocarbures contribuait à un tiers du PIB et les exportations pétrolières représentaient environ un tiers du total des exportations. Les finances publiques des Émirats restent très dépendantes des revenus de ce secteur, malgré la politique de diversification de l'économie activement engagée. Le pétrole assurait près de 80 % des recettes fiscales en 2013. Les principaux risques présentés par ce secteur sont la dépendance de la rentabilité des entreprises aux aides publiques et l’inadéquation entre l’offre et la demande d’hydrocarbures dans le pays. Les conflits régionaux peuvent également constituer une source de risque.

Agroalimentaire : forte dépendance à l’égard des importations

L’importance du secteur agroalimentaire s’accroît aux EAU, parallèlement à la croissance de la population et du revenu par habitant. Le pays, qui représente 20% de la consommation alimentaire totale du Conseil de coopération du Golfe (CCG), est le deuxième plus gros consommateur derrière l’Arabie saoudite. Il est également le deuxième producteur de produits alimentaires du CCG. Toutefois, les terres arables sont très limitées et le climat n’est pas très favorable aux activités agricoles. Le gouvernement soutient le secteur agricole et l'industrie de transformation des produits alimentaires. La forte dépendance à l’égard des importations de produits alimentaires crée un risque pour le pays en cas de pénurie d’approvisionnement. Le contrôle des prix de ces produits par le gouvernement risque également d’avoir des répercussions négatives sur les marges des entreprises.

Commerce de détail : un environnement favorable à la croissance, des risques limités

Le commerce de détail est l’un des secteurs dont la croissance est la plus rapide aux EAU, grâce à l‘augmentation des revenus, à sa pérennité économique et au dynamisme de la consommation intérieure. N’ayant pas été affectés par l'agitation politique qui a secoué les pays arabes, les EAU sont devenus une destination touristique plus prisée, ce qui se traduit par des retombées positives sur la croissance du commerce de détail. L’intensification de la concurrence ainsi que la hausse des prix des logements, des produits alimentaires, des transports, de l’éducation et des loyers peuvent être considérées comme des risques majeurs pesant sur l'activité du commerce de détail, même si ces risques restent limités.

« Notre étude confirme que l’économie de la région s’est développée de manière importante au cours des trois dernières années, l’imposant comme l’une des premières zones commerciales sur le plan mondial. Le commerce non pétrolier, qui a atteint 256 milliards de Dirham des EAU au 1er trimestre 2014, affiche une dynamique continue, portée par des échanges extérieurs de tous les secteurs économiques hors pétrole, selon les données de l’Autorité fédérale des douanes des Émirats. Les EAU représentent un lieu d’implantation idéal pour les entreprises et un havre au Moyen-Orient », déclare Massimo Falcioni, responsable du Moyen-Orient chez Coface.

[1] Coface utilise une échelle d’évaluation à sept niveaux : A1, A2, A3, A4, B, C et D par ordre croissant de risque. L’évaluation par pays donne une idée du niveau moyen d’incidents de paiement présenté par les sociétés d’un pays dans le cadre de leurs transactions commerciales à court terme.


N°5 - 11H30

HK Democracy Protests Hit the Hang Seng, Apple the Target of EU Probe, New Woes for Balfour

Mass protests in Hong Kong are continuing, with pro-Democracy groups having successfully blocked off a significant portion of the city centre over the weekend as well as picketing government buildings. The protests are the largest against Chinese government control since Tiananmen Square 25 years ago; though riot police have now reportedly been withdrawn from the area, in earlier clashes with protestors the authorities used tear gas and pepper spray. Unsurprisingly, the protests have been having a significant effect on local markets – the Hang Seng closed down by 1.90% this morning.

Air France pilots have ended their strike, with pilots union SNPL stating that it was doing so to allow negotiations ‘to continue in a calmer climate.’ Air France shares are currently up by around 1.30% this morning, despite the union statement making it clear that negotiations are ongoing and no deal has yet been reached. The French government owns 16% of the airline.

Today’s Big Loser is Balfour Beatty, which is currently down by around 21% after releasing a fifth profit warning in a two year period. Executive Chairman Steve Marshall will step down from his role when a successor is found. Balfour Beatty notably rejected a series of takeover offers from rival firm Carillion just a couple of months ago.

The EU has stated that it will be conducting an in-depth investigation into Apple’s relationship with the Irish authorities, with initial reports claiming that the US firm benefited from illegal tax deals with Ireland for over 20 years; reports have stated that the subsequent fine could be in the billion.

Apple is denying the claims, but is currently down by around 1.41% in pre-market trading.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk


N°4 - 11H00

Coup de projecteur sur la Chine

Bulletin hebdomadaire JP Morgan AM.

Une détérioration des statistiques

Les statistiques récemment publiées ont provoqué une recrudescence des doutes sur la robustesse de l’économie chinoise. Les chiffres du mois d’août ont été pour le moins médiocres, en affichant un recul du PMI officiel et un accès de faiblesse de la production industrielle, bien qu’un très léger sursaut ait été enregistré dans le PMI de septembre de HSBC. De plus, les statistiques monétaires et celles du crédit ont de nouveau montré des signes de faiblesse. L’affaiblissement des données publiées a suscité des craintes sur le fait que le rebond provoqué par des mesures d’assouplissement ciblées, qui ont lentement perfusé l’économie depuis mars, ne soit déjà arrivé à son terme.

Des choix politiques

Depuis mars, la Banque populaire de Chine (PBoC ou Popular Bank of China) a injecté des liquidités dans les banques les plus importantes et abaissé son taux repo (pensions livrées). Certaines indications suggèrent que les plus grandes banques pourraient se voir demander d’assouplir leurs conditions sur les prêts hypothécaires afin de soutenir un marché du logement mal en point. Une nouvelle baisse des taux d’intérêt au cours des six prochains mois paraît donc plausible.

Nous estimons qu’il existe un danger d’essoufflement rapide de ce stimulus, après la saison de “prédilection” des ventes immobilières de septembre/octobre. Il existe une école de pensée qui défend l’application de la “théorie de la demi-vie” aux mesures de relance ; elle soutient en effet que ces dernières ont une efficacité déclinante. Il convient d’admettre que la baisse d’efficacité de la politique monétaire coïncide avec un affaissement des taux tendanciels de croissance de l’économie chinoise – dû pour une large part à une évolution démographique défavorable et à des niveaux excessifs d’investissement et de crédit par rapport à la taille globale de cette économie. L’une des raisons de cette évolution tient à l’accroissement considérable du crédit au secteur privé au cours de la décennie écoulée. Bien que l’on ne sache pas avec certitude si la dette du secteur privé est réellement “détenue” par l’Etat, en raison de l’opacité du contrôle exercé sur l’économie, le cumul de la dette des ménages, des entreprises et du système bancaire a progressé de 116 % du PIB en 2008 à 179 % en 2013. Comme le soulignent certaines études, la dette dépasse ainsi le seuil informel de 160 %, au-dessus duquel les taux de croissance tendent à ralentir.

Selon UBS, le ratio croissance du PIB/croissance du crédit (instrument de mesure de l’efficacité de la croissance du crédit) est tombé à son plus bas niveau depuis 2009. De plus, le fort ralentissement de la vitesse de circulation de la monnaie (ratio du PIB nominal par rapport à l’offre de monnaie) depuis début 2008 suggère que le taux actuel de la croissance de la masse monétaire, 12,8 % en glissement annuel, est cohérent avec une croissance du PIB nominal d’environ 7% à 8% en variation annuelle. Ce pourrait être un moyen de ralentir le taux de l’inflation ou celui de la croissance réelle.

L’un des principaux domaines de vulnérabilité est le secteur du logement qui connaît un passage à vide. Les statistiques concernant les 100 villes les plus importantes montrent que 73 % des agglomérations enregistrent un recul des prix en base mensuelle. Ce retournement cyclique est exacerbé par des facteurs structurels, le taux d’urbanisation (actuellement de 55 %) étant pour sa part voué à ralentir.

Cette évolution suggère également que la construction de logements devrait se ralentir. Pour mettre en perspective ces constatations, on peut rappeler que les logements achevés se sont élevés à 11 millions d’unités en 2013 alors que les mises en chantier ont dépassé 15 millions d’unités. UBS estime cependant que la demande sous-jacente générée par les effets de l’urbanisation et la demande de remplacement dans les années qui viennent est plus proche de 8 à 9 millions d’unités par an.

On considère généralement que l’impulsion actuelle donnée à la réforme reflète la détermination du gouvernement à restructurer l’économie. Il convient néanmoins de préciser que le terme de “réforme économique” ne s’inscrit pas pleinement dans le cadre du modèle américano-européen, il s’agit plutôt d’une “réforme tenant compte des particularités chinoises”. Le désir de garantir la stabilité sociale pourrait bien régir le rythme et même l’orientation de cette “réforme”. Les rumeurs de changement au sein de la PBoC pourraient également refléter une évolution dans les priorités réformatrices.

En fin de compte, la Chine pourrait se retrouver confrontée à un choix politique entre déflation et dévaluation. Une politique permettant un ajustement au sein du marché immobilier et une avancée en direction d’une libéralisation des taux d’intérêt est susceptible d’être désinflationniste ou même déflationniste. De plus, son impact pourrait être exacerbé par le processus de désendettement. Le taux tendanciel de croissance de la Chine a baissé depuis la période 2008/2009 et le taux d’intérêt “naturel” ou d’équilibre a également vraisemblablement reculé. Cependant, le processus de libéralisation des taux d’intérêt, qui a favorisé une dérivation de l’épargne des ménages hors du système bancaire traditionnel vers les comptes fiduciaires, aura eu pour effet d’alourdir le coût de financement moyen des banques. Cette hausse du coût de financement va provoquer, soit une hausse des taux des prêts, soit un rationnement du crédit disponible, pour le moins désinflationniste. L’alternative pourrait consister en un réalignement substantiel de la devise chinoise, dans une tentative visant à favoriser la croissance et à éviter les effets encore plus néfastes d’un désendettement brutal. Il est frappant que les marchés ne misent effectivement pas sur ce scénario.

Les implications pour les placements

Les défis économiques de la Chine ne sont pas susceptibles d’être résolus par elle seule, particulièrement si le scénario de la dépréciation finit par l’emporter. Tout d’abord, un ralentissement de la croissance devrait avoir des implications sur les prix des matières premières, particulièrement les métaux de base, si la Chine associe un ralentissement de sa croissance globale à des changements dans la composition de cette croissance. En particulier, un changement de cap visant un éloignement de l’investissement (consommateur intensif de ressources naturelles) en faveur de la consommation contribuerait à déprimer la demande de métaux. Ceci pourrait être néfaste pour les actions matières premières et les marchés de devises, comme l’Australie et peut-être le Canada. En second lieu, l’univers des marchés émergents souffrirait des effets d’un affaiblissement de la demande chinoise, mais ceux-ci ne seront vraisemblablement pas uniformes dans tous les pays. Si les pays producteurs de matières premières devraient être handicapés par cette évolution, les concurrents directs de la Chine pourraient relativement bien tirer leur épingle du jeu. Troisièmement, les marchés obligataires étrangers pourraient être pénalisés par une réduction du rythme d’accumulation des réserves de change, qui semble se déployer. En effet, la croissance sur six mois, en rythme annualisé, des réserves de change chinoises a ralenti pour tendre vers zéro, ce qui devrait provoquer une baisse de la demande de bons du Trésor américain (ces réserves étant supposées être détenues en USD). Tout impact sur la liquidité mondiale résultant d’une baisse de l’accumulation des réserves de change chinoises (et des marchés émergents) pourrait ainsi avoir des effets négatifs sur certains marchés obligataires et peut-être sur les classes d’actifs les plus liquides (comme les segments du high yield et des small caps).

Réflexions diverses
Les prouesses sportives et économiques sont-elles inversement corrélées ? L’Espagne a été champion mondial et européen de football au moment où la crise des Etats périphériques ne cessait de s’étendre ; la Grèce a été couronnée championne d’Europe de football au moment où son économie enregistrait un déclin abyssal ; le triomphe des Ashes australiens a été suivi d’une forte baisse de l’AUD et d’un important recul des prix du minerai de fer ; le triomphe de l’Allemagne en Coupe du monde 2014 a précédé un fort recul de l’IFO… Au moment de la rédaction de cette rubrique, l’Europe menait par 5 à 3 à la fin de la première journée de la Ryder Cup… Par quoi pourrait se traduire, sur le plan économique, un éventuel triomphe européen dans cette compétition lorsque cette publication apparaitra sur votre écran lundi matin ?

Document produit par l’équipe Global Multi Asset Group de J.P. Morgan Asset Management.
Édité par David Shairp, Stratégiste


N°3 - 10H00

Le principe d'Archimède appliqué à l'économie française

Par Betbeze Conseil.

Le Principe s'énonce ainsi : « l'économie française, plongée dans la mer des liquidités mondiales, bénéficie d'une pression de bas en haut qui la maintient à flot ». Il faut d’abord bien le comprendre pour ne pas commettre d'erreurs de diagnostic sur ce qui nous arrive, avec nos taux d’intérêt à long terme qui sont si bas. Il faut ensuite et surtout en profiter, tant qu’il nous est favorable.

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N°2 - 9H00

Ouverture à l'équilibre, l'hésitation reste présente avant l'inflation allemande

Marchés actions
Après une semaine de consolidation où les principales bourses européennes ont marqué le pas en évoluant en territoire négatif, faute d’indicateurs et de publications majeures, les investisseurs vont assister à une semaine beaucoup plus riche. En effet, outre les indices de production industrielle au Japon, les indices ISM ou les PMI manufacturier en Chine et en Europe notamment, les investisseurs se tourneront vers la BCE Jeudi et les chiffres de l’emploi américain vendredi prochain. L’aversion pour le risque, sentiment prédominant la semaine dernière, pourrait se maintenir en ce début de semaine avant la fin du troisième trimestre mardi.

Rappelons que la semaine dernière, le Dow Jones a abandonné 0.97% à 17 113.15 points, le S&P500, indice phare des gérants de portefeuille, a reculé de 1.39% à 1 982.95 points. De son côté, le Nasdaq a également cédé 1.48% à 4 512.19 points. Le CAC 40 a perdu 1.49% à 4 394.75 points.

Les investisseurs attendront donc impatiemment la conférence de presse du président de la BCE, Mario Draghi, faisant suite à la réunion mensuelle. En effet, ce dernier doit communiquer et apporter des précisions quant à l’injection de liquidité dans les marchés, à savoir le fonctionnement du programme de rachat d’actifs annoncé précédemment. Ce programme, dont le montant devrait être communiqué, se tournera vers le rachat d'ABS et d’obligations sécurisées et s’accompagnera de TLTRO proposés aux banques dans le but de faciliter le crédit en Europe. Mario Draghi devrait également expliqué le faible engouement autour de la première vague de TLTRO mi-septembre où les banques n’avaient emprunté que 82.6 milliards contre 400 proposés. La tranche suivante sera proposée le 11 Décembre prochain.

Il y a quelques dizaines de minutes, la Bourse de Tokyo a progressé de 0.5% pour cette première séance de la semaine, portée une nouvelle fois par les valeurs exportatrices qui profite toujours de la faiblesse du yen face au billet vert.

A l’ouverture ce matin, les principales bourses européennes sont attendues sans grande tendance en léger repli avant les nombreuses publications cette semaine et en cette fin de troisième trimestre. Le Dax est attendu proche de la neutralité, tandis que le CAC 40 pourrait reculer de 0.1% tandis que le Footsie pourrait céder 0.2%. Aujourd’hui les investisseurs scruteront notamment l’IPC allemand ainsi que la consommation des ménages et les revenues personnels aux Etats-Unis.

A noter également que les pilotes d’Air France ont annoncé la fin de la grève qui pénalisait la société depuis 14 jours. De son côté, BNP Paribas, suite à la démission de Baudouin Prot, a annoncé son remplacement par Jean Lemierre.

Forex
Sur le marché des changes ce matin, le dollar continue de se renforcer face à ses principales contreparties. Ce dernier a pu bénéficier d’une révision à la hausse du chiffre de la croissance américaine, et continue ainsi de s’apprécier.

Vendredi, les chiffres publiés outre-Atlantique ont fait état d’une économie américaine qui va de l’avant, et laisse donc anticiper une possible remontée des taux d’intérêt par la FED plus rapide que prévu ; une pareille mesure rendrait la monnaie du pays plus rémunératrice et stimulerait donc l’intérêt des investisseurs. Les Etats-Unis ont pu en effet profiter d’un PIB en hausse de 4,6% pour le deuxième trimestre contre 4,2% lors de l’exercice précédent. Les cambistes semblent continuer de s’intéresser au billet vert, délaissant les autres devises majeures face à des perspectives d’évolution beaucoup moins intéressantes. L’économie américaine montre en effet des signes très positifs quant à sa reprise économique, avec notamment la fin proche de son assouplissement quantitatif qui devrait respecter les délais fixés. En Europe, la situation inquiète, pâtissant de mauvaises données sur l’ensemble de sa zone et plus particulièrement en Allemagne.

La confiance des consommateurs allemands a en effet reculé en septembre, une première sur l’ensemble des 20 derniers mois. Les investisseurs suivront donc la réunion de la BCE jeudi, afin de déceler un possible nouvel assouplissement de sa politique monétaire. La paire majeure du marché des changes s’échangeait ce matin aux encablures des $1,2680 pour un euro.

Outre-Manche, la devise britannique évoluait sans réelle tendance face à un euro affaibli, dans l’attente des chiffres de l’immobilier anglais à 10h30. Le cross s’échange aux alentours des £0,7812 pour un euro.

En Asie, la devise nippone continue de chuter face au billet vert, atteignant un plus bas de 6 ans, à 109,74 yens pour un dollar. Face à un dollar fort, il faudra suivre cette nuit les chiffres du chômage et de la production industrielle au Japon. Face à la monnaie unique, le yen perdait légèrement du terrain ce matin, s’échangeant à 138,88 yens pour un euro. Cette tendance pourrait cependant être invalidée aujourd’hui, avec des chiffres attendus à la baisse en zone Euro et en Allemagne.

Le Kiwi quant à lui, a perdu du terrain face à l’ensemble de ses contreparties, touché par les propos du premier ministre John Key, exposant la nécessité pour le pays d’avoir une monnaie plus faible. Le cross EURAUD cotait donc ce matin à 1,4560, en hausse de 100 pips, et l’AUDUSD s’échangeait à $0,8705 pour un dollar australien, un plus bas depuis Janvier 2014.

Matières premières
Sur le marché des matières premières, le contrat novembre WTI est en retrait de 63 centimes à $92.91 le baril sur le Nymex. Le contrat a pourtant grimpé de près de $1.01 le 26 septembre dernier, atteignant ainsi son niveau plus élevé depuis le 17 septembre alors que les volumes sur les contrats futures étaient d’environ 3% supérieurs à la moyenne des 100 jours. Toutefois, en tendance générale, les prix sont en baisse de 3.2% pour ce mois et de 5.6% sur 2014.

Par ailleurs, le Brent d’échéance novembre a aussi diminué de 38 centimes soit 0.4% à $96.62 le baril depuis le début de la séance. La prime par rapport au WTI s’est élargie à $3.73.

Les avions US et les avions des Emirats Arabes Unis ont attaqué ce week-end quatre raffineries en Syrie contrôlées par l’Etat Islamique. Les combats ont en grande partie épargné le sud, ce qui représente les trois quarts de la production de pétrole à dans le deuxième plus grand producteur de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole. Huit frappes aériennes ont été menées ce week-end contre les véhicules et les sites de l'Etat islamique. Un poste de commandement au nord de Raqqah en Syrie a été attaqué, tandis que des bâtiments et des points de contrôle ont été détruits pour préserver la sécurité en Irak.

En Russie, l'homme le plus puissant de l'industrie pétrolière du pays a déclaré que les sanctions américaines n’iront pas dans le sens d’une amélioration.

Les gestionnaires de hedge funds et autres grands spéculateurs ont réduit leurs positions nettes sur le WTI de 4,8% à 193 965 contrats dans la semaine du 23 septembre, selon les données de la commission des contrats à termes aux États-Unis.

Du côté des métaux précieux, l’or profite du regain de tensions géopolitiques et rebondit sur les $1215 l’once ce matin. Une once de métal jaune cote maintenant $1218.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°1 - 8H45

UBS daily roundup - Fed hawks soar

Paul Donovan daily briefing.

• Ahead of Friday's US employment report (forecast to be strong) investors are likely to increase the intensity of their focus on the timing of Fed hikes. The Fed's Fisher was sounding especially hawkish in a weekend interview. Evans is scheduled today.

• The ECB, which meets Thursday, is not sounding hawkish. Today's sentiment data in the Euro area is not likely to support anything other than a dovish policy position, though the real problem is in the divergence of experience, not the aggregate number.

• Credit data and house price data from the UK may help to shape investor expectations about the timing of the UK rate increase – concerns about rapid credit expansion play a larger role than inflation in the debate about rate increases.

• New Zealand seems to be happily embracing a time warp an living in around 1985. The unilateral Plaza Accord of the central bank, announced last week, has been validated with data showing the RBNZ intervened in currency markets last month.

www.ubs.com/investmentbank


Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- EdRIP entre en négociations exclusives avec le FCDE en vue de devenir partenaire stratégique de Thomson Video Networks 26/09/2014
- CM-CIC Capital Finance entre au capital de AKCB 26/09/2014
- Le suédois Nobia en passe de céder Hygena à Fournier SA pour 20 M€ 26/09/2014
- Omnes Capital entre au capital d’Annonay Productions France dans le cadre d’une opération de MBO 26/09/2014
- Catering International Services prend une participation majoritaire dans l’entreprise congolaise Top Service 26/09/2014
- Publicis Groupe annonce l’acquisition de zweimaleins Gmbh 26/09/2014
- McPhy Energy accueille de nouveaux actionnaires à son capital 26/09/2014
- Elaïs Capital annonce son entrée au capital de France Elévateur aux côtés d’Argos Expansion et Capital Export 25/09/2014
- Gfi Informatique reprend les activités Oracle-JDE de iORGA Group 25/09/2014
- Acquisition par Somfy Participations de la nue-propriété des titres de Pellenc SA détenus par son fondateur Roger Pellenc 25/09/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr

FinActu est notre partenaire éditorial pour la lettre mensuelle LE CAPITAL INVESTISSEUR

Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

Les indicateurs de conjoncture hebdomadaire

Les Indicateurs conjoncturels France et zone euro sont une publication de la Banque de France qui paraît chaque vendredi après-midi, exclusivement sur le site internet. Cette publication offre à tous les observateurs de la conjoncture économique française et européenne une lecture resserrée et facile d'accès des évolutions récentes et des données macroéconomiques actualisées récemment. Les principaux indicateurs rendant compte de ce suivi conjoncturel concernent notamment les prévisions de croissance, les enquêtes menées auprès des chefs d'entreprises et des consommateurs, la consommation des ménages, l'évolution des prix et le marché du travail.

N°234 du 26 septembre 2014
En France, l’indicateur de climat des affaires de l’Insee est stable en septembre dans l’industrie (à 96) mais baisse dans les services (de 93 à 91). Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A en France métropolitaine baisse de 0,3 % fin août par rapport à fin juillet.
En zone euro, l’indice PMI baisse en septembre dans l’industrie manufacturière (de 50,7 à 50,5) et dans les services (de 53,1 à 52,8). En Allemagne, l’indice IFO du climat des affaires poursuit sa baisse en septembre (de 106,3 à 104,7).


DEVISES : Cotations + Taux + Convertisseur


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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Lundi 29 Septembre 2014




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