71 % des entreprises familiales européennes se déclarent confiantes pour les six prochains mois
Le niveau de confiance des entrepreneurs familiaux européens est en forte augmentation : plus de sept dirigeants sur dix se déclarent optimistes pour la performance de leur groupe durant les six prochains mois (71 %, +17 pts par rapport à décembre 2013) et parmi eux, 10 % se déclarent très confiants. Sur les six derniers mois, 76 % des dirigeants déclarent avoir maintenu ou augmenté leur chiffre d’affaires (+7 pts) et 89 % ont maintenu ou renforcé leurs effectifs (+13pts). Les entreprises familiales européennes restent résolument tournées vers l’international, bien que leur niveau d’activité à l’étranger soit en léger repli : 90 % ont stabilisé ou accru leur internationalisation (-5 pts)
« Six mois après la première édition du baromètre, les entreprises familiales européennes se montrent plus confiantes sur leur avenir. Cependant, leur inquiétude clairement exprimée sur leur niveau de profitabilité pourrait nuancer cet optimisme et devra être observé avec la plus grande attention dans le futur » souligne Christophe Bernard, Associé KPMG, Responsable mondial du marché des entreprises familiales.
La baisse de la rentabilité et des marges inquiète près d’une entreprise familiale sur deux en Europe
La baisse de la rentabilité et des marges est citée comme la principale difficulté, mentionnée par près de 49 % des entreprises familiales (+11 pts). Viennent ensuite les changements réglementaires et les difficultés à recruter du personnel qualifié, qui affectent tous deux 36 % des entreprises familiales (+ 13 pts).
Concernant l’évolution de la réglementation, les entreprises familiales aimeraient une simplification de la fiscalité (52 %, -10 pts) ainsi qu’un dispositif fiscal et administratif favorable aux transmissions intrafamiliales (45 %, +15 pts).
Moins de deux entreprises familiales sur dix déclarent rencontrer des difficultés liées à l’accès au financement
La part des entreprises familiales européennes ne faisant face à aucun problème dans leur accès au financement est en forte augmentation (81 %, +32 pts). Parmi celles qui rencontrent toujours des obstacles, elles citent comme conséquence principale la difficulté à effectuer de nouveaux investissements (35 %, +15 pts) puis les problèmes de gestion de trésorerie (33 %, -7 pts).
Les moyens de financement traditionnels restent largement privilégiés : l’autofinancement et le financement bancaire sont respectivement cités par 37 % (+7 pts) et 36 % (-10 pts) des entreprises familiales comme les opportunités de financement les plus attractives.
Trois entreprises familiales sur quatre ont l’intention de réaliser des investissements stratégiques
75 % des entreprises familiales européennes prévoient des investissements dans leur plan stratégique (- 4pts). Parmi elles, 55 % souhaitent investir dans leur activité principale (- 3pts), 27 % ont l’intention d’investir à l’étranger (-2 pts) et 18 % prévoient d’effectuer des investissements de diversification (-1 pt). 41 % des entreprises familiales ont l’intention d’investir sur leur marché national afin de gagner des parts de marché (+4 pts). Pour 35 % d’entre elles, cette décision s’explique par un manque de connaissance des marchés internationaux.
Les investissements à l’étranger seront en premier lieu réalisés au sein de l’Union Européenne (citée par 19 % des entreprises familiales, -1 pt), puis en Asie (11 %, -5 pts), en Afrique (11 %, +4 pts) et en Amérique du nord (8 %). L’Amérique du Sud et l’Océanie arrivent en dernière position (toutes deux citées par 3 % des entreprises familiales).
Par ailleurs, la part des entreprises familiales songeant à leur transmission ou cession est en forte augmentation (49 %, +20 pts). Elles prévoient une transmission à la prochaine génération de la gouvernance pour 27 % d’entres elles (+8 pts) et de la propriété de l’entreprise pour 23 % d’entres elles (stable). D’ailleurs, selon près de neuf entreprises familiales sur dix, le maintien du contrôle familial sur l’entreprise est un élément clé de leur pérennité (87 %, +15 pts).
Méthodologie
Le baromètre KPMG des entreprises familiales, réalisé en partenariat avec ASMEP-ETI et le FBN, porte sur un échantillon de 710 entreprises familiales membres de l’European Family Businesses dans 18 pays européens : Allemagne, Autriche, Bulgarie, Chypre, Espagne, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Royaume-Uni, Slovaquie et Slovénie. En France, les informations ont été collectées de mars à mai 2014 auprès des entreprises adhérentes d'ASMEP-ETI et des membres du FBN.
KPMG
kpmg.fr
ASMEP ETI
asmep-eti.fr
FBN (Family Business Network)
fbn-france.fr
fbn-i.org/
Le niveau de confiance des entrepreneurs familiaux européens est en forte augmentation : plus de sept dirigeants sur dix se déclarent optimistes pour la performance de leur groupe durant les six prochains mois (71 %, +17 pts par rapport à décembre 2013) et parmi eux, 10 % se déclarent très confiants. Sur les six derniers mois, 76 % des dirigeants déclarent avoir maintenu ou augmenté leur chiffre d’affaires (+7 pts) et 89 % ont maintenu ou renforcé leurs effectifs (+13pts). Les entreprises familiales européennes restent résolument tournées vers l’international, bien que leur niveau d’activité à l’étranger soit en léger repli : 90 % ont stabilisé ou accru leur internationalisation (-5 pts)
« Six mois après la première édition du baromètre, les entreprises familiales européennes se montrent plus confiantes sur leur avenir. Cependant, leur inquiétude clairement exprimée sur leur niveau de profitabilité pourrait nuancer cet optimisme et devra être observé avec la plus grande attention dans le futur » souligne Christophe Bernard, Associé KPMG, Responsable mondial du marché des entreprises familiales.
La baisse de la rentabilité et des marges inquiète près d’une entreprise familiale sur deux en Europe
La baisse de la rentabilité et des marges est citée comme la principale difficulté, mentionnée par près de 49 % des entreprises familiales (+11 pts). Viennent ensuite les changements réglementaires et les difficultés à recruter du personnel qualifié, qui affectent tous deux 36 % des entreprises familiales (+ 13 pts).
Concernant l’évolution de la réglementation, les entreprises familiales aimeraient une simplification de la fiscalité (52 %, -10 pts) ainsi qu’un dispositif fiscal et administratif favorable aux transmissions intrafamiliales (45 %, +15 pts).
Moins de deux entreprises familiales sur dix déclarent rencontrer des difficultés liées à l’accès au financement
La part des entreprises familiales européennes ne faisant face à aucun problème dans leur accès au financement est en forte augmentation (81 %, +32 pts). Parmi celles qui rencontrent toujours des obstacles, elles citent comme conséquence principale la difficulté à effectuer de nouveaux investissements (35 %, +15 pts) puis les problèmes de gestion de trésorerie (33 %, -7 pts).
Les moyens de financement traditionnels restent largement privilégiés : l’autofinancement et le financement bancaire sont respectivement cités par 37 % (+7 pts) et 36 % (-10 pts) des entreprises familiales comme les opportunités de financement les plus attractives.
Trois entreprises familiales sur quatre ont l’intention de réaliser des investissements stratégiques
75 % des entreprises familiales européennes prévoient des investissements dans leur plan stratégique (- 4pts). Parmi elles, 55 % souhaitent investir dans leur activité principale (- 3pts), 27 % ont l’intention d’investir à l’étranger (-2 pts) et 18 % prévoient d’effectuer des investissements de diversification (-1 pt). 41 % des entreprises familiales ont l’intention d’investir sur leur marché national afin de gagner des parts de marché (+4 pts). Pour 35 % d’entre elles, cette décision s’explique par un manque de connaissance des marchés internationaux.
Les investissements à l’étranger seront en premier lieu réalisés au sein de l’Union Européenne (citée par 19 % des entreprises familiales, -1 pt), puis en Asie (11 %, -5 pts), en Afrique (11 %, +4 pts) et en Amérique du nord (8 %). L’Amérique du Sud et l’Océanie arrivent en dernière position (toutes deux citées par 3 % des entreprises familiales).
Par ailleurs, la part des entreprises familiales songeant à leur transmission ou cession est en forte augmentation (49 %, +20 pts). Elles prévoient une transmission à la prochaine génération de la gouvernance pour 27 % d’entres elles (+8 pts) et de la propriété de l’entreprise pour 23 % d’entres elles (stable). D’ailleurs, selon près de neuf entreprises familiales sur dix, le maintien du contrôle familial sur l’entreprise est un élément clé de leur pérennité (87 %, +15 pts).
Méthodologie
Le baromètre KPMG des entreprises familiales, réalisé en partenariat avec ASMEP-ETI et le FBN, porte sur un échantillon de 710 entreprises familiales membres de l’European Family Businesses dans 18 pays européens : Allemagne, Autriche, Bulgarie, Chypre, Espagne, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Royaume-Uni, Slovaquie et Slovénie. En France, les informations ont été collectées de mars à mai 2014 auprès des entreprises adhérentes d'ASMEP-ETI et des membres du FBN.
KPMG
kpmg.fr
ASMEP ETI
asmep-eti.fr
FBN (Family Business Network)
fbn-france.fr
fbn-i.org/
Les médias du groupe Finyear
Chaque jour (5j/7) lisez gratuitement :
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
La newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises de la finance d’entreprise et de la finance d'affaires.
Chaque mois lisez gratuitement :
Le magazine digital :
- Finyear Magazine
Les 6 lettres digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- Le Capital Investisseur
- GRC Manager
- Le Contrôleur de Gestion (PROJET 2014)
Un seul formulaire d'abonnement pour recevoir un avis de publication pour une ou plusieurs lettres
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
La newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises de la finance d’entreprise et de la finance d'affaires.
Chaque mois lisez gratuitement :
Le magazine digital :
- Finyear Magazine
Les 6 lettres digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- Le Capital Investisseur
- GRC Manager
- Le Contrôleur de Gestion (PROJET 2014)
Un seul formulaire d'abonnement pour recevoir un avis de publication pour une ou plusieurs lettres
Autres articles
-
Comment l'utilisation de la fintech a-t-elle contribué à promouvoir la culture financière et à améliorer l'éducation financière ?
-
Projet de loi DDADUE : quel bilan pour les marchés crypto ?
-
La sécurité des données dans un monde hybride
-
Sopra Steria finalise l’acquisition d’une participation majoritaire au capital de CS Group
-
En 2023, les start-up de la PropTech doivent anticiper la fin de l’hypercroissance