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10 décembre 2014 (n°9 - 10H45) | Prévision choc pour la France : Hollande dissout le Parlement en 2015

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Commentaires et chiffres du jour

10 décembre 2014 (n°9 - 10H45) | Prévision choc pour la France : Hollande dissout le Parlement en 2015
N°9 - 10H45

Prévision choc pour la France : Hollande dissout le Parlement en 2015

Par Christopher Dembik, Économiste / Saxo Banque France.

Dans la perspective de la présidentielle, François Hollande décide de dissoudre l’Assemblée Nationale. Bien mal lui en a pris. Les marchés financiers s’affolent.

Après un inévitable camouflet aux départementales et conscient du risque de perte par le PS de la plupart des régions qu’il contrôle, François Hollande pourrait annoncer lors de sa traditionnelle allocution du 14 juillet son intention de dissoudre l’Assemblée Nationale. En agissant ainsi, il pourrait espérer retrouver un nouveau souffle, comme l’avait fait Jacques Chirac en 1997, dans l’optique de l’élection présidentielle de 2017. Il pourrait ainsi entrer pleinement dans les habits de président de la IVème République.

L’hypothèse de moins en moins incongrue d’une dissolution

10 décembre 2014 (n°9 - 10H45) | Prévision choc pour la France : Hollande dissout le Parlement en 2015
La gauche sortirait laminée d’un tel scrutin et pourrait ne parvenir à conserver que 56 sièges sur 323 actuellement détenus. La droite gouvernementale sortirait victorieuse et pourrait obtenir la majorité absolue avec près de 500 sièges pour l’UMP-UDI. Le FN confirmerait sa montée en puissance mais peinerait à accroître significativement son nombre d’élus à cause du mode de scrutin majoritaire.

François Hollande n’aurait pas d’autre choix que de nommer Nicolas Sarkozy pour former le nouveau gouvernement mais ce dernier aurait tout intérêt à décliner la proposition et à appeler à la démission du chef de l’Etat. Pris à son propre jeu, le président serait contraint de former un gouvernement ultra-minoritaire dirigé par Michel Sapin et soutenu par les députés PS et radicaux de gauche pour gérer les affaires courantes.

Le blocage politique et l’incapacité à respecter les engagements européens de la France ne manqueraient pas de se traduire par une forte agitation sur les marchés financiers. Les rumeurs de défaut de paiement auraient tôt fait de se répandre. Les investisseurs se détourneraient alors massivement du pays pour se replier sur les Etats-Unis, attirés par la remontée des taux américains dans la foulée du durcissement de politique monétaire de la FED.

L’illusion de taux d’intérêts durablement bas

10 décembre 2014 (n°9 - 10H45) | Prévision choc pour la France : Hollande dissout le Parlement en 2015
En résulterait certainement un krach obligataire. L’histoire récente est riche d’enseignements à propos du déroulement d’une telle crise. Le cours des obligations s’effondrerait et le taux de rendement à 10 ans, maintenu artificiellement bas depuis plusieurs années, passerait probablement en un laps de temps très court de 1,88% à plus de 5%. Les grandes banques françaises, qui détiennent une majorité de leurs fonds propres en obligations d’Etat, seraient contraintes de faire appel d’urgence à l’Etat qui demanderait à l’Union Européenne d’activer pour la première fois le mécanisme de résolution unique prévu dans le cadre de l’Union bancaire.

Aucun pan de l’économie ne serait épargné. Les banques cesseraient de se prêter entre elles. Le taux des crédits immobiliers pourrait passer de 2,40% à près de 10%, conduisant à un éclatement de la bulle immobilière, en dépit de la pénurie de logements dans le pays qui a jusqu’à présent permis d’éviter un scénario catastrophe. Après quelque temps, les agents économiques ne consommeraient et n’investiraient plus conduisant à l’entrée en récession.

Dans ce contexte, l’Etat ne serait pas épargné et pourrait, rapidement, ne plus être en mesure d’honorer ses créances. Les intérêts de la dette actuellement autour de 38 milliards d’euros par an grimperaient à plus de 100 milliards d’euros, ce qui représente un tiers des recettes fiscales et non fiscales annuelles de l’Etat. Pour surmonter les conséquences du krach obligataire, le gouvernement serait contraint de demander l’aide de la troïka. La BCE pourrait intervenir sur les segments de marché défaillants et enclencher pour la première fois le programme OMT (Outright Monetary Transactions) de rachats de la dette souveraine française sur le marché secondaire afin d’éviter l’effet de contagion. De son côté, le FMI interviendrait en débloquant des fonds d’urgence, ce qui n’est pas sans rappeler ce qui s’est passé à l’occasion du tournant de la rigueur en 1983 ou au début de la Vème République. La France serait, de fait, placée sous tutelle internationale.

Ce qu’il faut absolument retenir de ce scénario catastrophe, c’est qu’on aurait tort de croire que la France soit complètement à l’abri d’une crise majeure et que son statut de « moins mauvais » emprunteur de la zone euro puisse la protéger éternellement. D’où notre prévision choc : la dissolution de l’Assemblée Nationale pourrait provoquer un krach obligataire en France en 2015.


N°8 - 10H40

France : en octobre 2014, la production manufacturière diminue légèrement (–0,2 %)

Au mois d’octobre 2014, la production de l’industrie manufacturière en volume se replie légèrement(–0,2 %) après un timide rebond en septembre (+0,3 %). La production de l’ensemble de l’industrie diminue également (–0,8 % après 0,0 % en septembre).

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France : l’emploi marchand recule au troisième trimestre 2014

Au troisième trimestre 2014, l’emploi dans les secteurs marchands non agricoles diminue (-55 200 postes, soit –0,3 %, après +7 000 au deuxième trimestre 2014). Hors intérim, l’emploi marchand baisse fortement (–33 400, après -5 200 au trimestre précédent). Sur un an, 59 700 postes ont été supprimés dans les secteurs principalement marchands (soit –0,4 %).

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N°7 - 10H35

Le taux de chômage de la zone OCDE à 7.2% en octobre 2014

Le taux de chômage de la zone OCDE était à 7.2% en octobre 2014. Dans l’ensemble, 43.8 millions de personnes étaient au chômage dans la zone OCDE, 6 millions de moins que lors du pic d’avril 2010, mais toujours 9.3 millions de plus qu’en juillet 2008.

Le taux de chômage était stable dans la zone euro, à 11.5%. Au sein de la zone euro, les plus fortes baisses ont été enregistrées en Irlande (baisse de 0.2 point de pourcentage, à 10.9%) et en Slovénie (baisse de 0.2 point de pourcentage à 8.8%), tandis qu’il était en hausse de 0.3 point de pourcentage en Italie (à 13.2%) et globalement stable dans les autres pays.

Au Canada, le taux de chômage était en baisse de 0.3 point de pourcentage à 6.5%, son plus bas niveau depuis novembre 2008. Il était en baisse de 0.1 point de pourcentage aux États-Unis (la troisième baisse consécutive, à 5.8%, le plus bas niveau depuis juillet 2008) et au Japon (à 3.5%). Des données plus récentes montrent qu’au mois de novembre, le taux de chômage était en hausse au Canada (de 0.1 point de pourcentage, à 6.6%) tandis qu’il était stable aux États-Unis.

Le taux de chômage de la zone OCDE pour les jeunes (15-24 ans) était en baisse de 0.4 point de pourcentage en octobre, à 14.7%, 2.6 points de pourcentage en-dessous du pic enregistré en octobre 2009. Le taux de chômage des jeunes demeurait exceptionnellement élevé dans plusieurs pays de la zone euro, comme en Grèce (à 49.3% en août, le dernier mois disponible), en Espagne (à 53.8%), en Italie (à 43.3%), au Portugal (à 33.3 %) et en République slovaque (à 29.5%) .

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N°6 - 10H30

Les inégalités pèsent sur la croissance économique, selon l'OCDE

Réduire les inégalités de revenus pourrait donner un coup de fouet à la croissance économique, selon une nouvelle analyse de l'OCDE. Les travaux de l’Organisation montrent en effet que la croissance économique croît plus vite dans les pays où les inégalités de revenus diminuent que dans ceux où les inégalités de revenus augmentent.

L’effet le plus important constaté sur la croissance est provoqué par le creusement de l’écart entre, d’un côté, la classe moyenne inférieure et les ménages pauvres et, de l’autre, le reste de la société. L’éducation est la clé : c’est principalement à cause de l’investissement insuffisant des ménages pauvres dans l’éducation que les inégalités pèsent sur la croissance.

« Ces éléments indiscutables montrent à quel point il est crucial de s’attaquer à l’aggravation des inégalités si l’on veut favoriser une croissance forte et pérenne, et combien il importe de placer cette question au premier plan des débats sur l’action à mener », constate Angel Gurría, Secrétaire général de l'OCDE. « Ce sont les pays qui œuvrent à l’égalité des chances dès le plus jeune âge qui parviendront à relever le défi de la croissance et de la prospérité ».

Le creusement des inégalités a coûté plus de 10 points de croissance au Mexique et à la Nouvelle-Zélande ces vingt dernières années, et entre 6 et 9 points aux États-Unis, à l’Italie et au Royaume-Uni. Le même phénomène s’observe en Finlande, en Norvège et en Suède, même si les niveaux d’inégalité étaient moins élevés. À l’inverse, une situation plus égalitaire a contribué à faire progresser le PIB par habitant en Espagne, en France et en Irlande avant la crise.

Selon de nouveaux éléments mis en évidence dans ce rapport, les inégalités agissent principalement sur la croissance en limitant les possibilités d’instruction des enfants issus de milieux socioéconomiques modestes, ainsi que la mobilité sociale et le développement des compétences.

Les résultats scolaires des personnes dont les parents ont un faible niveau d’instruction se dégradent à mesure que les inégalités de revenu sont plus prononcées. À titre de comparaison, ce n’est pratiquement pas le cas, voire pas du tout, lorsque le niveau d’instruction parental est moyen ou élevé.

Les effets des inégalités sur la croissance découlent de l’écart non pas entre les 10 % les plus pauvres de la population mais bien entre les 40 % les plus défavorisés et le reste de la société. L’OCDE estime que les programmes de lutte contre la pauvreté ne pourront, à eux seuls, résorber cet écart. Les transferts en nature et le renforcement de l’accès aux services publics, notamment à des services d’éducation, de formation et de soins de qualité, constituent un investissement social essentiel pour améliorer l’égalité des chances à long terme.

Il ressort également de l’analyse que la redistribution, fondée notamment sur les impôts et les prestations sociales, n’est pas en soi un frein à la croissance, à condition que les mesures prises dans ce sens soient conçues, ciblées et mises en œuvre correctement.

Ce document de travail (en anglais) intitulé Trends in income inequality and its impact on economic growth s’inscrit dans le cadre de l’initiative de l'OCDE relative à de Nouvelles approches face aux défis économiques, un processus de réflexion engagé à l’échelle de l’Organisation sur les causes de la crise économique mondiale et les enseignements à en tirer, en vue notamment de favoriser un processus d’amélioration continue des grilles d’analyse de l'OCDE.

Un document de synthèse de 4 pages (disponible en français) sont consultables sur le site www.oecd.org/fr/social/inegalite-et-pauvrete.htm

Pour en savoir plus sur les travaux de l’OCDE sur les inégalités, vous pouvez consulter www.oecd.org/inequality.htm (en anglais)

Plus d’informations sur l’initiative de l’OCDE relative à de Nouvelles approches face aux défis économiques sont disponibles ici : www.oecd.org/fr/naec/

N°5 - 10H15

Dollar Dips Slightly Against the Yen After Reaching New 7-Year High, Pressure Remains on Crude

Asian shares, the Dollar and oil prices all slumped on Wednesday, pulling back as global growth concerns and political uncertainty in Greece prompted a flight to safety. The S&P 500 ended nearly flat on Tuesday as concerns about global weakness and political turmoil were offset by gains in technology and energy shares; it closed at 2,059, while the Dow Jones closed at 17,801.

The Dollar was down about 0.5% on the day at 119.04 Yen after shedding more than 2% at one point on Tuesday to trade as low as 117.90 Yen. The Greenback marked a seven-year high of 121.86 Yen on Monday. The Euro added about 0.2% on the day to buy $1.2391. The Australian Dollar flew as high as $0.8371 from a 4-1/2-year trough of $0.8223, before lapsing back to $0.8320.

Brent crude slipped about 0.8% to $66.29 a barrel, though it pared losses and remained well above a five-year low of $65.29 touched on Tuesday. U.S. crude futures were down 1% at $63.18. Oil prices have been under pressure amid a massive supply glut, after OPEC decided against cutting output. Spot gold added about 0.5% to $1,237.23 an ounce after marking a seven-week high.

David Papier
Market Analyst
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.com


N°4 - 9H45

La situation politique en Grèce et la faiblesse économique chinoise inquiètent les investisseurs

Marchés actions
Les investisseurs n’ont pas porté l’indice phare parisien dans le vert à sa clôture. Le Cac 40 s’est déprécié de 2,55% à 4263,94 points.

Les principaux indices américains ont terminé la séance en ordre dispersé.

Ainsi, le Nasdaq s’est adjugé+0,54% à 4 766,47 points. Le Dow Jones quant à lui, n’a pas réussi à clôturer en territoire positif et recule de -0,29% à 17 801,20 points, soit 1 point au-dessus du seuil symbolique des 17 800 points. Enfin, le S&P 500 a clôturé proche de la neutralité avec un léger recul de 0,02 % à 2 060 points.

Dans l’ensemble, les marchés US n’ont pas été affaibli par les dépréciations importantes de la bourse d’Athènes (-12,8%) et celle de de Shanghai (-5,3%).

En effet, dans un contexte économique toujours difficile, le gouvernement Grec a nommé Stravos, ancien commissaire européen, comme candidat à la présidentielle pour le prochain scrutin qui se tiendra le 17 décembre. Ce scrutin qui pourrait conduire à des législatives anticipées, a favorisé l’aversion pour le risque des opérateurs de marché provoquant ainsi le plongeon important de la Bouse d’Athènes.

D’autre part, la chute des cours de pétrole a largement pesé tout au long de la séance sur les marchés. A titre d’exemple, hier, le cours du baril de brut coté à New York a touché un plus bas non franchi en cinq ans.

L’annonce d’un durcissement des règles sur le financement des investisseurs, a largement pesé sur les marchés asiatiques.
Les investisseurs ont également pris connaissance du ralentissement de l’inflation à 1,4% de la Chine, qui pourrait entrainer un ajustement de la politique monétaire par sa Banque Centrale.

Pour cette séance de mercredi, les indices européens pourraient rebondir à l’ouverture et ce, malgré la morosité des investisseurs quant à l’économie mondiale. Aujourd’hui, aucune annonce majeure n’est attendue.

Forex
Hier sur le marché des changes, le dollar évoluait en légère baisse à mesure que les cambistes profitaient d’une activité forte en Europe pour prendre leurs gains sur le billet vert, qui a su être un investissement très profitable lors des dernières semaines, notamment vendredi dernier avec la publication des très bons chiffres de l’emploi. Ces signaux de bonne santé économique outre-Atlantique relancent donc les spéculations sur un resserrement de la politique monétaire de la FED pour le mois de Septembre 2015. Les cambistes suivront donc avec attention les décisions qui émaneront de la réunion de la Réserve Fédérale américaine les 16 et 17 Décembre prochains.

En Europe, la monnaie unique progresse face à la plupart de ses contreparties, faisant fi de l’activité politique grecque. En effet, à l’approche des élections anticipées en Grèce, les investisseurs craignent la montée de la gauche radicale, parue en tête des sondages hier. Ce parti s’oppose violemment aux mesures d’austérités qui ont été mises en place dans le pays par le plan d’aide de l’Union Européenne et du FMI. Ainsi, malgré une chute de 13% de la Bourse d’Athènes ayant entrainée dans son sillon le CAC 40 et le DAX, l’Euro est resté stable. Il faudra cependant suivre l’évolution de ce dernier après les chiffres décevants de la production industrielle française, qui viennent de paraître en deçà des attentes, à -0,8% contre 0,2% attendues par le consensus et 0% lors de l’exercice précédent.
La paire phare du marché des changes évolue donc à la hausse depuis le début de semaine, en progression d’environ 200 pips, pour finalement s’échanger aujourd’hui aux encablures des $1,2390 pour un euro.

En Asie, la Chine continue d’inquiéter, avec notamment le ralentissement de la hausse de l’indice des prix à la consommation, paru ce matin à 1,4% contre 1,6% attendu par le consensus. A ce plus bas de cinq ans s’ajoute un nouveau recule de l’indice des prix à la production, paru à -2,7%, contre -2,2% précédemment.
La santé de l’économie chinoise continue donc d’être remise en question, après la publication hier des mauvais chiffres de la balance commerciale. Ainsi, le gouvernement chinois devrait baisser les objectifs de croissance économique à 7%, contre 7,5% cette année, afin de s’adapter à un rythme d’expansion plus lent.

Au Japon, la devise nippone se renforce face à l’ensemble de ses contreparties, avec notamment une très forte hausse face au billet vert, non atteinte depuis le mois d’Avril. Cette dernière a en effet profité de la baisse d’intérêt pour les matières premières, à l’échelle internationale, ainsi que du ralentissement de la croissance en Chine, stimulant encore un peu plus la demande pour les valeurs refuges. L’indice de confiance des consommateurs, inférieur aux attentes, n’a finalement pas eu d’impact sur l’évolution du cours de la devise locale.
Ainsi, il fallait débourser ce matin 147,34 yens pour obtenir un euro et 118,95 yens pour obtenir un dollar. La journée d’hier, riche en rebondissement, s’est soldée par un glissement qui s’est établit de 121 yens à 118 yens, pour le cross USDJPY. Le cours de ce dernier semble rebondir ce matin sur la résistance à 118,70 yens.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, les cours de l’or noir sont parvenus à rebondir légèrement sur la journée d’hier après sept séances de baisse consécutive. La faiblesse du dollar sur le marché des changes a permis au baril de reprendre un peu de hauteur. Néanmoins, la hausse des cours de l’or noir s’est montrée limitée après l’annonce d’une nouvelle augmentation des stocks de pétrole brut aux Etats-Unis pour la deuxième semaine d’affilée. En effet, les stocks ont progressé de 4,4 millions de barils pour s’établir à 337,4 millions tandis que les analystes tablaient sur une baisse de l’ordre de 2,2 millions. Pour ce qui est de la demande, les derniers indicateurs montrent un ralentissement marqué pour les principaux pays consommateurs d’or noir dans le monde. L’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) prévoit désormais une croissance de la demande mondiale de pétrole à 880 000 barils par jour pour l’année 2015 contre 1,12 million de barils prévu précédemment. Ce matin, le Brent de la Mer du Nord se négocie proche des 66,20 dollars et le WTI s’affiche de son côté désormais proche des 63 dollars.

Du coté des métaux précieux, les cours rebondissent après notamment l’annonce d’élections anticipées en Grèce qui pourraient permettre à la gauche radicale du pays d’accéder au pouvoir et remettre en question l’aide apportée par la Troïka au pays. L’once d’or s’échange ce matin aux alentours de 1 234,10 dollars et l’once d’argent se traite autour des 17,14 dollars.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°3 - 9H30

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading higher this morning managing to stage a rebound in early trading after two days of hefty losses.
Sharply outperforming US markets and better than expected Chinese inflation data are providing European markets with a much needed lift this morning.
Fears about a potential early rise in US interest rates have quickly faded in the background yesterday in US trading with the strong economy taking centre stage instead stirring optimism that the economy is strong enough to cope with a rise in rates and that corporate profits will continue to grow in 2015.
Furthermore lower than expected inflation data out of China overnight has increased the likelihood that the government and central bank will take further measures to boost growth which in turn would indirectly benefit the global economy as a whole.
On a negative note French industrial production and employment data missed expectations however any further weakness in any of Europe’s major economies rather increases the likelihood of ECB action in the near future and consequently doesn’t need to be negative for stock markets.

Short-term sentiment remains negative although markets are oversold a bit for now making intra-day rebounds likely. The outperformance of US markets versus Europe is expected to continue as the US and Euro-zone economies appear to go in opposite directions for now.
Ongoing strong US markets might just enable European stocks to put in a bottom for now whereby any weakness in the US would translate into a sharp sell-off in European stocks.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°2 - 9H15

UBS daily roundup - Leviathan

Paul Donovan daily briefing.

• The announcement of an early Greek presidential election had a direct, discernible impact on markets (Greek equities fell almost 13%). The issue goes beyond Greece however. With elections in Spain and Portugal next year, and the ever possible risk of Italian elections, this is a reminder of Euro political risk.

• The reaction of Greek markets is a more general reminder of how important political risk has become to modern investing. Political risk operates through fiscal and regulatory risk, and has a bearing on expected returns, arbitrage possibilities and the reversal of the globalisation of capital.

• In economic data Japan's consumer confidence fell yet again (wage concerns seem to be dominating). Chinese inflation came in lower than expected on lower food and fuel prices, and we think will prompt further interest rate reductions.

• French industrial production data is due from the Euro area. The US gives us the third quarter service sector survey – not necessarily a market mover, but helpful to economists in the wake of healthcare adding volatility to recent GDP reports.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 9H00

Les recettes fiscales rebondissent après la crise mais les structures fiscales des pays diffèrent fortement, selon l’OCDE

La pression fiscale et les recettes collectées dans les économies avancées atteignent des niveaux historiquement élevés, supérieurs à ceux observés avant la crise financière mondiale, mais les structures fiscales sont toujours très différentes d’un pays à l’autre, selon de nouvelles études de l’OCDE.

Les Statistiques des recettes publiques 2014 montrent que la pression fiscale moyenne dans les pays de l’OCDE a augmenté de 0,4 point de pourcentage en 2013 pour s’établir à 34,1 %, contre 33,7 % en 2012 et 33,3 % en 2011. La pression fiscale correspond au montant total des recettes fiscales collectées exprimé en pourcentage du PIB.

Les ratios impôt‑PIB ont évolué à la hausse au cours des années 90, pour atteindre en 2000 le niveau maximum de 34,3 % en moyenne dans l’OCDE. Une phase de léger recul, entre 2001 et 2004, puis une période d’augmentation, de 2005 à 2007, ont suivi, jusqu’à la nouvelle baisse observée au lendemain de la crise.

En 2013, la pression fiscale a augmenté dans 21 des 30 pays pour lesquels des données sont disponibles, tandis qu’elle diminuait dans les neuf autres. Le nombre de pays présentant respectivement une hausse ou une baisse de ce ratio est comparable à celui de 2012, ce qui traduit la poursuite de la tendance vers une augmentation des recettes publiques.

En 2013, les plus fortes hausses de la pression fiscale ont été relevées au Portugal, en Turquie, en République slovaque, au Danemark et en Finlande, tandis que les plus fortes baisses revenaient à la Norvège, au Chili et à la Nouvelle‑Zélande.

Des notes par pays détaillées fournissent des données complémentaires sur la pression fiscale et la structure de la fiscalité dans les différents pays de l’OCDE.

Plusieurs facteurs expliquent la progression de la charge fiscale entre 2012 et 2013. Près de la moitié de l’augmentation est attribuable aux impôts sur les revenus des personnes physiques et sur les bénéfices des sociétés, qui sont généralement conçus pour que les recettes augmentent plus vite que le PIB en période de reprise économique. Les modifications discrétionnaires de la fiscalité sont également entrées en jeu, de nombreux pays ayant relevé les taux et/ou élargi les bases d’imposition.

Les nouvelles données montrent également une augmentation des recettes au sein des administrations centrales, des États et des administrations régionales entre 2011 et 2013, après les contractions observées durant l’essentiel de la période 2008-10. La pression fiscale moyenne au niveau des administrations locales affiche une augmentation, légère mais régulière, depuis 2007.

Les autres principales conclusions sont :

Le Danemark présente le ratio impôts-PIB le plus élevé parmi les pays de l’OCDE (48,6 %), devant la France (45 %) et la Belgique (44,6 %).

Les ratios impôts-PIB les plus bas dans la zone OCDE sont ceux du Mexique (19,7 %) et du Chili (20,2 %), suivis par la Corée (24,3 %) et les États‑Unis (25,4 %).

La pression fiscale reste inférieure de plus de 3 points de pourcentage à son niveau de 2007 (avant la récession) dans trois pays – Espagne, Islande et Israël. C’est en Israël que le recul a été le plus prononcé – le ratio passant de 34,7 % en 2007 à 30,5 % du PIB en 2013.

La charge fiscale en Turquie a augmenté, passant de 24,1 % en 2007 à 29,3 % en 2013. Trois autres pays (la Finlande, la France, et la Grèce) affichent des hausses de plus de 2,5 point de pourcentage durant la même période.

Les recettes provenant des impôts sur le revenu des personnes physiques et sur les bénéfices des sociétés repartent à la hausse, après les fortes baisses de 2008 et 2009. Cependant, ces impôts représentaient 33,6 % des recettes totales en 2012 – dernière année pour laquelle des données complètes sont disponibles – ce qui reste en dessous du taux de 36 % relevé en 2007. La part des cotisations de sécurité sociale a augmenté de 1,6 point de pourcentage, pour s’établir en moyenne à 26,2 % des recettes totales.

Tendances des impôts sur la consommation

L’OCDE recommande de modifier les structures fiscales afin que les pays se détournent des impôts qui créent les plus fortes distorsions dans l’économie, tels que les prélèvements sur le travail et les impôts sur les bénéfices des sociétés, pour privilégier des sources de recettes plus favorables à la croissance, comme les impôts sur la consommation et le patrimoine. La TVA est une source de recettes importante pour les pays de l’OCDE, dans lesquels elle représente, en moyenne, environ 20 % des recettes fiscales totales.

La publication Tendances des impôts sur la consommation 2014 souligne la forte augmentation du taux normal de la TVA au cours des cinq dernières années : le taux normal moyen de TVA appliqué dans l’OCDE a atteint un niveau record de 19,1 % en janvier 2014, contre 17,6 % en janvier 2009. Au cours de la période 2009-14, 21 pays ont relevé leur taux normal de TVA à une ou plusieurs reprises. Les 21 pays de l’OCDE faisant partie de l’Union européenne affichent un taux normal moyen de TVA égal à 21,7 %, un taux sensiblement supérieur à la moyenne de l’OCDE.

Des notes par pays fournissent des données complémentaires sur les tendances des impôts sur la consommation et sur l’efficacité de la collecte de la TVA/TPS[1] dans les pays de l’OCDE.

Si la plupart des pays de l’OCDE ont relevé leur taux normal de TVA, seuls quelques-uns d’entre eux ont cherché à élargir la base d’imposition à la TVA. De nombreux pays de l’OCDE continuent à appliquer des taux réduits de TVA et des exonérations pour l’essentiel à des fins d’équité fiscale ou de justice sociale. Cependant, l’élargissement de la base d’imposition obtenu en limitant l’application des taux réduits et des exonérations peut permettre aux pays d’accroître leurs recettes sans relever le taux normal. L’élargissement de la base d’imposition peut même permettre de réduire le taux normal de TVA.

Effets redistributifs des impôts sur la consommation dans les pays de l’OCDE

Le rapport consacré aux effets redistributifs des impôts sur la consommation dans les pays de l’OCDE montre que de nombreux taux réduits de TVA sont en réalité plus favorables aux ménages aux revenus les plus élevés qu’aux ménages à faibles revenus. Cela est particulièrement vrai des taux réduits de TVA appliqués aux repas pris au restaurant, aux nuitées d’hôtel et aux biens culturels, tels que les livres, les places de théâtre et de cinéma.

Selon cette étude, menée en collaboration avec l’Institut coréen des finances publiques, une approche plus efficace pour atteindre les objectifs d’équité et de justice sociale consisterait à supprimer une grande partie de ces taux réduits pour les remplacer par des mesures d’exonération mieux ciblées, notamment des aides et des crédits d’impôt soumis à des conditions de revenu.

Lire la suite + graphiques + comparatifs entre pays

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Finyear Eco est exclusivement réservé aux professionnels, aux investisseurs et aux conseillers financiers professionnels et n’est pas destiné aux particuliers. Ces commentaires présentent un caractère purement informatif et ne constituent ni un conseil en investissement, ni une recommandation d’achat ou de vente d’instruments financiers.

A la suite nous vous proposons un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


INFORMATIONS LÉGALES

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Mercredi 10 Décembre 2014




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