Est-ce qu’il existe une pensée unique du management qui étouffe le dialogue et viole la sphère privée ?
La nécessité de la survie fait de l’entreprise un lieu de soumission où elle cherche à tirer le maximum de ses salariés, à commencer par les cadres dits à haut potentiel. Voulant réussir, ces derniers véhiculent les valeurs de la direction la tête dans le guidon.
Or, de façon imperceptible, un déphasage s’installe entre la sphère publique de l’entreprise et la sphère privée de ces cadres. Quadras ou en voie de l’être, ces derniers ressentent très fortement toute violation de leur « zone interdite ».
Plus souvent qu’on ne le pense, il en résulte des rébellions. Les contestataires rappellent aux entreprises qu’elles ne peuvent pas violer impunément la sphère privée de leurs cadres et faire fi de l’environnement social, culturel et moral dans lequel ils sont insérés. Il s’agit là d’un enjeu managérial qu’elles ne peuvent ignorer sans se mettre en péril.
Au delà – ou en deçà – de la « souffrance au travail », ce livre est le premier qui analyse un phénomène proche, mais plus subtil, celui de la « contrainte douce » de l’entreprise envers ses cadres, cas vécus à l’appui, avec de nombreuses interviews. Les auteurs démontrent que la contestation en entreprise ne se réduit pas à un simple pétage de plombs et qu’elle peut même être créative.
http://vuibert.com/livre31289.html
La nécessité de la survie fait de l’entreprise un lieu de soumission où elle cherche à tirer le maximum de ses salariés, à commencer par les cadres dits à haut potentiel. Voulant réussir, ces derniers véhiculent les valeurs de la direction la tête dans le guidon.
Or, de façon imperceptible, un déphasage s’installe entre la sphère publique de l’entreprise et la sphère privée de ces cadres. Quadras ou en voie de l’être, ces derniers ressentent très fortement toute violation de leur « zone interdite ».
Plus souvent qu’on ne le pense, il en résulte des rébellions. Les contestataires rappellent aux entreprises qu’elles ne peuvent pas violer impunément la sphère privée de leurs cadres et faire fi de l’environnement social, culturel et moral dans lequel ils sont insérés. Il s’agit là d’un enjeu managérial qu’elles ne peuvent ignorer sans se mettre en péril.
Au delà – ou en deçà – de la « souffrance au travail », ce livre est le premier qui analyse un phénomène proche, mais plus subtil, celui de la « contrainte douce » de l’entreprise envers ses cadres, cas vécus à l’appui, avec de nombreuses interviews. Les auteurs démontrent que la contestation en entreprise ne se réduit pas à un simple pétage de plombs et qu’elle peut même être créative.
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