Est-ce que vous pouvez nous présenter le Mercato de L’Emploi ?
Le Mercato de l’Emploi, c’est le premier réseau national de recruteurs indépendants. Il y a plus de 200 recruteurs au service des entreprises, de toute taille, sur l’ensemble du territoire français. Nous avons un objectif de 1000 recruteurs en 2023. Notre but est d’aider les entreprises à trouver les meilleurs talents avec enthousiasme et surtout réactivité.
Est-ce que vous pensez que la Blockchain pourrait permettre de fluidifier le marché de l’emploi ?
La Blockchain enregistre les transactions de façon décentralisée, sécurisée et transparente dans une grande base de données distribuée. Ainsi, elle pourrait transformer le visage de l’emploi au niveau mondial en favorisant le travail à distance. En effet, les plateformes de « contrats intelligents » comme Ethereum donnent la possibilité d’adopter une nouvelle organisation du travail plus décentralisée et d’influer sur la façon dont les entreprises rémunèrent et incitent les travailleurs…
Est-ce que vous avez un exemple de cette transformation ?
Oui, tout à fait, nous suivons ce que fait la plateforme LaborX, fondée par la start up australienne Chrono.tech. Ce n’est pas sur le modèle du salariat, mais leur approche est super intéressante. C’est une plateforme mondiale d’indépendants qui proposent leurs services pour des missions de courte durée auprès des entreprises. Ils sont rémunérés en cryptomonnaies sans avoir besoin d’un compte bancaire. Les paiements sont garantis pour les free-lances grâce aux « smart contracts » (protocoles informatiques enregistrés dans la blockchain). Leur module « Reputation » fournit des protections et un système de feedback pour aider les utilisateurs à sélectionner les meilleurs freelances et clients. Leur algorithme tient compte de facteurs tels que l'expérience et la formation antérieures, les avis, et les missions terminées. Récemment, la plateforme s’est ouverte aux emplois à temps complet.
Une autre plateforme dans cet esprit ?
Oui, il y a Cryptogigs qui recense toutes les offres d'emploi et les publications de services On peut être rémunéré dans plusieurs crypto-monnaies telles que Bitcoin, Ethereum, Ripple, etc. Cela faisant, il faut être prudent si l’on accepte un travail rémunéré en crypto car les monnaies restent très volatiles…
Justement, est-ce que les cryptos peuvent aussi changer la donne dans la juste rémunération du travail ?
En effet, la rémunération du travail en crypto-monnaie offre une meilleure inclusivité sur le marché de l’emploi car les paiements en crypto sont instantanés, sans frontières, et ne nécessitent pas de compte bancaire. Cela donne accès au travail à toute une population non bancarisée. Par ailleurs, les monnaies stables telles que l’USDC adossées à des monnaies FIAT (Euro, dollar…) réduisent le risque de volatilité.
On imagine aussi que la DeFi va donner naissance à de nouveaux métiers. Quelles types de professions voyez-vous émerger dans les prochaines années ?
Bien entendu. Il y a déjà les développeurs Blockchain capables de coder des “smart contracts”, des contrats informatiques exécutant des actions de manière automatisée, en suivant des paramètres prédéfinis. Ils devront maîtriser des technologies comme Solidity pour les développer dans la blockchain Ethereum. Il y aussi les Crypto Asset Manager qui doivent être capables d’assurer la gestion de la trésorerie en crypto-monnaies et de maîtriser les risques face à l’extrême volatilité des monnaies numériques. De multiples métiers n’existent pas encore. C’est aussi ça qui rend le secteur passionnant à suivre !
Le Mercato de l’Emploi, c’est le premier réseau national de recruteurs indépendants. Il y a plus de 200 recruteurs au service des entreprises, de toute taille, sur l’ensemble du territoire français. Nous avons un objectif de 1000 recruteurs en 2023. Notre but est d’aider les entreprises à trouver les meilleurs talents avec enthousiasme et surtout réactivité.
Est-ce que vous pensez que la Blockchain pourrait permettre de fluidifier le marché de l’emploi ?
La Blockchain enregistre les transactions de façon décentralisée, sécurisée et transparente dans une grande base de données distribuée. Ainsi, elle pourrait transformer le visage de l’emploi au niveau mondial en favorisant le travail à distance. En effet, les plateformes de « contrats intelligents » comme Ethereum donnent la possibilité d’adopter une nouvelle organisation du travail plus décentralisée et d’influer sur la façon dont les entreprises rémunèrent et incitent les travailleurs…
Est-ce que vous avez un exemple de cette transformation ?
Oui, tout à fait, nous suivons ce que fait la plateforme LaborX, fondée par la start up australienne Chrono.tech. Ce n’est pas sur le modèle du salariat, mais leur approche est super intéressante. C’est une plateforme mondiale d’indépendants qui proposent leurs services pour des missions de courte durée auprès des entreprises. Ils sont rémunérés en cryptomonnaies sans avoir besoin d’un compte bancaire. Les paiements sont garantis pour les free-lances grâce aux « smart contracts » (protocoles informatiques enregistrés dans la blockchain). Leur module « Reputation » fournit des protections et un système de feedback pour aider les utilisateurs à sélectionner les meilleurs freelances et clients. Leur algorithme tient compte de facteurs tels que l'expérience et la formation antérieures, les avis, et les missions terminées. Récemment, la plateforme s’est ouverte aux emplois à temps complet.
Une autre plateforme dans cet esprit ?
Oui, il y a Cryptogigs qui recense toutes les offres d'emploi et les publications de services On peut être rémunéré dans plusieurs crypto-monnaies telles que Bitcoin, Ethereum, Ripple, etc. Cela faisant, il faut être prudent si l’on accepte un travail rémunéré en crypto car les monnaies restent très volatiles…
Justement, est-ce que les cryptos peuvent aussi changer la donne dans la juste rémunération du travail ?
En effet, la rémunération du travail en crypto-monnaie offre une meilleure inclusivité sur le marché de l’emploi car les paiements en crypto sont instantanés, sans frontières, et ne nécessitent pas de compte bancaire. Cela donne accès au travail à toute une population non bancarisée. Par ailleurs, les monnaies stables telles que l’USDC adossées à des monnaies FIAT (Euro, dollar…) réduisent le risque de volatilité.
On imagine aussi que la DeFi va donner naissance à de nouveaux métiers. Quelles types de professions voyez-vous émerger dans les prochaines années ?
Bien entendu. Il y a déjà les développeurs Blockchain capables de coder des “smart contracts”, des contrats informatiques exécutant des actions de manière automatisée, en suivant des paramètres prédéfinis. Ils devront maîtriser des technologies comme Solidity pour les développer dans la blockchain Ethereum. Il y aussi les Crypto Asset Manager qui doivent être capables d’assurer la gestion de la trésorerie en crypto-monnaies et de maîtriser les risques face à l’extrême volatilité des monnaies numériques. De multiples métiers n’existent pas encore. C’est aussi ça qui rend le secteur passionnant à suivre !
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