Déclaration de TVA, bilan, liasse fiscale, déclaration de bénéficiaire effectif, déclaration de charges sociales, paiement Urssaf pour les dirigeants non salariés… : l’année est ponctuée d’échéances qu’il vaut mieux ne pas dépasser sous peine de devoir ensuite payer des pénalités ou des amendes.
> Être « au carré » administrativement, la base d’une bonne gestion
Bonne organisation, rigueur et respect des échéances constituent la base incontournable pour gérer correctement son entreprise. C’est la fonction historique des experts-comptables que d’en être les garants, mais sans une coopération étroite entre l’entreprise et l’expert-comptable, la mission est impossible. C’est la première marche du podium de la performance : devoir gérer les déclarations et les paiements est un moteur pour les dirigeants qui les oblige à s’organiser, à classer et à anticiper.
> Tenir sa comptabilité à jour, la deuxième marche du podium
Le client d’abord ! La production d’abord ! Oui, mais… Cela peut être un piège. Car à force de repousser sine die « la compta », on risque de perdre en visibilité. Opter par exemple, à la création de son entreprise, pour la TVA mensuelle est une bonne illustration de la manière dont une obligation comptable peut se transformer en outil de gestion. Car cette contrainte oblige à tenir sa comptabilité au mois le mois. Que l’entreprise tienne sa comptabilité elle-même ou la confie à un expert-comptable, elle aura tout intérêt à investir en temps et un peu en argent pour acquérir les logiciels qui permettent aujourd’hui de scanner ou d’importer les pièces comptables et les imputer directement dans les logiciels de comptabilité. L’expert-comptable pourra ainsi gagner du temps en production de comptes, et consacrer davantage de ressources à conseiller le dirigeant. C’est un duo gagnant-gagnant où la production des comptes étant optimisée, les échanges sur le développement de l’entreprise et sa stratégie seront favorisés.
> La troisième marche : mettre en place les outils de gestion adaptés
Le défi que doivent relever les experts-comptables est de savoir s’adapter à chaque client pour lui fournir les indicateurs clés dont il a vraiment besoin. Pour 95 % des entreprises, le chiffre d’affaires, la marge, la masse salariale et l’évolution des frais généraux leur suffiront. D’autres auront besoin, en plus, d’indicateurs plus spécifiques comme la ventilation des ventes par exemple ou l’impact de l’évolution du prix des matières premières sur les marges (surtout en ces périodes d’incertitude). Quant au prévisionnel de trésorerie, c’est un outil dont toutes les entreprises devraient se doter.
La taille de l’entreprise n’est pas le seul critère pour concevoir des indicateurs pertinents. C’est plutôt la typologie du dirigeant qui doit être prise en compte. Un dirigeant avec une formation financière sera évidemment plus sensible à la rentabilité et moins regardant sur le commercial. A l’inverse, un dirigeant avec une formation commerciale aura tendance à avoir les yeux rivés sur l’évolution du chiffre d’affaires et risquera d’être moins attentif aux autres indicateurs de rentabilité et autres. D’autres, de naturel anxieux, seront sensibles au risque de contrôle fiscal : ce sera leur motivation première pour être irréprochables…
Bien évidemment, au-dessus d’une certaine taille, la rigueur de gestion est incontournable pour franchir le plafond de verre de la croissance. Si le dirigeant n’a pas cette fibre, il embauchera plus rapidement un responsable financier pour prendre en charge ces aspects.
> Une démarche vitale en période de crise ou de croissance
L’exemple récent de la pandémie illustre bien l’impérieuse nécessité d’être à jour de ses obligations pour bien gérer : quand il s’est agi de négocier les PGE, les entreprises qui disposaient de leur bilan, de leur comptabilité à jour et d’analyses de gestion ont pu les obtenir en quelques jours seulement.
De même, une entreprise en croissance verra augmenter son besoin en fonds de roulement pour financer par exemple l’achat de stocks ; ou bien elle aura besoin de négocier des découverts provisoires, des crédits avec ses fournisseurs. C’est la qualité des éléments financiers qu’elle sera à même de produire qui créera de la confiance, ou pas.
Dans un environnement économique qui nécessite de s’adapter en permanence, il est évident que la capacité à fournir rapidement des outils de gestion permet de mieux anticiper, soit pour limiter les effets d’une crise, soit pour favoriser la croissance.
https://www.walterfrance-allinial.com/fr
> Être « au carré » administrativement, la base d’une bonne gestion
Bonne organisation, rigueur et respect des échéances constituent la base incontournable pour gérer correctement son entreprise. C’est la fonction historique des experts-comptables que d’en être les garants, mais sans une coopération étroite entre l’entreprise et l’expert-comptable, la mission est impossible. C’est la première marche du podium de la performance : devoir gérer les déclarations et les paiements est un moteur pour les dirigeants qui les oblige à s’organiser, à classer et à anticiper.
> Tenir sa comptabilité à jour, la deuxième marche du podium
Le client d’abord ! La production d’abord ! Oui, mais… Cela peut être un piège. Car à force de repousser sine die « la compta », on risque de perdre en visibilité. Opter par exemple, à la création de son entreprise, pour la TVA mensuelle est une bonne illustration de la manière dont une obligation comptable peut se transformer en outil de gestion. Car cette contrainte oblige à tenir sa comptabilité au mois le mois. Que l’entreprise tienne sa comptabilité elle-même ou la confie à un expert-comptable, elle aura tout intérêt à investir en temps et un peu en argent pour acquérir les logiciels qui permettent aujourd’hui de scanner ou d’importer les pièces comptables et les imputer directement dans les logiciels de comptabilité. L’expert-comptable pourra ainsi gagner du temps en production de comptes, et consacrer davantage de ressources à conseiller le dirigeant. C’est un duo gagnant-gagnant où la production des comptes étant optimisée, les échanges sur le développement de l’entreprise et sa stratégie seront favorisés.
> La troisième marche : mettre en place les outils de gestion adaptés
Le défi que doivent relever les experts-comptables est de savoir s’adapter à chaque client pour lui fournir les indicateurs clés dont il a vraiment besoin. Pour 95 % des entreprises, le chiffre d’affaires, la marge, la masse salariale et l’évolution des frais généraux leur suffiront. D’autres auront besoin, en plus, d’indicateurs plus spécifiques comme la ventilation des ventes par exemple ou l’impact de l’évolution du prix des matières premières sur les marges (surtout en ces périodes d’incertitude). Quant au prévisionnel de trésorerie, c’est un outil dont toutes les entreprises devraient se doter.
La taille de l’entreprise n’est pas le seul critère pour concevoir des indicateurs pertinents. C’est plutôt la typologie du dirigeant qui doit être prise en compte. Un dirigeant avec une formation financière sera évidemment plus sensible à la rentabilité et moins regardant sur le commercial. A l’inverse, un dirigeant avec une formation commerciale aura tendance à avoir les yeux rivés sur l’évolution du chiffre d’affaires et risquera d’être moins attentif aux autres indicateurs de rentabilité et autres. D’autres, de naturel anxieux, seront sensibles au risque de contrôle fiscal : ce sera leur motivation première pour être irréprochables…
Bien évidemment, au-dessus d’une certaine taille, la rigueur de gestion est incontournable pour franchir le plafond de verre de la croissance. Si le dirigeant n’a pas cette fibre, il embauchera plus rapidement un responsable financier pour prendre en charge ces aspects.
> Une démarche vitale en période de crise ou de croissance
L’exemple récent de la pandémie illustre bien l’impérieuse nécessité d’être à jour de ses obligations pour bien gérer : quand il s’est agi de négocier les PGE, les entreprises qui disposaient de leur bilan, de leur comptabilité à jour et d’analyses de gestion ont pu les obtenir en quelques jours seulement.
De même, une entreprise en croissance verra augmenter son besoin en fonds de roulement pour financer par exemple l’achat de stocks ; ou bien elle aura besoin de négocier des découverts provisoires, des crédits avec ses fournisseurs. C’est la qualité des éléments financiers qu’elle sera à même de produire qui créera de la confiance, ou pas.
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
The issuer is solely responsible for the content of this announcement.
Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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