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Legal Suite pilote son innovation grâce à la norme IAS 38

En tant que PME innovante, labélisée OSEO Innovation, Legal Suite investit beaucoup en R&D. Avec toujours un temps d’avance et pour mener une stratégie d’innovation dynamique mais réaliste, l’éditeur s’applique la nouvelle norme comptable IAS 38, connue pour son exigence. ¡ Une démarche originale pour une société non cotée dont devraient s’inspirer d’autres PME françaises.


Leader dans l’édition de progiciels juridiques et de gouvernance d’entreprise, Legal Suite travaille pour de nombreux grands comptes, tous secteurs d’activité, et se doit de montrer l’exemple. Afin de leur proposer des solutions toujours plus performantes, Legal Suite fonde sa stratégie sur l’innovation et la qualité. Elle investit plus de 20 % par an de son CA en R&D. Encore faut-il que cette politique d’investissement soit soutenue par un mode de gestion adapté. C’est pourquoi Legal Suite a adopté la nouvelle norme IAS 38, généralement mise en place dans les grandes entreprises cotées

La norme IAS 38 : un excellent moyen de valoriser son innovation

L’IAS 38 est une nouvelle norme comptable internationale qui dépend des normes IFRS, obligatoire pour toutes les sociétés cotées en Europe. Pourtant elle se révèle bien utile pour les PME non cotées comme Legal Suite qui souhaitent encadrer leur activité R&D. « En choisissant cette option dans notre comptabilité, nous pouvons passer les frais de R&D à l’actif du bilan, c’est-à-dire non plus comme des charges mais comme un investissement », explique Emmanuel Blanc, DAF de Legal Suite.

Cette norme moderne apporte surtout une visibilité dans sa stratégie d’investissement grâce à différentes règles de calcul : nombre d’années sur lequel l’actif sera amorti, étalement des charges selon la durée de vie estimée du produit, etc. « C’est la traduction financière et comptable de la façon dont une société comme la nôtre gère l’innovation », résume Emmanuel Blanc.

Pour y prétendre, il faut que le projet puisse remplir différents critères (faisabilité technique, disponibilité des ressources, etc.), dont celui de la justification, l’un des plus importants puisqu’il permet de déterminer si l’innovation prévue est viable ou pas. « Cette norme permet à une entreprise de mieux valoriser ses efforts de R&D en formalisant de manière précise dans un rapport (qui pourra être remis aux analystes financiers, aux commissaires aux comptes…) en quoi les produits réalisés présentent un avantage concurrentiel et innovant réel », complète Miranda Nally, qui a supervisé le dossier chez Alma Consulting Group, leader européen du conseil en réduction de coûts dont l’expertise est reconnue sur l’audit des projets d’Innovation à travers notamment le dispositif du Crédit d’Impôt Recherche.

Coller au plus près des réalités économiques

Bien plus que de simples règles comptables, la norme IAS 38 offre un cadre très intéressant pour gérer toute la complexité d’un projet, de l’idée initiale au retour sur investissement futur. Elle apporte une gestion fine de ses investissements en R&D, au plus près de la réalité économique de l’entreprise, en posant aux responsables les bonnes questions telles que : est-ce que vous disposez de la logistique et des forces de production nécessaires pour mener à bien ce projet ? Est-ce qu’il répond à une concurrence ou une demande du marché ? Au final, qu’apporte cette nouveauté au client, etc.

À travers cette norme, une PME comme Legal Suite valorise également son personnel hors fonctions techniques et ingénieurs. Car la norme IAS 38 prend en compte le rôle des profils métiers, en l’occurrence chez Legal Suite des juristes spécialisés (contrats, droit des sociétés, brevets…) qui interviennent dans la conception des nouveaux modules.

Les nouvelles versions de modules en profitent

La nouvelle version du module LS Sociétés de la Legal Suite, lancée en 2007, a été la première à bénéficier de cette nouvelle approche. Très attendu par les clients grands comptes, ce module s’enrichit de nombreuses nouveautés (télé déclaration DGE, organigramme étendu à toutes les participations détenues par le groupe, etc.).

« Ce nouveau développement est passé au crible de la norme IAS 38 et le test a été concluant : il s’est bien adapté à cette logique de gestion par cycle qui nous contraint à ce que chaque fonctionnalité trouve sa justification dans les critères édictés par la norme », confirme Thierry Mallat, DGA Technologies de Legal Suite. « Cette norme IAS 38 oblige à un certain formalisme, à plus d’exigence, avec la nécessité de produire de nombreux documents. Nous l’avons choisie non pas dans un but financier mais dans le cadre d’une démarche de bonne pratique, proche de celle exigée par la norme qualité ISO 9001 »

L’éditeur, Legal Suite SAS, connaît une véritable success story. Il compte aujourd’hui plus de 12 500 utilisateurs, 55 % des groupes du CAC 40 et plus de 200 références présentes dans tous les secteurs économiques, en France comme à l’international.

À propos de LEGAL SUITE.
LEGAL SUITE compte à ce jour plus de 200 références tous secteurs confondus, plus de 350 projets et 12.500 utilisateurs à travers le monde. Après l’installation de LEGAL SUITE au Canada début 2006, LEGAL SUITE Belgium a vu le jour au printemps 2007, à Bruxelles.

www.legal-suite.com

Lundi 14 Avril 2008



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