Je salue bien évidemment ces initiatives, qui ne sont pour l’heure qu’à l’état de projet, mais qui j’espère se transformeront très prochainement en réalité. Il est vrai, comme l’indiquent Les Echos d’aujourd’hui, que moins de 10% des transmissions d’entreprises sont familiales en France, contre 58% en Allemagne. Cependant, ces chiffres trouvent-t-ils leur raison d’être dans les seules lourdeurs fiscales françaises ?
Je ne le crois pas. Reprendre une entreprise n’est pas qu’une affaire de transmission à un héritier comme je l’indiquais dans mon précédent billet. Reprendre participe d’un désir et nécessite des qualités (autonomie, intuition, pragmatisme, écoute, capacité de travail, résistance au stress, etc.) qui ne se transmettent pas nécessairement de père en fils. En complément de l’expérience opérationnelle et managériale et des compétences métier et sectorielle – ce qui n’est déjà pas rien ! -, il faut « être » entrepreneur....
suite : www.pascal-houillon.com/houillon/2008/03/reprise-des-all.html
Je ne le crois pas. Reprendre une entreprise n’est pas qu’une affaire de transmission à un héritier comme je l’indiquais dans mon précédent billet. Reprendre participe d’un désir et nécessite des qualités (autonomie, intuition, pragmatisme, écoute, capacité de travail, résistance au stress, etc.) qui ne se transmettent pas nécessairement de père en fils. En complément de l’expérience opérationnelle et managériale et des compétences métier et sectorielle – ce qui n’est déjà pas rien ! -, il faut « être » entrepreneur....
suite : www.pascal-houillon.com/houillon/2008/03/reprise-des-all.html