Vous trouverez ci-dessous une étude mondiale S&P, couvrant les 2.000 entreprises non-financières publiques et privées (notées ou non) ayant réalisé le plus de dépenses d'investissement en dollars entre 2003 et 2013. L'échantillon est donc fixe en taille, et d'une ampleur permettant de dégager des tendances mondiales, nationales et sectorielles (cf. graphique 73).
En dépit de bilans très solides, les 2000 premières entreprises au monde par les dépenses d'investissement jouent la sécurité et accumulent les liquidités (4500 milliards de dollars).
Les dépenses d'investissement ont baissé de 1% en termes réels en 2013, et nous prévoyons une baisse de 0,5% en 2014. Selon les indications actuelles, la baisse pourrait atteindre 3% en 2015, et 2% en 2016 (cf. graphique 4). Divers facteurs induisent ce phénomène, tels des chiffres d'affaires en croissance faible ou négative, le recul du crédit bancaire et certaines tendances sectorielles.
Dans les pays émergents, les dépenses d'investissement ont chuté de 4% en 2013 et nous prévoyons une baisse comparable en 2014. Ce phénomène touche les différentes régions du monde, y compris les BRICs, dont la Chine (cf. graphique 31). Après une décennie de croissance, cela signale une possible inversion de tendance, davantage tributaire des économies développées où la croissance est faible (cf graphique 23). En Europe, la croissance des dépenses d'investissement a été modeste en 2013 mais a mieux résisté que d'autres régions. Nous y prévoyons +1% pour 2014.
Au niveau sectoriel (cf. graphique 8), nous observons un ralentissement des dépenses d'investissement dans le secteur de l'énergie et d'importantes réductions du côté des entreprises métallurgiques et minières. Ces secteurs représentaient malgré tout 42% de l'ensemble en 2013. Fait encourageant, nous attendons une croissance dynamique des dépenses d'investissements des secteurs des technologies de l'information, de la santé et des télécoms. En excluant les secteurs de l'énergie et des matériaux, les dépenses d'investissement augmenterait de 2,6% en 2014.
Parmi les 60 entreprises ayant le plus investi en 2013 : Total, EDF et GDF Suez (cf tableau 2)
Sources :
- S&P Capital IQ pour les données financières des entreprises et les ajustement de devises.
- FMI (World Economic Outlook) pour les données relatives à l'inflation
- S&P Ratings Services, pour son analyse, a calculé les taux de croissance, les ratios et les conversions en termes réels
Standard & Poor’s Ratings Services
standardandpoors.com
Téléchargez ci-dessous l’étude (PDF 30 pages en anglais)
En dépit de bilans très solides, les 2000 premières entreprises au monde par les dépenses d'investissement jouent la sécurité et accumulent les liquidités (4500 milliards de dollars).
Les dépenses d'investissement ont baissé de 1% en termes réels en 2013, et nous prévoyons une baisse de 0,5% en 2014. Selon les indications actuelles, la baisse pourrait atteindre 3% en 2015, et 2% en 2016 (cf. graphique 4). Divers facteurs induisent ce phénomène, tels des chiffres d'affaires en croissance faible ou négative, le recul du crédit bancaire et certaines tendances sectorielles.
Dans les pays émergents, les dépenses d'investissement ont chuté de 4% en 2013 et nous prévoyons une baisse comparable en 2014. Ce phénomène touche les différentes régions du monde, y compris les BRICs, dont la Chine (cf. graphique 31). Après une décennie de croissance, cela signale une possible inversion de tendance, davantage tributaire des économies développées où la croissance est faible (cf graphique 23). En Europe, la croissance des dépenses d'investissement a été modeste en 2013 mais a mieux résisté que d'autres régions. Nous y prévoyons +1% pour 2014.
Au niveau sectoriel (cf. graphique 8), nous observons un ralentissement des dépenses d'investissement dans le secteur de l'énergie et d'importantes réductions du côté des entreprises métallurgiques et minières. Ces secteurs représentaient malgré tout 42% de l'ensemble en 2013. Fait encourageant, nous attendons une croissance dynamique des dépenses d'investissements des secteurs des technologies de l'information, de la santé et des télécoms. En excluant les secteurs de l'énergie et des matériaux, les dépenses d'investissement augmenterait de 2,6% en 2014.
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