La dégradation continue du sentiment économique, moyenne pondérée du climat des affaires et du moral des ménages, la persistance d’une volatilité historique sur les actions autour de 60 %, une prime également historique sur l’or -seule matière première à ne pas chuter-, des spreads de taux anormalement élevés sur les obligations privées et sur le marché interbancaire pourraient être autant d’arguments pour continuer de fuir les actions. En réalité, le passé, 1993 en Europe ou 1995 aux Etats-Unis, révèle que les actions remontent de 6 mois à 1 an avant l’économie souvent par contagion avec les obligations, grâce à la baisse des taux longs induite par la récession. C’est notre scénario pour 2009 avec toujours le pétrole dans le rôle des taux longs.
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