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SwissLife Banque Privée présente les résultats du 1er Observatoire de la banque privée en France

Avec la mise en place de cet Observatoire inédit, SwissLife Banque Privée compte évaluer la perception de cette activité en France et mieux connaître les attentes des utilisateurs pour analyser et anticiper les tendances d’un métier assez méconnu et pourtant fortement impacté par l’actualité politique.


L’étude de cette 1ère édition a été confiée à l’Institut OpinionWay. Une trentaine de questions ont été posées du 20 au 24 février à un échantillon représentatif de français appartenant au Top 5 des foyers en termes de revenus (revenus annuels nets supérieurs à 72 000 euros). Objectif ? Brosser le paysage de la banque privée française au travers de la perception et de l’aspiration de ses utilisateurs réels ou potentiels : quelle banque, pour quels usages et services, selon quelles modalités ?

L’étude s’intéresse également à des aspects d’appréciation : ainsi la banque privée est jugée par les personnes non clientes comme élitiste, chère et compétente, alors qu’elle est jugée d’abord compétente (puis élitiste et chère) par ses clients.

Cette étude sera reconduite tous les ans, de façon à mesurer les évolutions et assortie d’une question d’actualité variable. Pour cette 1ère édition, le baromètre a sondé les personnes interrogées sur la fiscalité des hauts revenus. Sans surprise l’échantillon a jugé la fiscalité excessive à 76% (confiscatoire même à 35%), considérant néanmoins la taxation à 75% comme mesure avant tout symbolique et légitime dans le contexte actuel (49% des répondants).

Points saillants de la 1ère édition de l’Observatoire de la Banque Privée

· Image de l’activité : « Le secteur de la banque privée a intérêt à mieux communiquer sur ses activités. Son image reste portée par le vestige de pratiques ayant défrayé autrefois la chronique » analyse Tanguy Polet, Directeur Général de SwissLife Banque Privée. Ce constat s’impose au vu de l’appréciation portée sur ses activités. 42% des personnes interrogées considèrent que le rôle des banques privées en France est plutôt d’inciter à la fuite des capitaux à l’étranger.
Seuls 17% des personnes interrogées estiment qu’elles contribuent à faciliter leur rapatriement.

« Comme tous les intermédiaires (avocats, notaires, conseillers en gestion de patrimoine…),
la banque privée se doit de déclarer aux autorités tout soupçon de blanchiment (y compris fiscal) sous peine de sanctions pénales. Ce qui ne veut pas dire qu’une banque privée ne peut pas assister son client dans sa décision d’exil fiscal. Ce type de décision reste personnelle » ajoute Tanguy Polet.

· Banque privée vs banque de détail : 61% des personnes interrogées jugent que la banque privée délivre à ses clients la meilleure assistance en matière d’organisation patrimoniale et fiscale, 59% jugent qu’elle offre la meilleure qualité de service, 56% jugent qu’elle propose la meilleure offre de produits.

« Si les « hauts revenus » souhaitent venir à la banque privée, c’est pour y trouver d’abord une performance financière élevée, du conseil patrimonial et enfin un service personnalisé. Tendance qui s’inverse lorsqu’ils deviennent clients. Les répondants jugent que la banque privée délivre une qualité de service sans comparaison possible avec les prestations des banques de détail. C’est bien ce qui caractérise notre modèle » se félicite Tanguy Polet.

· Qualité de la relation client/banquier privé : 32% des clients de banques privées estiment avoir une relation banale ou distante avec leur conseiller. « C’est un point d’étonnement et aussi un axe de vigilance. Ces perceptions ne font pas du bien au secteur. Il existe dans chaque établissement une zone grise de clients « pas assez rentables » pour se voir offrir tous les services mais suffisamment rentables pour les conserver. Il faut que le mandat soit clair et qu’une offre adaptée soit construite. Une sorte de prêt-à-porter sur mesure » estime Tanguy Polet.

Tanguy Polet conclut : « dans le monde d'aujourd'hui, toujours plus complexe en termes de fiscalité, de réglementation, de droit matrimonial ou successoral, la banque privée doit montrer toute la valeur de ses expertises. Son essence est avant tout d’offrir un conseil global et une vison long terme de la vie patrimoniale pour bien gérer le patrimoine de son client ».

Bilan 2013 de l’activité de SwissLife Banque Privée : forte activité et résultats supérieurs aux prévisions
· 4,29 Milliards d’euros d’actifs sous gestion pour le compte de 5 000 clients privés (chiffres au 31/12 2013)
· Collecte totale de 250 Millions d’euros soutenue par les succès de la gestion de taux et les produits structurés
· Résultat net de 3,8 Millions d’euros supérieur au résultat budgété
· Une expertise en conservation d’actifs développée pour le compte de tiers et pour le compte du Groupe Swiss Life totalisant plus de 23 Milliards d’euros d’actifs.
· Une structuration de son système d’informations (Avaloq)
· Intégration par croissance externe d’une activité de gestion actions en stock-picking (Prigest).

Pour l’année 2014, SwissLife Banque Privée projette d’atteindre un résultat net en croissance de plus de 50%.

A propos de SwissLife Banque Privée - swisslifebanque.fr
SwissLife Banque Privée, filiale commune des groupes Swiss Life et VIEL & Cie, se positionne comme un acteur de référence de la Banque Privée en France. S’appuyant sur ses pôles d’expertises, l’ingénierie patrimoniale, la gestion d’actifs et le corporate finance, elle accompagne ses clients investisseurs privés, chefs d’entreprise et institutionnels dans l’élaboration de solutions personnalisées. Elle gère plus de 4 milliards d’euros d’actifs pour le compte de ses 5000 clients.

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Jeudi 3 Avril 2014




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