L'essor des identités réglementées dans l'UE
Au cours des dix dernières années, l’UE a accompli des progrès remarquables pour apporter une réponse aux enjeux de la vérification de l’identité dans l’espace numérique. La mise en œuvre des directives anti-blanchiment de capitaux, telles que la 4e et la 5e directive européenne sur la lutte contre le blanchiment d'argent (respectivement 4AMLD et 5AMLD), a ouvert la voie à l’intégration des identités réglementées.
Ces directives ont donné naissance au concept des méthodes d’identité régies par le règlement eIDAS (Electronic IDentification And Trust Services), qui inclut l’identification électronique nationale (eID) et les signatures numériques qualifiées (QES).
L’eiD nationale, qui est une identité réglementée, permet aux individus d’accéder à un large éventail de services en ligne et de transactions financières en fournissant une identité apportant des garanties optimales. Il s’agit d’une méthode sûre et normalisée permettant de prouver son identité. Elle bénéficie souvent de l’appui des autorités gouvernementales. Les signatures électroniques qualifiées (QES) sont des signatures électroniques juridiquement contraignantes qui garantissent l’authenticité et l’intégrité des documents numériques. Elles sont issues d’un certificat qualifié, qui constitue le deuxième type d’identité réglementée par l’eIDAS. Ces méthodes d’identité réglementée renforcent la sécurité, tout en simplifiant et rationalisant les processus d’intégration à distance des clients et des employés.
Les signatures et les certificats qualifiés : une solution adaptée pour favoriser l’adoption des identités réglementées
Malheureusement, rares sont les systèmes nationaux d’eiD efficaces au sein de l’UE et dans d’autres régions du monde. De nombreux États-nations peinent à mettre à profit les innovations du secteur privé. Pour les citoyens, cela se solde par des procédures qui se transforment en véritables parcours du combattant. En outre, les services numériques accessibles publiquement, essentiels pour encourager l’adoption par les citoyens, restent très insuffisants.
Dans la majorité des pays de l’UE, à l’exception des pays baltes et nordiques, les eiD nationaux ne sont pas suffisamment répandus. Par ailleurs, même lorsque ces eiD existent, ils sont en général proposés sous la forme de cartes d’identité physiques, contraignant leurs détenteurs à mémoriser un code d’accès. Cette situation constitue un obstacle supplémentaire à l’utilisation des eiD en ligne.
Les systèmes d’eID nationaux réservent souvent l’eID à leurs propres ressortissants. Cette restriction crée des obstacles supplémentaires pour l’offre de services transfrontaliers. En effet, les eID n’ont pas toujours les mêmes niveaux d’assurance et utilisent des technologies et des logiciels différents, tous régis par des réglementations nationales et non pas internationales.
Le certificat qualifié apparaît comme la meilleure solution pour les grandes entreprises devant gérer des clients (voire des employés) partout dans le monde, tout en préservant leur flexibilité et se conformant aux normes internationales. Pour les prestataires de services financiers, cette solution assujettie à des normes strictes et à une supervision rigoureuse est l’outil idéal pour réaliser leur transition vers l’ère numérique.
Relever le défi de la vérification d’identité à distance
La vérification d’identité à distance a longtemps été un obstacle de taille pour les organismes financiers souhaitant se mettre en conformité avec les réglementations du KYC (procédure réalisée par les entreprises pour vérifier l'identité de leurs clients). Les méthodes traditionnelles telles que les visites en présentiel et les documents papier, sont lourdes à mettre à œuvre et peu pratiques pour les clients. De plus, elles ne sont pas adaptées à un monde de plus en plus numérique. Les identités réglementées apportent une réponse élégante à ce problème.
Elles permettent aux organismes financiers de vérifier l’identité des clients de manière simple et sûre sans avoir besoin de les faire se déplacer. Cette approche simplifie les processus d’intégration, fluidifie le parcours client et permet aux organismes financiers de rester compétitifs à l’ère du numérique. De par leur conception, les identités réglementées sont conformes aux critères des autorités de contrôle. Les organismes financiers peuvent ainsi respecter plus facilement leurs obligations réglementaires.
Conçues pour être en conformité avec les exigences des autorités de surveillance
L’un des avantages majeurs des identités réglementées est qu’elles sont conçues dans une optique de conformité. Les autorités de surveillance du secteur financier, telles que les banques centrales et les régulateurs financiers, sont de plus en plus nombreuses à exiger des processus de vérification d’identité rigoureux afin de prévenir le blanchiment de capitaux, la fraude et les autres activités illicites. Les identités réglementées sont en parfaite adéquation avec ces exigences réglementaires.
Les organismes financiers adoptant les identités réglementées renforcent leurs propres mesures de sécurité, tout en contribuant aux objectifs généraux de la réglementation financière. Les régulateurs peuvent aborder la supervision du secteur financier avec plus de confiance lorsque les organismes utilisent des méthodes de vérification d’identité robustes. Il se crée ainsi un cercle vertueux propice à la confiance et à la transparence dans le secteur financier.
Protection des données à caractère personnel
Les violations de données et l’usurpation d’identité sont désormais monnaie courante : la protection des données à caractère personnel est donc primordiale. Les identités réglementées mettent l’accent sur l’importance des dispositifs de protection des informations sensibles des clients. Les identités réglementées intègrent dès le départ des mesures strictes de protection des données, garantissant un traitement des données des clients offrant un niveau maximal de sécurité et de confidentialité.
Une sécurité de l’information normalisée
Les identités réglementées sont régies par des normes établies, qui sont un cachet de fiabilité aux yeux des organismes financiers. Ces normes garantissent l’interopérabilité et la compatibilité des méthodes de vérification de l’identité dans tous les différents systèmes et plateformes. Les organismes financiers peuvent considérer comme sûres la cohérence et la fiabilité des identités réglementées, qui réduisent ainsi le risque de fraude et d’erreurs dans leurs opérations.
Une adoption nécessaire
Alors que le secteur poursuit sa transformation numérique, les identités réglementées s’apprêtent à jouer un rôle majeur en tant que garantes de la confiance et de la sécurité, tant pour les organismes que pour les clients. L’adoption de cette technologie n’est pas une simple éventualité : c’est devenu une nécessité dans un monde de plus en plus interconnecté et dominé par le numérique.
Au cours des dix dernières années, l’UE a accompli des progrès remarquables pour apporter une réponse aux enjeux de la vérification de l’identité dans l’espace numérique. La mise en œuvre des directives anti-blanchiment de capitaux, telles que la 4e et la 5e directive européenne sur la lutte contre le blanchiment d'argent (respectivement 4AMLD et 5AMLD), a ouvert la voie à l’intégration des identités réglementées.
Ces directives ont donné naissance au concept des méthodes d’identité régies par le règlement eIDAS (Electronic IDentification And Trust Services), qui inclut l’identification électronique nationale (eID) et les signatures numériques qualifiées (QES).
L’eiD nationale, qui est une identité réglementée, permet aux individus d’accéder à un large éventail de services en ligne et de transactions financières en fournissant une identité apportant des garanties optimales. Il s’agit d’une méthode sûre et normalisée permettant de prouver son identité. Elle bénéficie souvent de l’appui des autorités gouvernementales. Les signatures électroniques qualifiées (QES) sont des signatures électroniques juridiquement contraignantes qui garantissent l’authenticité et l’intégrité des documents numériques. Elles sont issues d’un certificat qualifié, qui constitue le deuxième type d’identité réglementée par l’eIDAS. Ces méthodes d’identité réglementée renforcent la sécurité, tout en simplifiant et rationalisant les processus d’intégration à distance des clients et des employés.
Les signatures et les certificats qualifiés : une solution adaptée pour favoriser l’adoption des identités réglementées
Malheureusement, rares sont les systèmes nationaux d’eiD efficaces au sein de l’UE et dans d’autres régions du monde. De nombreux États-nations peinent à mettre à profit les innovations du secteur privé. Pour les citoyens, cela se solde par des procédures qui se transforment en véritables parcours du combattant. En outre, les services numériques accessibles publiquement, essentiels pour encourager l’adoption par les citoyens, restent très insuffisants.
Dans la majorité des pays de l’UE, à l’exception des pays baltes et nordiques, les eiD nationaux ne sont pas suffisamment répandus. Par ailleurs, même lorsque ces eiD existent, ils sont en général proposés sous la forme de cartes d’identité physiques, contraignant leurs détenteurs à mémoriser un code d’accès. Cette situation constitue un obstacle supplémentaire à l’utilisation des eiD en ligne.
Les systèmes d’eID nationaux réservent souvent l’eID à leurs propres ressortissants. Cette restriction crée des obstacles supplémentaires pour l’offre de services transfrontaliers. En effet, les eID n’ont pas toujours les mêmes niveaux d’assurance et utilisent des technologies et des logiciels différents, tous régis par des réglementations nationales et non pas internationales.
Le certificat qualifié apparaît comme la meilleure solution pour les grandes entreprises devant gérer des clients (voire des employés) partout dans le monde, tout en préservant leur flexibilité et se conformant aux normes internationales. Pour les prestataires de services financiers, cette solution assujettie à des normes strictes et à une supervision rigoureuse est l’outil idéal pour réaliser leur transition vers l’ère numérique.
Relever le défi de la vérification d’identité à distance
La vérification d’identité à distance a longtemps été un obstacle de taille pour les organismes financiers souhaitant se mettre en conformité avec les réglementations du KYC (procédure réalisée par les entreprises pour vérifier l'identité de leurs clients). Les méthodes traditionnelles telles que les visites en présentiel et les documents papier, sont lourdes à mettre à œuvre et peu pratiques pour les clients. De plus, elles ne sont pas adaptées à un monde de plus en plus numérique. Les identités réglementées apportent une réponse élégante à ce problème.
Elles permettent aux organismes financiers de vérifier l’identité des clients de manière simple et sûre sans avoir besoin de les faire se déplacer. Cette approche simplifie les processus d’intégration, fluidifie le parcours client et permet aux organismes financiers de rester compétitifs à l’ère du numérique. De par leur conception, les identités réglementées sont conformes aux critères des autorités de contrôle. Les organismes financiers peuvent ainsi respecter plus facilement leurs obligations réglementaires.
Conçues pour être en conformité avec les exigences des autorités de surveillance
L’un des avantages majeurs des identités réglementées est qu’elles sont conçues dans une optique de conformité. Les autorités de surveillance du secteur financier, telles que les banques centrales et les régulateurs financiers, sont de plus en plus nombreuses à exiger des processus de vérification d’identité rigoureux afin de prévenir le blanchiment de capitaux, la fraude et les autres activités illicites. Les identités réglementées sont en parfaite adéquation avec ces exigences réglementaires.
Les organismes financiers adoptant les identités réglementées renforcent leurs propres mesures de sécurité, tout en contribuant aux objectifs généraux de la réglementation financière. Les régulateurs peuvent aborder la supervision du secteur financier avec plus de confiance lorsque les organismes utilisent des méthodes de vérification d’identité robustes. Il se crée ainsi un cercle vertueux propice à la confiance et à la transparence dans le secteur financier.
Protection des données à caractère personnel
Les violations de données et l’usurpation d’identité sont désormais monnaie courante : la protection des données à caractère personnel est donc primordiale. Les identités réglementées mettent l’accent sur l’importance des dispositifs de protection des informations sensibles des clients. Les identités réglementées intègrent dès le départ des mesures strictes de protection des données, garantissant un traitement des données des clients offrant un niveau maximal de sécurité et de confidentialité.
Une sécurité de l’information normalisée
Les identités réglementées sont régies par des normes établies, qui sont un cachet de fiabilité aux yeux des organismes financiers. Ces normes garantissent l’interopérabilité et la compatibilité des méthodes de vérification de l’identité dans tous les différents systèmes et plateformes. Les organismes financiers peuvent considérer comme sûres la cohérence et la fiabilité des identités réglementées, qui réduisent ainsi le risque de fraude et d’erreurs dans leurs opérations.
Une adoption nécessaire
Alors que le secteur poursuit sa transformation numérique, les identités réglementées s’apprêtent à jouer un rôle majeur en tant que garantes de la confiance et de la sécurité, tant pour les organismes que pour les clients. L’adoption de cette technologie n’est pas une simple éventualité : c’est devenu une nécessité dans un monde de plus en plus interconnecté et dominé par le numérique.
A propos de Philip Hallenborg
Philip Hallenborg - fondateur et PDG de ZealiD - est un entrepreneur tech impliqué dans l'identité numérique, les services de confiance et la fintech.
Avant ZealiD, Philip a été Chief Commercial officer et investisseur précoce de Now Interact, et Country Director de TradeDoubler. Il a également travaillé pour Dell EMC. Philip est titulaire d'un MBA de l'INSEAD, d'un LLM de l'université d'Uppsala et d'un BSc en administration des affaires de l'université de Göteborg.
A propos de ZealiD
ZealiD, premier émetteur suédois de certificats et de signatures qualifiés eIDAS sur la liste de confiance de l'UE. ZealiD se présente comme la seule application mondiale qui permet de s'enregistrer en 3 minutes et en 24 langues pour obtenir une identité et une signature qualifiées à l'échelle de l'UE.
ZealiD compte parmi ses clients ABN Amro, Novum Bank et Cedarquist et est partenaire de DocuSign, Adobe Sign, Foxit, Evidos et Teamviewer.
ZealiD
Philip Hallenborg - fondateur et PDG de ZealiD - est un entrepreneur tech impliqué dans l'identité numérique, les services de confiance et la fintech.
Avant ZealiD, Philip a été Chief Commercial officer et investisseur précoce de Now Interact, et Country Director de TradeDoubler. Il a également travaillé pour Dell EMC. Philip est titulaire d'un MBA de l'INSEAD, d'un LLM de l'université d'Uppsala et d'un BSc en administration des affaires de l'université de Göteborg.
A propos de ZealiD
ZealiD, premier émetteur suédois de certificats et de signatures qualifiés eIDAS sur la liste de confiance de l'UE. ZealiD se présente comme la seule application mondiale qui permet de s'enregistrer en 3 minutes et en 24 langues pour obtenir une identité et une signature qualifiées à l'échelle de l'UE.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est une publicité qui n'a pas été rédigée par Finyear.com.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc...) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement.
The financial and/or economic opinions presented by Finyear.com contributors (experts, lawyers, observers, bloggers, etc.) are their own and may change without the need to update the content. The articles presented do not constitute an invitation to make any investment.
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