Voilà qui vous amènerait, sans doute, dans un état proche de l’apoplexie.
Mais alors, pourquoi tolère-t-on ces manquements dans les bureaux ? Pourquoi accepte-t-on que les réunions démarrent en retard par la faute d’un seul, régulièrement fâché avec sa montre ? Pourquoi supporte-t-on des participants qui n’ont pas ou ont mal préparé leur sujet ? Pourquoi ferme-t-on les yeux sur ceux qui consultent leur Smartphone alors qu’il se dit des choses importantes autour de la table ? Pourquoi, par ailleurs, y a-t-il des gens dans les bureaux qui, lorsqu’ils arrivent, le matin, n’ont pas la moindre idée de la façon dont ils occuperont leur journée ?
Depuis très longtemps s’opère une distinction entre cols bleus et cols blancs. Les cols bleus sont regardés un peu comme des auxiliaires des machines alors que les cols blancs sont supposés créatifs et entreprenants. Mais la réalité, c’est qu’ils sont, comme chacun dans l’entreprise, censé fournir, eux aussi, une production. Il n’est pas incompatible avec une organisation décentralisée, dans laquelle règne la confiance et l’empathie, que chacun fasse sa part de travail, de la façon la plus efficace possible.
Celui qui retarde de 10 minutes une réunion composée de gens généralement chers payés est un boulet ; celui qui prépare mal ses sujets, un saboteur ; et celui qui rate l’essentiel d’une réunion parce qu’il joue avec son Smartphone, un dilettante, tous qualitatifs qui ne riment pas avec efficacité.
Or, la contrepartie du salaire qui est versé aux uns et aux autres est le travail, qu’il s’agisse de production ou d’accessoire de la production, la production étant entendue ici comme l’ensemble des produits et services qu’une entreprise propose à ses clients.
Les ateliers sont organisés selon des normes de productivité précises et de plus en plus dans l’état d’esprit du Lean Management, qui allie frugalité et efficacité. Et pourquoi les bureaux n’adopteraient-ils pas des comportements identiques : frugalité et recherche d’efficacité personnelle ? Ils sont un lieu de travail aussi, comme les ateliers et non une enfilade de salons où l’on cause.
Parce que l’efficacité des cols blancs est beaucoup plus difficile à mesurer, parce qu’ils bénéficient de l’autonomie et de la confiance qui leur permet de travailler en toute liberté, ils doivent, en retour, faire preuve d’une grande conscience professionnelle.
C’est aux leaders de toujours de le leur rappeler, que ce soit dans l’exercice de leurs fâches quotidiennes où dans le respect des autres et de l’entreprise. Oui, même au XXIème siècle, le travail reste le travail.
Mais alors, pourquoi tolère-t-on ces manquements dans les bureaux ? Pourquoi accepte-t-on que les réunions démarrent en retard par la faute d’un seul, régulièrement fâché avec sa montre ? Pourquoi supporte-t-on des participants qui n’ont pas ou ont mal préparé leur sujet ? Pourquoi ferme-t-on les yeux sur ceux qui consultent leur Smartphone alors qu’il se dit des choses importantes autour de la table ? Pourquoi, par ailleurs, y a-t-il des gens dans les bureaux qui, lorsqu’ils arrivent, le matin, n’ont pas la moindre idée de la façon dont ils occuperont leur journée ?
Depuis très longtemps s’opère une distinction entre cols bleus et cols blancs. Les cols bleus sont regardés un peu comme des auxiliaires des machines alors que les cols blancs sont supposés créatifs et entreprenants. Mais la réalité, c’est qu’ils sont, comme chacun dans l’entreprise, censé fournir, eux aussi, une production. Il n’est pas incompatible avec une organisation décentralisée, dans laquelle règne la confiance et l’empathie, que chacun fasse sa part de travail, de la façon la plus efficace possible.
Celui qui retarde de 10 minutes une réunion composée de gens généralement chers payés est un boulet ; celui qui prépare mal ses sujets, un saboteur ; et celui qui rate l’essentiel d’une réunion parce qu’il joue avec son Smartphone, un dilettante, tous qualitatifs qui ne riment pas avec efficacité.
Or, la contrepartie du salaire qui est versé aux uns et aux autres est le travail, qu’il s’agisse de production ou d’accessoire de la production, la production étant entendue ici comme l’ensemble des produits et services qu’une entreprise propose à ses clients.
Les ateliers sont organisés selon des normes de productivité précises et de plus en plus dans l’état d’esprit du Lean Management, qui allie frugalité et efficacité. Et pourquoi les bureaux n’adopteraient-ils pas des comportements identiques : frugalité et recherche d’efficacité personnelle ? Ils sont un lieu de travail aussi, comme les ateliers et non une enfilade de salons où l’on cause.
Parce que l’efficacité des cols blancs est beaucoup plus difficile à mesurer, parce qu’ils bénéficient de l’autonomie et de la confiance qui leur permet de travailler en toute liberté, ils doivent, en retour, faire preuve d’une grande conscience professionnelle.
C’est aux leaders de toujours de le leur rappeler, que ce soit dans l’exercice de leurs fâches quotidiennes où dans le respect des autres et de l’entreprise. Oui, même au XXIème siècle, le travail reste le travail.
Direction financière et stratégique
Levée de fonds, introduction en bourse, fusion-acquisition
Agrément CIF N° F000131 - Listing Sponsor sur Alternext
88 bis, avenue Charles De Gaulle 92200 Neuilly-sur-Seine
Les médias du groupe Finyear
Lisez gratuitement :
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
La newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises de la finance d’entreprise et de la finance d'affaires.
Les 6 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The FinTecher
- The Blockchainer
- Le Capital Investisseur
Le magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour recevoir un avis de publication pour une ou plusieurs lettres
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
La newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises de la finance d’entreprise et de la finance d'affaires.
Les 6 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The FinTecher
- The Blockchainer
- Le Capital Investisseur
Le magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour recevoir un avis de publication pour une ou plusieurs lettres
Autres articles
-
Revolut serait sur le point de lancer son stablecoin ?
-
Nopillo, la startup d'optimisation fiscale qui a séduit Newfund, Side Capital et des BA, un peu connus...
-
IPEM Paris 2024 : 5500 participants au Palais des congrès
-
La fintech Lemonway annonce se préparer pour des opérations de build-up
-
Etude | La French tech, portée par l'IA, tire son épingle du jeu