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The Financial Year Coffee - 4 avril 2014 (maj de 13H30)

Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre chaque matin des commentaires sur les marchés, les actions, les devises et les matières premières ainsi que les deals du jour et les chiffres de l'économie. Vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux. Plusieurs mises à jour quotidiennes.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

13H30

BCE : un discours volontariste… mais sans acte

Le Commentaire de CMC Markets France.

Malgré quelques signes récents d’inflexion en faveur d’une politique plus accommodante, la Banque Centrale Européenne n’a pas annoncé de mesure concrète à l’occasion de sa réunion mensuelle, hier. Toutefois, le discours de Mario Draghi reste volontariste.

Les marchés boursiers n’ont pas particulièrement réagi à la « non-annonce » de la BCE, clôturant néanmoins en territoire positif (0,6% pour l’Eursotoxx50). Selon le « Sentiment Clients », baromètre du sentiment des clients de CMC Markets (plus de 45.000 dans le monde) et établi quotidiennement à partir de leurs positions réelles, l’orientation était très majoritairement vendeuse sur le Dow Jones américain (à 80%), tandis qu’aucune tendance franche ne se dessinait sur les indices européens.

Mario Draghi a décidé d’un statut quo sur les taux directeurs de la banque centrale, tandis qu’aucun dispositif monétaire non conventionnel n’a vu le jour. Pour autant, le discours du Gouverneur n’a pas été insignifiant et les expressions qu’il a pu employer donnent une tendance assez claire du positionnement de la BCE : le qualificatif « unanime » démontre que les membres du comité de la banque centrale sont dormais tous sur la même longueur d’onde quant à l’utilisation éventuelle d’instruments non conventionnels. Il s’agit là d’une avancée considérable, tant le déploiement de mesures exceptionnelles par la BCE a pu susciter le débat par le passé, se heurtant aux principes d’orthodoxie monétaire des dirigeants allemands.

Comme lors de ses discours précédents, Mario Draghi a également confirmé à plusieurs reprises que le faible niveau d’inflation et le cours élevé de l’euro face au dollar, restaient des préoccupations majeures pour la BCE. Il a d’ailleurs estimé que la baisse récente de l’inflation en zone euro provenait du secteur énergétique et de celui de l’alimentation. L’enjeu pour la banque centrale est de lutter contre la désinflation - la frontière avec la déflation est ténue, puisque l’inflation en zone euro n’avoisine que 0,5% - un environnement qui freine la reprise économique. Le marché du crédit, la consommation et les investissements patinent depuis de longs mois, pénalisant l’emploi et la croissance économique de l’union monétaire.

Les messages adressés par Mario Draghi sont plutôt positifs. Les marchés peuvent considérer qu’une nouvelle étape vient d’être franchie : les gouverneurs de la BCE parlent d’une seule et même voix, ce qui renforce la crédibilité de l’institution. En cas d’enlisement de l’inflation en zone euro, il ne fait plus aucun doute que la BCE agira. Un peu plus libérée des antagonismes liés aux volontés politiques nationales jusqu’ici bien divergentes, l’institution dispose désormais d’assez de marge de manœuvre pour mettre en place un dispositif d’assouplissement monétaire. Ce n’est plus qu’une question de temps… depuis quelques mois !

Par J. Danan, Head of Sales Trading de CMC Markets France

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9H30

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading little changed this morning despite strong German factory orders having been released before the market opened this morning indicating that Europe’s largest economy is off to a good start in 2014 and likely to accelerate further as 2014 progresses.
With yesterday’s ECB meeting basically turning out as expected and didn’t bring any major surprises all eyes are now on today’s US Non-Farm payroll figures later this afternoon.
After mostly better than expected US data over the past few weeks and strong ADP figures on Wednesday many expect a strong reading for today too which to a certain degree is already priced into stocks.
What the Fed is concerned neither a weak nor a strong reading is likely to have a real impact on monetary policies in the short term. Fed chief Yellen made it very clear in some of her recent speeches and press conferences that the unemployment rate alone is not the only decisive factor anymore what monetary policy is concerned instead she provided markets with strong hints that a first interest rate hike is likely for the first half of 2015.
However for shares today’s number is of great importance as a strong reading would certainly stir further optimism around the world that after an exceptional harsh winter the world’s biggest economy is once again accelerating which should over time also filter through to individual companies and be reflected in higher corporate earnings.

Thank you.
Kind regards,

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com

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9H00

Les marchés poursuivent leur progression après la BCE et en attendant l'emploi US

Marchés Actions : Sur les marchés actions, la séance de jeudi a été riche en évènements. Les investisseurs de la zone euro ont une nouvelle fois été confortés par les propos rassurants de l'actuel président de la BCE, Mario Draghi. Ce dernier a laissé entendre que l'institution était prête à utiliser tous les moyens à sa disposition pour contrer un risque de déflation en Europe. N'écartant pas la mise en place de mesures non conventionnelles, force est de constater que la BCE a plutôt porté les marchés par le discours ce jeudi que par l'acte en lui-même. Les opérateurs ont en effet été déçus de l'absence de mesures concrètes et du nouveau statu quo de l’institution. Le compte rendu de cette réunion a toutefois permis au CAC 40 de s'élancer une nouvelle fois sur un niveau record à la clôture à 4 449,33 points en hausse de 0,42%. Le Dax allemand a légèrement progressé de 0,06% à 9 628,82 points. Le FTSE de son côté a cédé 0,15% à 6 649,14 points.

L'élan d'optimisme s'est toutefois essoufflé par la suite outre-Atlantique. Les indices américains ont décroché à la suite de nouvelles publications mitigées: à la veille du rapport mensuel sur l'emploi, les inscriptions hebdomadaires aux allocations chômage ont augmenté de 326 000 nouvelles demandes, alors que les analystes en attendaient 317 000. L'indice ISM des services est également ressorti en dessous du consensus à 53,1 en mars, malgré une nette progression. Enfin le déficit commercial américain a augmenté de 7,7% en février, au plus haut depuis septembre dernier. Après les records enregistrés la veille, le S&P 500 a finalement perdu 0,11% à 1 888,77 points. Le Dow Jones est resté stable sur les 16 572,55 points, tandis que le Nasdaq a chuté de 0,91% sur les 4 237,74 points.

En Asie, après avoir atteint un pic de trois semaines, la Bourse de Tokyo a consolidé à la clôture. Faute de catalyseurs majeurs, les marchés asiatiques ont évolué dans le sillage des Bourses européennes et américaines. La perspective de prochaines mesures de soutien à la croissance de la Banque du Japon a toutefois limité les pertes ce vendredi : le Nikkei a ainsi terminé en baisse de 0,08% à 15 059,08 points. Le Topix, plus large, a cédé 0,11% à 1 215,45 points.

Ce vendredi, nous attendons les Bourses européennes et américaines sur une timide hausse à l’ouverture. Au cours de cette séance, tous les regards seront tournés vers la publication du rapport mensuel de l’emploi américain où les économistes anticipent en moyenne 200 000 créations de postes en mars.

Forex : Sur le marché des devises, les propos tenus par le président de la Banque centrale européenne ont fragilisé la monnaie unique face à ses principales contreparties. Ainsi, un euro se négocie ce matin proche de 1,37 dollar face au billet vert. Mario Draghi s’est dit prêt à faire le nécessaire et utiliser l’ensemble des instruments à sa disposition notamment l’assouplissement quantitatif afin d’éviter une période trop prolongée de faible inflation. L’inflation est tombée à 0,5% sur le mois de mars alors qu’elle s’affichait à 0,7% sur le mois de février. On notera également les bons chiffres du secteur privé en zone euro et aux Etats-Unis. Les entreprises du secteur privé de la zone euro ont en effet enregistré une belle performance sur le premier trimestre de l’année 2014 avec un indice PMI composite qui s’est établi à 53,1 sur le mois de mars. Un chiffre au-dessus de la barre des 50 points pour le neuvième mois consécutif, confortant une relance économique dans la zone. Outre-Atlantique, l’indice PMI Markit Composite atteint 55,7 sur la même période.

Pour cette fin de semaine, les marchés suivront de près les très attendus chiffres sur l’emploi aux Etats-Unis. Mardi, l’enquête ADP avait pour rappel dévoilée des chiffres en phase avec les attentes avec une création de 191 000 postes dans le secteur privé américain.

De son côté, la devise nippone reste stable face au billet vert pour se négocier proche de 103,82 yens mais parvient à s’apprécier face à la monnaie unique pour se traiter à 142,30 yens.

Matières premières : Au chapitre des matières premières, le WTI et le Brent évoluent en territoire positif ce matin. Le brut de référence américain engrange 0,23% à 100,52$, tout comme le Brent qui s’adjuge 0,12% à 106,28$. Alors que le Brent est proche d’accuser sa plus forte perte hebdomadaire depuis trois mois à cause de la perspective d’une réouverture des terminaux pétroliers libyens bloqués depuis plusieurs semaines, des tensions dans les discussions hier, couplées à un regain de tension entre la Russie et l’Ukraine ont provoqué un rebond. En effet l’accord annoncé cette semaine par les rebelles avec le gouvernement, permettant la réouverture du port situé dans la région Barqa a été démenti par le groupe Barak en charge de ces ports.

Du côté des métaux précieux, on évolue en ordre dispersé ce matin. L’or évolue proche de la neutralité en grappillant 0,04% à 1 287,20$ tandis que l’argent recule 0,08% à 19,83$. L’or se dirige vers une troisième semaine hebdomadaire, la plus longue série en territoire négatif depuis Septembre 2013. L’or est notamment victime de l’apaisement des tensions entre le Russie et l’Occident. Profitant de cette baisse des prix, les acheteurs d’or physique se positionnent notamment en Inde et en Chine, la Chine qui est devenue le plus gros pays consommateur d’or devant l’Inde l’année dernière. Néanmoins, le volume d’achat physique est encore trop faible pour réellement soutenir le cours du métal jaune. Le platine et le palladium reculent respectivement de 0,36% et 0,35% à 1 437,03$ et 785,95$. Hier a eu lieu une première confrontation devant les mineurs, entre les dirigeants de Lonmin Plc et le principal syndicat responsable de la grève en Afrique du Sud qui paralyse la production de platine depuis la fin du mois de Janvier. Cependant, à l’heure actuelle, aucun compromis n’a encore été trouvé.

L'équipe Saxo Banque
www.saxobanque.fr


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02 Avril 2014

Bourse : il existe encore des « anomalies » de marché aux États-Unis

Le point de vue de Diamant Bleu Gestion. Par Hugues LE MAIRE, Président de Diamant Bleu Canada, Co-fondateur de Diamant Bleu Gestion.

Après cinq années d’un rallye qui a atténué les stigmates de la crise financière, les actions américaines surfent sur des niveaux de cours jamais atteints. Ce constat peut-il détourner les investisseurs de Wall Street, où le potentiel global de valorisation des actifs semble désormais plus limité ? Quelques thèmes d’investissement spécifiques nous prouvent que la cote américaine propose encore des opportunités d’investissement…

Considérés dans leur globalité, les marchés américains sont déjà bien valorisés. Le niveau de valorisation moyen de l’indice S&P 500 pris dans son ensemble est proche de 20 fois les résultats quand celui du Stoxx 600 avoisine plus modestement 14. Soutenus par une croissance économique redevenue très robuste et des indicateurs structurels en voie d’amélioration, les indices boursiers américains ont engrangé des plus-values moyennes de 20% à 30%, rien que sur les douze derniers mois.

Après un tel rythme de progression, la tâche des investisseurs souhaitant se positionner sur les actions U.S. est probablement un peu plus ardue qu’il y a quelques mois. Non seulement parce que le mouvement haussier ne pourra plus être « unanime » : le cycle de relèvement des P/E a profité indistinctement à bon nombre de valeurs américaines. Désormais, ces dernières ne pourront plus compter autant sur ce levier-là pour progresser en bourse. Mais aussi parce que le calendrier du resserrement monétaire piloté par la Réserve Fédérale s’est précisé. Il faudra observer comment les marchés actions vont réagir à la fin de l’expansionnisme monétaire, un fidèle moteur haussier jusqu’ici alimenté par les achats d’actifs de la banque centrale. Voici pour la photographie d’ensemble.

À plus fine échelle, la situation est plus nuancée. On constate qu’il existe quelques catégories de valeurs qui accusent encore un vrai retard dans leur processus de rattrapage boursier. À la différence de la majorité de la cote américaine, ces authentiques cas d’investissement « value » sont restés à l’écart du rebond boursier des dernières années. Plutôt injustement, au regard de leurs perspectives fondamentales.

Trois thèmes d’investissement se révèlent être particulièrement attrayants. Le premier d’entre eux est celui des « terres rares », dont les sous-sols regorgent de ressources précieuses ou de matériaux prisés pour leurs propriétés spécifiques par les fabricants industriels. Le titre Molycorp Minerals en est un très bel exemple. Cette entreprise minière américaine est propriétaire du site de Mountain Pass en Californie, l’un des terrains les plus prolifiques au monde : Molycorp y extrait près d’une vingtaine d’éléments, métaux et oxydes très recherchés (Scandium, Gadolinium, Holmium…), utilisés comme composants dans la fabrication de nombreux appareils numériques, de batteries, d’instruments d’optique ou encore comme additif pour le raffinage du pétrole. Chahuté en bourse, notamment en raison de la volatilité dont fait preuve l’ensemble du secteur minier, le titre Molycorp fait quasiment figure de « penny stock » aujourd’hui. Pourtant le positionnement assez exclusif du groupe sur l’exploitation de ces ressources rares, qui permet d’alimenter une grande variété d’industries toujours plus gourmandes en nouveaux matériaux accompagnant l’innovation, pourrait assurer au titre un fort rebond boursier dans les prochaines années.

Deux autres thèmes prometteurs sont ceux des « infrastructures » et de « l’acier ». De nature cyclique, les projets d’équipement sont en train de se multiplier aux Etats-Unis à mesure que l’économie retrouve son dynamisme. Le redémarrage de la consommation des agents économiques s’accompagne de besoins infrastructurels, auxquels les agences fédérales et les entreprises privées doivent répondre. Cette impulsion ne se reflète pas encore dans le cours de bourse de titres comme General Electric (dont les départements GE Energy Infrastructure et GE Technology Infrastructure sont entièrement consacrés au développement infrastructurel), encore bien en deçà des niveaux de 2007.

Le secteur de l’aciérie est en proie à d’autres difficultés et l’industrie est jugée peu compétitive. Reste que les effets du niveau plus élevé de la croissance américaine en particulier, et mondiale en général, commencent à se faire sentir sur l’équation entre l’offre de la demande d’acier. Certains acteurs sont idéalement situés pour profiter de cette reprise. Les groupes AK Steel et US Steel sont par exemple de grands pourvoyeurs d’acier pour le secteur automobile. Un atout au moment où le marché automobile américain fait preuve d’un grand dynamisme, avec des consommateurs désormais dans de meilleures dispositions pour renouveler le parc automobile. Oui, certaines actions américaines sont encore bonnes à acheter…

Corporate Finance : commentaires du jour

(NOUVEAU) L'actu Corporate Finance par FinActu :

- Enovacom accueille Extens à son capital 04/04/2014
- Synercom accompagne la reprise des Meubles Hay 04/04/2014
- Etude Altius Associates: new study exposes shortcomings of co-investment portfolios 03/04/2014
- Alstom cède à Triton son activité d’équipements auxiliaires vapeur pour un montant d’environ 730 M€ 03/04/2014
- HF Company : Entrée en négociation exclusive avec Demeter Partners et BNP Paribas Développement pour la cession du pôle Confortique 03/04/2014
- Innoveox annonce l’enregistrement de son document de base dans le cadre de son introduction en Bourse 03/04/2014
- Large succès de l’introduction en bourse de Genomic Vision sur Euronext à Paris qui lève 23M€ 03/04/2014
- SP3H annonce une levée de fonds de 2,5 M€ avec Truffle Capital 03/04/2014
- SII acquiert le groupe allemand Rücker Aerospace 03/04/2014
- Custom Solutions annonce ce jour une prise de participation majoritaire au capital de la société finlandaise Lojaali 03/04/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr

FinActu est notre partenaire éditorial pour :
- la lettre mensuelle LE CAPITAL INVESTISSEUR
- et la rubrique News | Fusions-acquisitions, levées de fonds, LBO, MBO

Marchés : chiffres du jour

Le volume des ventes du commerce de détail en hausse de 0,4% dans la zone euro

Hausse de 0,5% dans l’UE28. Février 2014 par rapport à janvier 2014.

En février 2014 par rapport à janvier 2014, le volume des ventes du commerce de détail corrigé des variations saisonnières a augmenté de 0,4% dans la zone euro (ZE18) et de 0,5% dans l’UE28, selon les estimations d'Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne. En janvier, le commerce de détail avait crû respectivement de 1,0% et 0,6%.

Coûts de la main d’œuvre dans l’UE28

Les coûts horaires de la main d’œuvre compris en 2013 entre 3,7€ et 40,1€ selon les États membres

En 2013, les coûts horaires de la main d’œuvre dans l’ensemble de l’économie (hors agriculture et administration publique) ont été estimés en moyenne à 23,7€ dans l’UE28 et à 28,4€ dans la zone euro (ZE17).

Toutefois, ces moyennes masquent des écarts importants entre les États membres de l’UE, les coûts horaires de la main d’œuvre les plus faibles ayant été enregistrés en Bulgarie (3,7€), en Roumanie (4,6€), en Lituanie (6,2€) ainsi qu’en Lettonie (6,3€), et les plus élevés en Suède (40,1€), au Danemark (38,4€), en Belgique (38,0€), au Luxembourg (35,7€) et en France (34,3€).

Dans l’économie marchande, les coûts horaires de la main d’œuvre les plus élevés ont été observés dans l’industrie (24,6€ dans l’UE28 et 31,0€ dans la zone euro), suivie des services (respectivement 23,9€ et 28,0€) et du secteur de la construction (21,0€ et 24,5€). Dans l’économie principalement non-marchande (hors administration publique), les coûts horaires de la main d’œuvre se sont établis à 23,2€ dans l’UE28 et à 27,7€ dans la zone euro.

Les coûts de la main-d'œuvre comprennent les salaires et traitements auxquels s'ajoutent les coûts non salariaux tels que les cotisations sociales à la charge des employeurs. La part des coûts non-salariaux dans l’ensemble de l’économie a atteint 23,7% dans l’UE28 et 25,9% dans la zone euro, variant de 8,0% à Malte à 33,3% en Suède.

Ces estimations préliminaires pour 2013, publiées par Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne, couvrent les entreprises de 10 salariés et plus et sont basées sur l’enquête 2008 sur le coût de la main d’œuvre ainsi que sur l’indice du coût de la main d’œuvre4.

Croissance des coûts de la main d’œuvre
Entre 2008 et 2013, les coûts horaires de la main d’œuvre dans l’ensemble de l’économie, exprimés en euros, ont augmenté de 10,2% dans l’UE28 et de 10,4% dans la zone euro.
Au sein de la zone euro, les hausses les plus marquées ont été enregistrées en Autriche (+18,9%), en Slovaquie (+17,0%) ainsi qu’en Finlande (+15,9%). Des baisses ont été observées en Grèce (-18,6%) et au Portugal (-5,1%).
S’agissant des États membres situés en dehors de la zone euro, les augmentations les plus marquées entre 2008 et 2013 des coûts horaires de la main d’œuvre dans l’ensemble de l’économie, exprimés en monnaie nationale, ont été observées en Bulgarie (+44,1%) et en Roumanie (+32,8%), et les plus faibles en Croatie (+0,7%), en Lituanie (+5,0%), au Royaume-Uni (+6,3%) et en Lettonie (+6,9%). Lorsque l’on compare ces estimations dans le temps, il convient de noter que les données des États membres n’appartenant pas à la zone euro sont influencées, lorsqu’elles sont exprimées en euros, par les variations des taux de change.

EUROSTAT
ec.europa.eu/eurostat

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 4 Avril 2014




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