• Je suis convaincu que la moitié, au moins, de l’écart entre les entrepreneurs qui réussissent et ceux qui échouent est simplement dû à la persévérance.

• Mon travail n’est pas d’être souple avec les gens ; il est de les rendre meilleurs.

• Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. Quelque part, ils savent ce que vous voulez vraiment devenir.

• En avant ! Inventons demain au lieu de ressasser ce qui s’est passé hier.

• Si aujourd’hui était le dernier jour de votre vie, voudriez-vous vraiment faire ce que vous êtes en train de faire ?

• Le travail remplit une grande partie de votre vie. Le seul moyen d’en être satisfait est d’être convaincu que c’est un travail exaltant. Et le seul moyen de le trouver exaltant est d’aimer profondément ce que vous faites. Si ce n’est pas le cas, cherchez autre chose et ne renoncez jamais à votre quête. Comme pour tous les coups de cœur, vous le devinerez lorsque vous l’aurez trouvé.

• La vie est faite d’expériences créées et vécues qui méritent d’être partagées.

• Il ne nous est pas donné tant d’occasions de faire des choses. Chacune doit donc être accomplie dans l’excellence. Parce que c’est notre vie, que la vie est brève et qu’elle se termine par la mort, il vaut mieux être bon dans ce qu’on fait ; il faut que cela en vaille vraiment la peine.

• Soyez intransigeant avec la qualité. N’acceptez pas que certains renâclent alors que nous vivons dans un environnement qui exige l’excellence.

• Voilà les fous, les désaxés, les rebelles, les fauteurs de troubles…ceux qui voient les choses différemment, qui enfreignent les règles. Vous pouvez les dénigrer, être en désaccord avec eux, les sanctifier ou, au contraire, les vilipender, mais vous ne pouvez pas les ignorer car ils sont ceux qui provoquent les changements. Ils font évoluer l’humanité et bien que certains les prennent pour des aliénés mentaux, ils sont souvent des génies parce que ceux qui sont assez fous pour croire qu’ils peuvent changer le monde sont généralement ceux qui le changent effectivement.

• Quelquefois, lorsque vous innovez, vous faites des erreurs. Dans ce cas, mieux vaut le reconnaître rapidement et se lancer dans d’autres innovations.

• Vous ne pouvez pas simplement demander à un client ce qu’il veut et le lui donner car, une fois que vous serez prêt, il voudra autre chose.

• Mon business model est « The Beatles ». Voilà 4 types qui tentaient de contrôler mutuellement leurs mauvais penchants et qui, au final, s’équilibraient parfaitement. Résultat : L’ensemble était bien meilleur que la simple addition de chacun. C’est ainsi que je vois l’entreprise. Ses grandes réalisations ne sont jamais dues à une personne mais à une équipe.

• La créativité, c’est simplement connecter des choses entre elles. Quand vous demandez à des gens créatifs comment ils ont imaginé telle ou telle chose, ils sont souvent gênés pour vous répondre. Ils ont simplement vu cette chose et, après réflexion, elle leur est apparue évidente.

• Le design n’est pas seulement esthétique ou sensoriel. Il doit aussi inclure la façon dont l’objet fonctionne.

• Si vous êtes un ébéniste réalisant une belle commode, vous ne mettez pas une feuille de contreplaqué à l’arrière, même si elle est contre le mur et que personne ne le voit. Vous utiliserez, comme pour les 3 autres côtés, des matériaux nobles. Si vous voulez bien dormir la nuit, l’esthétique et la qualité doivent être de rigueur.

Steve Jobs n’était, certes pas, un modèle d’intelligence sociale. Son leadership s’est plutôt forgé sur l’exigence dans sa quête de la perfection. Mais il est l’archétype de l’entrepreneur, privilégiant la recherche des usages et des produits du futur aux modèles économiques formatés. Ses considérations sur la vie et l’entreprise n’en ont que plus de valeur.

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