Corporate Finance, DeFi, Blockchain, Web3 News
Corporate Finance, DeFi, Blockchain News

Pour 88% des entreprises, la sécurisation des données lors des opérations de fusions-acquisitions est essentielle

Selon une enquête récente menée par Drooms, leader européen de la dataroom électronique, auprès d’un panel d’experts en fusions-acquisitions et de dirigeants d’entreprises, 88% d’entre eux considèrent que la protection des données lors des phases de due diligence des opérations de fusions-acquisitions revêt une importance majeure.


Par ailleurs, 58% des personnes interrogées considère que le recours aux datarooms électroniques – accessibles en mode Cloud – est « très important », chiffre qui souligne encore davantage la nécessité d’une sécurisation optimale des solutions proposées par le marché.

L’augmentation des dépenses de sécurité informatique, une tendance qui se confirme en Europe

L’enquête souligne également que plus de 40% des personnes interrogées envisagent une hausse de leurs investissements dans des solutions informatiques afin de sécuriser au mieux la confidentialité et la sécurité des informations échangées. D’ailleurs, plus de 30% d’entre-elles envisagent d’augmenter de moitié les dépenses prévues à cet effet et 11% pourraient aller jusqu’à doubler leurs investissements.

L’étude européenne réalisée par Drooms insiste également sur l’importance des bonnes pratiques à mettre en place pour une protection optimale des données lors des processus de fusions-acquisitions : parmi les défis majeurs, 58% des personnes interrogées évoquent l’élaboration et la classification des documents en fonction de la protection dont ils doivent faire l’objet, et 77% la définition des responsabilités des parties prenantes et les droits d’accès aux documents qui leur sont associés.

« Dans le cas des fusions et acquisitions, le vendeur met à disposition de plusieurs acquéreurs ou investisseurs potentiels des documents et des données à caractère confidentiel ou très sensible », explique Alexandre Grellier, Fondateur et Président de Drooms. « Elles doivent mettre en place une véritable politique de gestion des accès qui leur permettra de définir qui a accès aux documents les plus sensibles, et être capables de savoir qui les a consultés, via une journalisation détaillée des événements».

Sécuriser les échanges de données dans un contexte marqué par une perte de confiance

Une étude menée par NIFIS (Nationale Initiative für Internet Sicherheit, cabinet basé en Allemagne) aboutit sensiblement aux mêmes résultats et pointe la protection des données comme une préoccupation majeure pour les entreprises européennes : en 2012, 77% d’entre elles pensaient augmenter d’un tiers leurs dépenses relatives à la sécurisation de leurs données pour l’année suivante.

De plus, dans un contexte marqué par les répercussions de l’affaire PRISM et les révélations d’Edward Snowden, Alexandre Grellier, Fondateur et Président de Drooms France, constate que « ce scandale a conduit à une perte de confiance dans les fournisseurs américains de solutions Cloud ». En effet, d’après les résultats d’un sondage mené auprès des membres de la Cloud Security Alliance, la Fondation sur les technologies de l’information et l’innovation, ceux-ci, pourraient perdre un chiffre d’affaires estimé entre 22 et 35 milliards de dollars au cours des trois prochaines années.

En conséquence, une entreprise doit s’assurer que son fournisseur de datarooms électroniques soit capable de gérer sur un même plan les aspects :
- Technique, via un « coffre-fort numérique » permettant la préservation de l’intégrité des données ;
- Organisationnel, grâce à une politique de gestion des droits d’accès ou la mise en place d’un suivi des consultations des documents sensibles, etc. ;
- Juridique, grâce à la conformité au droit de l’Union Européenne sur la confidentialité des données, ce que seuls les éditeurs européens peuvent garantir.

Si les entreprises sont de plus en plus attentives aux aspects techniques ou organisationnels, l’étude révèle toutefois que l’aspect juridique est mésestimé par une large partie des répondants puisque 60 % d’entre eux n’ont pas la certitude que les solutions de datarooms utilisées sont conformes à la régulation en vigueur dans l’Union Européenne.

Drooms
drooms.com/fr


Les médias du groupe Finyear


Mardi 15 Juillet 2014




Nouveau commentaire :
Twitter

Your email address will not be published. Required fields are marked *
Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

OFFRES D'EMPLOI


OFFRES DE STAGES


NOMINATIONS


DERNIERES ACTUALITES


POPULAIRES