Parmi les prétendants, selon Les Echos : Eutelsat, Ingenico, M6, Remy Cointreau, Eurotunnel. De vraies petites PME familiales de province !
Il faut cesser d’utiliser l’acronyme de PME pour des entreprises dont la taille respectable, qui sont internationalisées et qui disposent des moyens financiers de leur croissance, que ce soit en fonds propres ou par l’endettement. Que va leur apporter le PEA-PME ? Une plus grande liquidité de leurs titres cotés et sans doute une progression de leur valorisation, justement du fait de leur liquidité accrue. Etait-ce vraiment un enjeu aujourd’hui ?
Dans le même temps, les petites PME, les vraies, celles qui font moins de 50 M€ de Chiffre d’Affaires, emploient moins de 250 personnes et disposent d’un total de bilan inférieur à 43 M€ sont délaissées par les banques, pour ne pas dire exclues de leurs crédits. Elles n’ont pas de marché boursier adapté à leur taille, ni de marché obligataire. Elles ne peuvent donc compter, pour se développer, que sur un autofinancement devenu très difficile à générer du fait de leur absence de compétitivité, des fonds de Private Equity devenus particulièrement sélectifs et sur BPIFrance qui limite strictement la globalité de ses interventions à 1€ de dette pour 1€ de fonds propres. Ce n’est pas rien mais par rapport à la masse des besoins et à la situation des PME, c’est très insuffisant.
Il faut que les pouvoirs publics prennent conscience de cette situation, dramatique pour l’économie française, la croissance et l’emploi. C’est la masse des PME qui, en recouvrant son dynamisme, fera progresser notre tissu entrepreneurial et l’emploi.
On sait aujourd’hui que les fonds orientés vers ces PME, grâce à la Loi TEPA, bien que très insuffisants, ont prouvé leur efficacité au cours des 5 dernières années. Continuons à faire preuve d’imagination pour irriguer les PME avec des capitaux permanents en fléchant vers elles d’autres produits d’épargne.
Attendons maintenant les textes sur le Crowdfunding. Peut-être aurons-nous de bonnes surprises ?
Il faut cesser d’utiliser l’acronyme de PME pour des entreprises dont la taille respectable, qui sont internationalisées et qui disposent des moyens financiers de leur croissance, que ce soit en fonds propres ou par l’endettement. Que va leur apporter le PEA-PME ? Une plus grande liquidité de leurs titres cotés et sans doute une progression de leur valorisation, justement du fait de leur liquidité accrue. Etait-ce vraiment un enjeu aujourd’hui ?
Dans le même temps, les petites PME, les vraies, celles qui font moins de 50 M€ de Chiffre d’Affaires, emploient moins de 250 personnes et disposent d’un total de bilan inférieur à 43 M€ sont délaissées par les banques, pour ne pas dire exclues de leurs crédits. Elles n’ont pas de marché boursier adapté à leur taille, ni de marché obligataire. Elles ne peuvent donc compter, pour se développer, que sur un autofinancement devenu très difficile à générer du fait de leur absence de compétitivité, des fonds de Private Equity devenus particulièrement sélectifs et sur BPIFrance qui limite strictement la globalité de ses interventions à 1€ de dette pour 1€ de fonds propres. Ce n’est pas rien mais par rapport à la masse des besoins et à la situation des PME, c’est très insuffisant.
Il faut que les pouvoirs publics prennent conscience de cette situation, dramatique pour l’économie française, la croissance et l’emploi. C’est la masse des PME qui, en recouvrant son dynamisme, fera progresser notre tissu entrepreneurial et l’emploi.
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Direction financière et stratégique
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