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Morning Briefing by Finyear Coffee - 20 mars 2014

Quotidien du Financier : commentaires marchés, actus corporate finance, chiffres marchés. Tableau de bord financier : cotations, indices et taux. Plusieurs mises à jour quotidiennes by Finyear Coffee.


Marchés : commentaires du jour

Morning Briefing by Finyear Coffee - 20 mars 2014
09:30

Good Morning Finyear Readers!

European shares are experiencing selling pressure this morning following Asian and US markets lower overnight after new Fed chief Yellen indicated during her press-conference yesterday evening that interest rates might rise as early as in 12 month time.
Furthermore Goldman Sachs not unsurprisingly after a flood of disappointing economic data has downgraded Chinese GDP estimates from 7.6% to 7.3%. Surprisingly markets reacted rather harshly to the above comment by Yellen concerning a potential tightening of rates next spring even she only basically said out loud what everybody has been assuming anyway for quite a while.
After the Fed having begun tapering last December everybody knew that sooner or later rates would have to rise too at some point. Deep down after the recent turmoil surrounding the Crimean peninsula and its negative effect on stock markets around the world many traders had hoped that she would come out with comments lending more support to stocks and would be trying to stir attention away from events in Crimea.
Overall last night’s Fed meeting is not necessarily expected to remain in the spotlight for too long instead much will depend on how the crisis between Russia and the Ukraine continues to unfold. While overall many consider the post Fed sell-off as somewhat overdone tomorrow’s approaching ‘triple witching’ might not make a rebound quite as straightforward as it otherwise would appear instead it will add another variable to today’s market action.

Thank you.
Kind regards,

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com

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09:00

Les marchés se replient après le discours de la FED

Marchés Actions : Sur les marchés actions, les principaux indices mondiaux ont évolué sur une note indécise ce mercredi dans l'attente du compte rendu de la réunion du FOMC et suite à une escalade des tensions en Ukraine. En effet, quelques jours seulement après le referendum qui a donné lieu au rattachement de la Crimée à la Russie, les investisseurs se sont inquiétés des premiers coups de feu tirés envers des militaires ukrainiens en poste. Alors que Vladimir Poutine s'était voulu rassurant la veille, les Occidentaux commencent à envisager de réelles représailles d'ici la semaine prochaine si la situation continue de s'enliser.

La séance de ce mercredi a également été marquée par l'annonce inattendue de Janet Yellen d'une hausse des taux d'intérêt aux Etats-Unis dès début 2015. La première conférence de presse de la présidente de la Fed a littéralement plombé les marchés : ces derniers avaient anticipé une nouvelle réduction de 10 milliards de dollars de ses achats mensuels, mais l'annonce du relèvement des taux d'intérêt fut une véritable surprise, surtout à la suite des derniers chiffres américains en demi-teinte.

Dans ce contexte, après avoir récupéré les pertes enregistrées en début de semaine, les indices américains et européens ont à nouveau flanché : le Dow Jones a ainsi terminé sur les 16 222,17 points en baisse de 0,70%. Le S&P500 a cédé 0,61% à 1 860,77 points et le Nasdaq a perdu 0,59% à 4 307,60 points. Auparavant en zone euro, le CAC 40 a chuté de 0,12% à 4 308,06 points. Le FTSE sur la même tendance a fini en baisse de 0,49% à 6 573,13 points. Seul le Dax allemand aura réussi à se maintenir en gagnant 0,37% à 9 277,05 points.

En Asie, les principaux indices ont évolué dans le sillage des marchés américains. L’issue de la réunion de la Fed a amené la Bourse de Tokyo sur un plus bas de six semaines ce mercredi, faute de nouveaux catalyseurs majeurs pour compenser cet effet d’annonce. Suite à cela, le Nikkei a flanché de 1,65% à 14 224,23 points. Le Topix, plus large, a de son côté cédé 1,58% sur les 1 145,97 points.

Ce jeudi, nous attendons les principales Bourses américaines et européennes en repli dès l’ouverture, le temps d’intégrer les annonces de la veille. Les investisseurs pourront toutefois se focaliser aujourd’hui sur une batterie de nouveaux indicateurs : nous suivrons notamment les inscriptions hebdomadaires au chômage, les ventes de logements anciens, l’indicateur du Conference Board et l’indice de la Fed de Philadelphie aux Etats-Unis. Seul catalyseur européen à l’agenda de la journée, les prix à la production industrielle pour février seront également publiés en début de séance.

Forex : Hier, la journée de trading a été relativement calme suite à l’attentisme des cambistes avant la décision de politique monétaire de la Fed, attendue à 19h00. Ainsi, la parité EUR/USD est restée dans un range compris entre 1,3906 et 1,3929, soit proche de son pivot fixé à 1,3918$. En fin de journée, suite à l’annonce de réduction de la Fed de ses achats à hauteur de 10 milliards, le cross EUR/USD s’est déprécié et est repassé en dessous du seuil symbolique des 1,39$. En effet, l’EUR/USD a reculé de près de 100 pips et s’est échangé à son plus bas aux encablures des 1,3815$.

Cette brutale aversion pour le risque des investisseurs découle du discours de Janet Yellen, présidente de la Fed, qui a clairement indiqué qu’une remontée des taux pourrait intervenir plus tôt que ce que le marchait anticipé, à savoir début 2015. La monnaie unique se reprend quelque peu face au dollar et s’adjuge actuellement à 1,3838$.

Cette préférence pour les valeurs refuges, s’est également vue sur le GBP/USD. En effet, le cross GBP/USD a également évolué en territoire négatif hier en fin de journée. Après avoir touché sa résistance 1 fixée à 1,6641$, le cross s’est a perdu près de 120 pips et s’est adjugé à 16524$. La parité vient de franchir le seuil des 1,6540$.

Hier, le dollar s’est également renforcé face au yen. Les investisseurs ont porté le cours de l’USD/JPY au-dessus des 102,40 yens. Le cross marque une pause dans son envolée et se traite actuellement aux encablures des 102,32 yens.

Matières premières : Au chapitre des matières premières, le WTI et le Brent évoluent en territoire positif ce matin. Le Brent grappille 0,18% à 106,75$ tandis que le WTI s’échange au-dessus de la barre symbolique des 100$ suite au rapport du gouvernement américain qui montre que les stocks de brut à Cushing ont diminué de 989 000 barils à 29,8 millions pour la septième semaine consécutive selon l’Energy Information Administration. C’est le plus bas niveau depuis Janvier 2012. Ce matin, le brut de référence américain engrange 0,38% à 100,75$. Les prix ont également augmenté suite à l’annonce de Enterprise Products Partners LP qui a déclaré vouloir doubler la capacité du pipeline reliant Cushing à Houston. Le total des stocks de brut ont augmenté de 5,85 millions de barils selon l’Energy Information Administration. La production de pétrole brut, quant à elle, a augmenté de 33 000 barils par jour alors que les raffineries ont fonctionné à 85,6% de leur capacité au cours des sept derniers jours, soit une baisse de 0,4% par rapport à la semaine précédente. Les stocks de produits distillés, dont l’huile de chauffage et le diesel, ont baissé de 3,1 millions de barils la semaine dernière pour atteindre leur plus bas niveau depuis mai 2008, tout comme les stocks d’essence qui ont reculé de 1,47 millions de barils à 222,3 millions. Devant l’apaisement des tensions, les investisseurs ne pensent pas que les sanctions à l’encontre de la Russie puissent interrompre l’approvisionnement de brut et de gaz en Europe particulièrement.

Du côté des métaux précieux, on évolue globalement dans le vert ce matin. Le métal jaune progresse de 0,21% à 1 332,43$, tout comme l’argent qui grappille péniblement 0,05% à 20,63$. L’or s’échange à son plus bas niveau depuis plus de trois semaines après avoir atteint son plus haut niveau en six mois alors que la FED a annoncé hier diminuer une fois de plus de 10 milliards son rachat mensuel d’obligations, tout en annonçant une probable hausse des taux d’intérêts l’année prochaine. L’or ne progresse plus que de 10% depuis le début de l’année après avoir perdu près de 3,8% cette semaine, profitant du ralentissement de la croissance mondiale notamment de la Chine mais également des tensions en Ukraine. Le platine progresse de 0,13% à 1 449,38$ tandis que la palladium recule pour une cinquième séance en cédant 0,07% à 763,00$.

L'équipe Saxo Banque
www.saxobanque.fr


18 mars 2014

Suisse : la reprise se consolide davantage et une amélioration sur le marché du travail est attendue

Prévisions conjoncturelles du Groupe d’experts de la Confédération pour le printemps 2014* - Le Groupe d’experts de la Confédération maintient ses prévisions (de décembre 2013) et considère que la reprise conjoncturelle devrait se consolider en Suisse en 2014 et en 2015. Après un solide 2 % de croissance atteint en 2013, le Groupe d’experts table sur une accélération de l’expansion du PIB à 2,2 % en 2014 et à 2,7 % en 2015. Dans le sillage d’une conjoncture mondiale qui progressivement s’éclaircit, le commerce extérieur devrait, après quelques années plutôt moroses, recommencer à livrer des impulsions positives à la conjoncture en Suisse, en plus des impulsions livrées par la demande intérieure, qui devrait rester relativement robuste. Les perspectives favorables permettent d’escompter une amélioration de la situation sur le marché du travail (recul du chômage de 3,2 % en 2013 à 3,1 % en 2014 et à 2,8 % en 2015).

Conjoncture internationale
La conjoncture internationale semble reprendre progressivement un rythme plus soutenu, même si le tableau reste bien contrasté. L’évolution positive enregistrée au 2e semestre 2013 se poursuit au printemps 2014, dans beaucoup de pays industrialisés. Aux Etats-Unis, en particulier, la dynamique conjoncturelle continue d’élargir son assise. Forte d’une demande plus soutenue côté consommation privée et investissements et de l’atténuation des effets de frein de la politique budgétaire, l’économie américaine devrait afficher une croissance vigoureuse en 2014 et en 2015.

Dans la zone euro, une amélioration progressive de la conjoncture se dessine également. On ne peut certes pas encore parler de reprise robuste, mais les indicateurs de court terme se sont améliorés depuis quelques trimestres, attestant un début de reprise. La profonde récession semble ainsi en phase d’être surmontée même dans les pays périphériques durement touchés par la crise de la dette souveraine. Dans certains pays toutefois, il faudra attendre encore des années, avant que les fortes sous-utilisations des capacités de production soient résorbées et que le chômage recommence substantiellement à baisser. La reprise en Europe demeure exposée à certains risques, notamment liés au rythme et à la poursuite de la consolidation budgétaire et à l’état du système bancaire (faiblement capitalisé, en moyenne). Néanmoins, le Groupe d’experts table sur une reprise dans la zone euro qui devrait continuer de se renforcer, à un rythme modéré toutefois (croissance attendue du PIB de 1 % en 2014 et de 1,5 % en 2015).

Contrairement aux économies développées, où l’on observe des signes d’amélioration, l’évolution de la conjoncture dans de nombreux pays émergents est moins régulière. Ceux-ci ont essuyé notamment une nouvelle vague de brusques sorties de capitaux à l’amorce du virage opéré au début de 2014 par les Etats-Unis en matière de politique monétaire. Afin de stabiliser la situation et de parer au risque de dépréciation de leur monnaie, plusieurs pays se sont vus contraints de donner un tour de vis à leur politique monétaire, ce qui contribue à freiner davantage la conjoncture. Les prévisions de croissance restent dans l’immédiat relativement modérées pour bon nombre de pays.

Prévisions conjoncturelles pour la Suisse
Sur l’ensemble de l’année 2013, l’économie suisse a affiché une croissance enviable par rapport au reste de l’Europe, de l’ordre de 2 %, malgré un rythme plutôt modéré au 4e trimestre (+0,2 % par rapport au trimestre précédent). A la fin de 2013, on observait encore, au niveau national, une certaine dichotomie entre une économie intérieure dynamique (construction, plusieurs domaines des services) et des secteurs exportateurs à la peine (l’industrie notamment, mais aussi les services financiers). La multiplication des impulsions positives en provenance des Etats-Unis et de l’UE devrait permettre d’attendre une évolution plus positive des exportations, ce que confirment notamment les enquêtes réalisées dans l’industrie d’exportation. Les exportations de services devraient également croître davantage cette année et l’année prochaine. Dans ce mouvement, après quelques années de contributions pratiquement nulles à la croissance du PIB, la balance commerciale de la Suisse devrait à nouveau livrer des impulsions positives en 2014 et en 2015.

La conjoncture intérieure, moteur principal de la croissance durant les dernières années, devrait continuer de rester bien orientée, avec certains changements qui se dessinent concernant la contribution de ses différentes composantes. Les perspectives internationales, qui s’éclaircissent, et la meilleure utilisation des capacités de production, devraient impliquer une expansion plus soutenue des investissements en biens d’équipement, qui jusqu’à présent ont traversé une période de faible évolution. Par contre, après une année 2013 très soutenue (3,8 % de croissance), les investissements dans la construction ont probablement atteint leur sommet et devraient afficher une expansion moins marquée en 2014 et en 2015. Avec l’accroissement de la population et le maintien de conditions de financement favorables, le contexte reste toutefois et globalement bien orienté pour le secteur du bâtiment. La consommation des ménages privés devrait aussi poursuivre son expansion vigoureuse, mais la croissance attendue pour 2014 et 2015 est moins élevée qu’en 2013.

Globalement, le Groupe d’experts confirme en mars 2014 ses dernières prévisions de décembre 2013 : l’essor conjoncturel en Suisse devrait gagner légèrement en dynamique et son assise s’élargir quelque peu (économie intérieure et commerce extérieure contribuant à la croissance du PIB en 2014 et 2015). Après 2 % de croissance du PIB en 2013, le Groupe d’experts table sur une expansion du PIB de 2,2 % en 2014 (prévision de décembre: 2,3 %) et de 2,7 % en 2015 (prévision inchangée).

Sur le marché du travail, l’horizon s’éclaircit de plus en plus. Après une phase prolongée de suppressions de postes, l’emploi semble gagner à nouveau en dynamique dans l’industrie. En valeurs corrigées des variations saisonnières, la légère hausse du chômage observée vers la fin de 2013 a marqué le pas, et le chômage a très légèrement reflué durant les deux premiers mois de 2014. Compte tenu des perspectives conjoncturelles positives, la reprise devrait se poursuivre et se renforcer sur le marché du travail en Suisse, d’où un recul prévu du taux de chômage de 3,2 % en 2013 à 3,1 % en 2014 et à 2,8 % en 2015 (prévision inchangée par rapport à décembre dernier).

Risques conjoncturels
Ces dernières années, les risques pesant sur le développement de l’économie suisse émanaient principalement de la fragilité de la conjoncture mondiale. A la suite de l’acceptation de l’initiative sur l’immigration de masse, les incertitudes concernant nos relations futures avec l’UE sont venues sur le devant de la scène. Pour l’heure, on ne sait pas dans quelle mesure la nouvelle donne compliquera les choses pour les entreprises voulant recruter de la main-d’œuvre étrangère. D’autre part, la forme à donner à la voie bilatérale entre la Suisse et l’UE est en suspens. Les conséquences économiques à long terme ne sont actuellement guère quantifiables, tant elles dépendent de la forme que prendront concrètement les mesures d’application (le système des contingents, notamment) et des relations futures entre la Suisse et l’UE. Dans les trimestres à venir, un risque potentiel pour le développement de la conjoncture réside dans l’activité d’investissements des entreprises, qui risque de diminuer en raison de l’incertitude plus élevée (report de projets d’investissements), ce qui pourrait freiner la dynamique conjoncturelle et l’emploi. Cependant, d’autres forces (l’effet moteur de la conjoncture internationale en phase d’amélioration, la plus grande utilisation des capacités de production existantes et le maintien de taux d’intérêt à un bas niveau) pourraient contrebalancer à court terme les effets d’une plus grande incertitude liée à l’acceptation de l’initiative. En outre, l’embellie que nous pouvions déjà noter dans les enquêtes de conjoncture traduisant le climat au sein des entreprises, avant l’acceptation de l’initiative, s’est poursuivie sans grand changement après l’acceptation de celle-ci (à l’image de l’indice des directeurs d’achat et du baromètre du KOF pour le mois de février). Il conviendra de suivre attentivement l’évolution de ces indicateurs durant les mois à venir.

Au-delà des facteurs d’incertitude intérieurs, différents risques liés à l’économie mondiale doivent être considérés, à commencer par les tensions, non négligeables, qui continuent de régner dans la zone euro (endettement encore élevé, chômage élevé, instituts financiers affaiblis), qui pourraient créer des conditions défavorables, si la crise de la dette devait se ranimer et l’incertitude réapparaître sur les marchés financiers. En outre, les pays émergents, notamment ceux qui ont une dette extérieure élevée, sont potentiellement exposés à une nouvelle vague de retraits de capitaux, qui pourrait être alimentée par la poursuite de la normalisation de la politique monétaire aux Etats-Unis notamment. Enfin, le conflit entre la Russie et l’Ukraine représente un facteur de risque géopolitique difficile à évaluer (dans le cas d’une escalade guerrière qui pourrait peser sur l’approvisionnement énergétique international). A l’opposé, le raffermissement de la conjoncture mondiale observé depuis quelques trimestres, peut également, pour certains secteurs ou pays, contenir des risques positifs, en termes notamment de demande étrangère supérieure aux attentes.

*Le Groupe d’experts de la Confédération publie chaque trimestre ses prévisions pour l’évolution conjoncturelle de la Suisse. Les dernières prévisions datent de décembre 2013 et sont commentées dans le présent communiqué. La publication trimestrielle du SECO «Tendances conjoncturelles» intègre ces nouvelles prévisions et approfondit également certains aspects de l’évolution conjoncturelle récente.
Cette publication est disponible en annexe des numéros de février, d’avril, de juillet et d’octobre de La Vie économique (lavieeconomique.ch).
Elle peut également être consultée gratuitement sur l’internet au format PDF (seco.admin.ch/themen/00374/00375/00381/index.html?lang=fr).

Secrétariat d'Etat à l'économie
www.seco.admin.ch


Corporate Finance : commentaires du jour

08H00

(NOUVEAU) L'actu Corporate Finance par FinActu :

- PICARDIF Formation se renforce avec l’acquisition de I.L.A.F. F.E. 20/03/2014
- Steria annonce l’acquisition de Beamap 19/03/2014
- Le Groupe AltéAd cède ses activités de maintenance de presses et reprend Peinetti Emballage 19/03/2014
- Eurazeo investit 285 M€ dans le groupe espagnol Desigual 19/03/2014
- Fermentalg annonce son projet d’introduction en Bourse sur Euronext Paris 19/03/2014
- Première levée de fonds pour le Groupe PGS 19/03/2014
- Muriel Goldberg-Darmon et son équipe rejoignent le département Corporate de DLA Piper Paris 19/03/2014
- GLOBE Groupe rachète l’agence allemande Elite Promotion 19/03/2014
- Legrand : Antoine Burel réalise une opération boursière de 0,8 M€ 19/03/2014
- Franklin et Mayer Brown, conseils d’Altice–Numericable sur l’acquisition de SFR 18/03/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr

Marchés : chiffres du jour

Dette bancaire et endettement de marché des sociétés non financières - janvier 2014

Reprise de l'endettement des entreprises.

L'endettement des sociétés non financières accélère en janvier (+2,9 % en rythme annuel, après + 1,8 % en décembre) : la progression annuelle des financements par émissions de titres de dette se renforce, de même que celle des crédits accordés aux résidents par les banques. Le coût des financements nouveaux fléchit légèrement, à 2,51 % (après 2,54 % en décembre).

Consulter ce Stat Info :
https://www.banque-france.fr/economie-et-statistiques/stats-info/detail/dette-bancaire-et-endettement-de-marche-des-societes-non-financieres.html

Banque de France : 12 mars 2014


DEVISES : Cotations + Taux + Convertisseur


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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 20 Mars 2014




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