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Le recouvrement de créances : une arme pour la reprise

A-t-on jamais remporté de bataille sans armes, quelles qu’elles soient ? Non ! Dès lors, comment imaginer survivre à la crise et bénéficier de la reprise sans un arsenal solide ?


- Face à l’affaiblissement de la demande, toutes les entreprises ont déployé leurs ressources commerciales pour pérenniser leurs relations avec leurs clients et convaincre des prospects.
- Face à la concurrence de pays émergents toujours plus inventifs et offensifs, nombreuses sont celles qui ont mobilisé leurs capacités pour innover et revoir, parfois en profondeur, leur organisation.
- Face à l’atonie de leur marché domestique, certaines se sont lancées à l’international…

Mais face aux défauts de paiements auxquelles toutes sont confrontées, que font les entreprises ?

S’il est indispensable de se démener pour vendre, il est impensable de le faire pour… rien. Or que dire des efforts consentis par les entreprises qui ont engagé des actions audacieuses pour résister à la crise sans réussir à se faire payer, sinon qu’ils sont vains ?

Aujourd’hui, nombre d’entreprises travaillent pour des clients fragilisés qui peinent parfois à honorer leurs dettes à temps, voire à régler leurs factures tout court. Or les défauts de paiement ne sont pas étrangers au fait qu’on ait enregistré, en France, en 2009, plus de 60 000 défaillances d’entreprises, puisque 25 % des dépôts de bilan leur sont imputables… Sans en arriver à ce point de quasi non-retour, les entreprises négligées par leurs créanciers s’affaiblissent, parfois dangereusement.

Des chiffres d’abord : les entreprises françaises dépensent environ 4 milliards d’euros pour financer les retards de paiement tandis que 36 milliards d’euros sont chaque année passés en pertes.

Des faits, ensuite : les entreprises qui se « saignent » pour tenter de « combler » les défaillances de leurs clients entament leur trésorerie. A (court) terme, elles hypothèquent leur accès au crédit bancaire et, de fait, leurs chances de grimper dans le train de la reprise.

Les professionnels du recouvrement ont leur rôle à jouer dans ce contexte particulièrement difficile.

D’une part parce que ce sont des spécialistes, aguerris aux techniques des relances et de l’encaissement. Elles s’appuient sur des professionnels formés aux techniques de la négociation qui, certes, déterminés à obtenir le règlement des créances, n’en sont pas moins à l’écoute des créanciers pour construire avec eux des échéanciers réalistes.

D’autre part parce que ce sont des spécialistes qui disposent de moyens techniques et humains adaptés aux profils et aux attentes de leurs clients.
Enfin parce que ce sont des spécialistes qui prennent en main le traitement des créances d’entreprises qui peuvent alors se concentrer sur leur cœur de métier. Les sociétés de recouvrement de créances s’inscrivent dans la relation client-fournisseur : elles agissent dans la perspective d’encaisser les factures en souffrance en ayant soin de préserver, voire de renforcer, les liens entre les parties prenantes.
« Alors que les signes de reprise se multiplient, les entreprises ont plus que jamais intérêt à obtenir le règlement de leurs créances échues et à sécuriser leurs encours.

De leur capacité à faire rentrer dans leurs caisses l’argent qu’elles ont dehors dépend la qualité de leur bilan et, par conséquent, leur pérennité. Et, au sein de l’ « arsenal » à leur disposition pour mener à bien leur combat pour la croissance et le développement, le recours aux professionnels de la gestion de créance est une arme de choix» souligne Pascal Labrue, Directeur Europe du sud Intrum Justitia.

Intrum Justitia

Lundi 13 Septembre 2010




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