Le « Ni Ni » du premier tour des élections municipales

Le premier tour des élections municipales et cantonales à donné naissance à une nouvelle version du « NI NI » en politique (ni privatisation, ni nationalisation). En effet, ces élections, contrairement à la plupart des pronostics, ne furent ni la Berezina annoncée pour la droite, ni la vague rose.


L’homo politicus est une espèce très particulière et au soir du premier tour, les différents représentants des principaux courants politiques ont tenté de faire bonne figure en toute circonstance sur les plateaux de télévision. En fait, le Modem qui se posera bien souvent en arbitre et l’électorat populaire seront des facteurs clefs de succès. Mais sur ces deux paramètres, les incertitudes demeurent...

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Jeudi 13 Mars 2008


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