Cette nouvelle parution d’un duo d’auteurs, francophones et francophiles, déjà largement reconnu, tous deux économistes et enseignants internationaux, experts en relations internationales, reflète un double « état d’âme » qui est aussi le lot de nombres d’observateurs, partagés entre l’espoir et les craintes que suscite ce « nouveau monde qui s’ est ouvert avec le XXIè siècle.
« ..il s’agit d’un moment essentiel dans l’histoire contemporaine, ou il faut déserter l’impuissance post-moderne pour retrouver les chemins des passions modernistes, afin d’inventer une nouvelle expérience historique et un nouveau projet global, ouvert à tous démocratique et pluriel.. ».
L’accumulation des déséquilibres, les crises répétées dans le monde, la fin de « l’hyperpuissance » ont fait naitre l’exigence d une nouvelle gouvernance mondiale,
C’est le G20 qui a émergé comme le nouveau cadre de cette gouvernance « encore balbutiante ».
Mais les auteurs s’interrogent à la lumière de ce qui pourrait être un retour en force de l’ancien ordre mondial incarné par le G8, et les vielles « puissances industrielles » sur la capacité du G20 à faire naitre un nouveau contrat de civilisation et de prospérité capable d’intégrer l’ensemble des parties.
Il y va de l’aptitude à mettre fin à l’instabilité croissante de ce nouveau monde et aux risques qui lui sont attachés, comme le fit le compromis social- démocrate d’après guerre.
Un regard lucide, mais heureusement non désespéré sur les logiques de coopération des « grands » de la planète.
« ..il s’agit d’un moment essentiel dans l’histoire contemporaine, ou il faut déserter l’impuissance post-moderne pour retrouver les chemins des passions modernistes, afin d’inventer une nouvelle expérience historique et un nouveau projet global, ouvert à tous démocratique et pluriel.. ».
L’accumulation des déséquilibres, les crises répétées dans le monde, la fin de « l’hyperpuissance » ont fait naitre l’exigence d une nouvelle gouvernance mondiale,
C’est le G20 qui a émergé comme le nouveau cadre de cette gouvernance « encore balbutiante ».
Mais les auteurs s’interrogent à la lumière de ce qui pourrait être un retour en force de l’ancien ordre mondial incarné par le G8, et les vielles « puissances industrielles » sur la capacité du G20 à faire naitre un nouveau contrat de civilisation et de prospérité capable d’intégrer l’ensemble des parties.
Il y va de l’aptitude à mettre fin à l’instabilité croissante de ce nouveau monde et aux risques qui lui sont attachés, comme le fit le compromis social- démocrate d’après guerre.
Un regard lucide, mais heureusement non désespéré sur les logiques de coopération des « grands » de la planète.
Jean-Louis Chambon
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
Retrouvez les chroniques de Jean-Louis Chambon sur www.canalacademie.com
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