Pour tous ceux qui s’intéressent à la géopolitique et au commerce international, la question de la place de la langue dans la communication et la compétitivité des acteurs, revêt une importance majeure. De même que le rayonnement culturel d’un pays se joue autant sur le terrain de sa capacité à entretenir sa diversité linguistique que dans sa compétitivité dans le domaine des affaires stricto sensu.
L’auteur, Serge TCHAHA, chroniqueur économique, examine dans cette nouvelle parution cette problématique du point de vue de la langue française et de la francophonie.
L’originalité de son approche est de présenter la question en partant du point de vue de l’Afrique et de voir comment la culture et la langue françaises peuvent « co-prospérer » avec le continent Africain.
En effet les Africains qui représentent près de 85% de la sphère francophone, estimée aujourd’hui à 220 millions d’habitants, passera à 650 en 2050……..
Les Africains seront plus riches qu’aujourd’hui, non seulement parce que plus éduqués mais parce qu’avec l’Inde, l’Afrique sera la principale force de travail au Monde.
Aussi, c’est la conviction de l’auteur, la francophonie économique prendra encore plus de sens.
Encore faudra-t-il que les membres de l’OIF auront su faire vivre cet espace entre temps qui passera de 1600 milliards de PIB en 2008 à 2600 milliards de dollars en 2020 et qu’il sera à 50% urbanisé en 2030.
Comment tirer profit du fait de parler français dans ce contexte ? Comment faire du français un élément d’attractivité pour la division internationale du travail et s’en servir pour commercer avec les pays francophones du Mékong et donc du Vietnam ?
L’auteur propose des éléments de réponse à cette question essentielle pour que la langue française favorise le développement du continent africain et contribue à faire prospérer les autres régions du monde, en rappelant « …..la francophonie économique sera ce que nous voudrons bien en faire dans ce « nouveau monde » où il y aura trois fois plus de francophones qu’aujourd’hui…. »
Rien que du bon sens.
L’auteur, Serge TCHAHA, chroniqueur économique, examine dans cette nouvelle parution cette problématique du point de vue de la langue française et de la francophonie.
L’originalité de son approche est de présenter la question en partant du point de vue de l’Afrique et de voir comment la culture et la langue françaises peuvent « co-prospérer » avec le continent Africain.
En effet les Africains qui représentent près de 85% de la sphère francophone, estimée aujourd’hui à 220 millions d’habitants, passera à 650 en 2050……..
Les Africains seront plus riches qu’aujourd’hui, non seulement parce que plus éduqués mais parce qu’avec l’Inde, l’Afrique sera la principale force de travail au Monde.
Aussi, c’est la conviction de l’auteur, la francophonie économique prendra encore plus de sens.
Encore faudra-t-il que les membres de l’OIF auront su faire vivre cet espace entre temps qui passera de 1600 milliards de PIB en 2008 à 2600 milliards de dollars en 2020 et qu’il sera à 50% urbanisé en 2030.
Comment tirer profit du fait de parler français dans ce contexte ? Comment faire du français un élément d’attractivité pour la division internationale du travail et s’en servir pour commercer avec les pays francophones du Mékong et donc du Vietnam ?
L’auteur propose des éléments de réponse à cette question essentielle pour que la langue française favorise le développement du continent africain et contribue à faire prospérer les autres régions du monde, en rappelant « …..la francophonie économique sera ce que nous voudrons bien en faire dans ce « nouveau monde » où il y aura trois fois plus de francophones qu’aujourd’hui…. »
Rien que du bon sens.
Jean-Louis Chambon
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
Retrouvez les chroniques de Jean-Louis Chambon sur www.canalacademie.com
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
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