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L’Afrique ne se développera que lorsqu’elle aura créé ses propres marchés d’échanges de biens et de services

Cette évolution implique une inter connectivité grandissante sur le continent, via des infrastructures modernes, réalisées, en partie, avec le concours d’investisseurs régionaux et étrangers


Birama B. Sidibé
Birama B. Sidibé
Par Birama B. Sidibé, candidat à la présidence de la Banque Africaine de Développement (BAD).

Candidat à la Présidence de la Banque Africaine de Développement (dont le vote aura lieu le 28 mai prochain), Birama B. Sidibé inscrit, au cœur de son programme, le soutien de la création de marchés régionaux, allant de pair avec le développement d’infrastructures modernes, réalisées par des acteurs africains et/ou étrangers. Dans ce contexte, la BAD pourrait jouer le rôle de facilitateur en aidant à la mise en place de législations appropriées et en militant en faveur d’une gestion supranationale de ces programmes.

« Au cours des vingt dernières années, l’Afrique a globalement enregistré une croissance économique soutenue. Pour que cette embellie soit durable, les dirigeants africains sont convenus de moderniser la structure de l’économie africaine et de diversifier les sources de la croissance.

Certes, de nombreux pays africains restent confrontés à d’importants défis sociaux, économiques et environnementaux. Cependant, les premiers signaux d’une mutation positive voient le jour chez certains d’entre eux. Il s’agit :
- de l’apparition d’une nouvelle génération de leaders, responsables vis-à-vis de leurs citoyens et ambitieux pour leur pays, leur communauté économique régionale et pour l’Afrique ;
- du passage au vert d’indicateurs de mutation et de diversification. ils concernent l’émergence d’une classe moyenne de consommateurs, le développement d’un secteur privé plus crédible, les investissements dans les infrastructures et l’accroissement des échanges intra régionaux, l’amélioration du climat des affaires, ainsi que l’augmentation de la part du secteur des services dans les activités économiques.

Les marchés continentaux se développent…

Pour poursuivre dans cette voie, accroître le développement de marchés régionaux et continentaux performants est une nécessité. Chaque pays doit apprendre à se tourner vers les consommateurs les plus proches de lui : ses voisins africains. Les marchés doivent, ainsi, être élargis par les collectivités, chaque jour davantage, ce qui sous-tend une certaine liberté de mouvement des biens et des services. De fait, les marchés n’ont de sens que lorsque leur accès est facilité, tant sur le plan physique (le transport, l’énergie), que sur le plan des nouvelles technologies de l’information et de la communication (fibre optique).

Pour illustrer cette proposition, prenons l’exemple des pays d’Afrique de l’Ouest. Ils disposent d’un marché de plus de 300 millions de consommateurs potentiels Toutefois, tant que le producteur d’un pays n’est pas dans la possibilité d’utiliser correctement les routes et que son accès au commerce n’est pas facilité, il n’aura aucune motivation pour produire un bien, pourtant demandé, par exemple, au Nigeria. Ce dernier pays dispose d’ailleurs, lui-même, de biens qu’il souhaiterait vendre par-delà ses frontières, mais cela implique de meilleures connexions avec les autres pays.

… en même temps que les règles s’assouplissent et s’uniformisent

Les aspects réglementaires doivent également être renforcés pour assurer l’encadrement du marché, mais dans ce domaine, l’Afrique est en avance. Elle a commencé par se développer en communautés régionales avant d’atteindre l’échelle continentale.

Au niveau de l’Afrique australe, a été créée la Communauté économique de développement d’Afrique australe (SADC), organisation bien huilée qui a défini des règles communes concernant des programmes d’infrastructures ou des règles phytosanitaires. Des efforts y sont entrepris pour avancer vers une union économique autour d’une monnaie unique.. Il s’agit là, vraiment, d’une avancée vers une intégration économique.

En Afrique de l’Ouest, l’une des communautés les plus dynamiques est la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDAO), laquelle a ouvert un marché de 300 millions de consommateurs aux 15 pays membres, en mettant en place des règlements communs aux niveaux économiques, politiques et commerciaux, dont le dernier en date est le tarif Extérieur Commun.

En l’Afrique de l’Est, on observe une poussée similaire vers l’intégration économique : la liberté de circulation et d’échange est partie intégrante des objectifs affirmés des Etats. Par exemple, entre le Kenya, l’Ouganda et le Rwanda, le modèle du « corridor nord » mis en place, consiste à développer et échanger librement sur la base des avantages comparatifs et compétitifs de chaque pays

Dans toutes ces régions africaines, à l’image du fonctionnement européen, les règles communautaires s’imposent aux nations.

L’Afrique est en ordre de marche pour booster le développement des infrastructures

Compte tenu de tous ces bons premiers pas pour relancer les marchés de consommation africains, interconnecter les pays et régions du continent représente, évidemment, un objectif prioritaire. Les autorités publiques ont la mission de construire des liaisons partant des pays producteurs vers les pays consommateurs et vice versa. Faut-il privilégier une voie plutôt qu’une autre ? Non. Toute infrastructure est nécessaire tant qu’elle sert à créer un lien entre l’offre et la demande et transporter des biens et des services. Entre la construction de chemins de fer et de routes, il convient simplement de privilégier le moyen de transport le plus adapté à ses besoins et contraintes financières. Le transport par chemin de fer à la tonne est bien évidemment beaucoup moins cher que la route : il s’agit du moyen de transport le plus intelligent et qui permet de transporter le mieux en masse.

Il ne faut toutefois pas oublier les voies d’eau car le transport par bateau peut parfois être moins cher comme, par exemple, le programme de navigation sur le fleuve Sénégal au compte de l’organisation de Mise en Valeur du Fleuve Sénégal (OMVS). Par ailleurs, il serait idéal que le long des voies ferrées et routières soit placée une fibre optique afin de fluidifier le transfert de l’information et des données.

En tout état de cause, il s’observe, ces dernières années, une réelle accélération dans ce domaine, dans la mesure où les communautés économiques régionales ont pu dégager ensemble des priorités, parmi lesquelles figurent des ouvrages communs.

Aujourd’hui, les infrastructures régionales sont conçues à l’échelle du continent africain. Via les programmes spécialisés du NEPAD (Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique), l’Union africaine pilote et définit, avec la BAD et la CEA (Commission économique pour l’Afrique), les programmes d’infrastructures régionales. De nombreux corridors sont à ce jour prévus dans le plan d’action relatif au développement des infrastructures de l’Union africaine. Toutes les routes à développer sont identifiées, tout comme les tronçons et les corridors. Il s’agit, d’ailleurs, bien souvent, de partir des routes nationales déjà existantes, et d’en changer le standard pour les rendre conformes au transport inter-régional.

Parmi les programmes du NEPAD, l’un d’eux, intitulé PIDA (programme de développement des infrastructures en Afrique) a réalisé des études pour identifier tous les tronçons de routes manquants, appelés « missing links » qu’il faut réaliser en priorité.

Deux corridors prioritaires ont déjà été réalisés : l’un partant de l’Algérie vers le Mali et le sud du Continent, l’autre partant de l’Algérie vers le Niger et le Nigeria. La branche en direction du Niger est presque terminée ; il ne reste qu’un tronçon de 150 km à réaliser. Cela permettra aux Algériens et aux Tunisiens de vendre leurs agrumes aux pays africains du sud du Sahara. Et, à l’inverse, les fruits tropicaux qui ne poussent pas sous un climat méditerranéen trouveront, grâce à ce corridor, un débouché logique.

Routes à plusieurs voies ou autoroutes payantes : tout peut s’envisager

Ces routes nationales ou internationales efficientes doivent être à deux, trois ou quatre voies et être à même de supporter le transport de poids lourds de 10-15 tonnes. Elles peuvent aussi prendre la forme d’autoroutes avec des spécificités attenantes à la nécessité de la grande vitesse… Voies d’accès rapides ou autoroutes payantes, tout est envisageable ; les africains ayant déjà commencé à payer le service routier pour bénéficier d’un accès facilité.

La BAD doit soutenir financièrement et techniquement ce mouvement vertueux

Si la volonté politique est là, l’importance des investissements nécessaires doit amener à une réflexion.

Concernant les marchés commerciaux, tout d’abord : les secteurs des Petites et Moyennes Entreprises (PME) et de l’auto-entrepreneuriat doivent faire l’objet d’une attention stratégique de la BAD, en raison de leur potentiel élevé d’inclusion et de création d’emploi. Cette population inclut un réservoir de producteurs et d’innovateurs, dans l’agriculture, l’industrie et les services, et qui gagnerait à être structuré en marché et connecté à a des débouchés locaux, nationaux et internationaux. Il s’agit, en réalité, de transformer la BAD en locomotive du secteur privé pour l’intégration du continent.

Concernant les infrastructures, il est également important de changer la donne de la participation du secteur privé africain et international dans les projets d’intégration de grande envergure en mettant en place des mécanismes d’incitations économiques, financières et légales. Ces incitations combinées à la participation active de la BAD dans des Partenariats Publics Privés innovants (notamment ceux à fort potentiel d’inclusion) auront un effet d’entrainement certain et seront perçues comme une caution de la viabilité du financement, tout en apportant l’assurance de la prise en compte des risques de toutes natures et des préoccupations environnementales. La BAD doit militer en faveur d’une gestion supranationale de ces programmes, afin de sécuriser les opérations et les montages financiers. Eliminer le risque politique national et donc assurer la pérennité des accords, quel que soit les changements de dirigeants des pays, devrait rassurer les investisseurs. »

A propos de Birama Boubacar Sidibé

Birama B. Sidibé, de nationalité malienne, est un expert des enjeux politico-économiques impliquant l’Afrique.

Il débute sa carrière à la Banque Africaine de Développement en 1983. Il y joue un rôle clé à partir de 1996, lorsqu’il s’implique dans le programme de modernisation de la banque, suite à la crise institutionnelle de 1995. Son intervention en tant que principal architecte du plan d’urgence de la BAD marque l’histoire de l’institution. En 2005, il est nommé Vice-président par interim de la Région Nord, Est et Sud de la BAD.

En 2006, il quitte la BAD et intègre le poste de Directeur Général de Shelter-Afrique, une institution régionale africaine à capitaux privés et publics, dont l’activité principale est le financement à moyen terme des promoteurs du secteur privé, en Afrique. Il y gère également la relation avec les 44 nations africaines, actionnaires de Shelter-Afrique, ainsi qu’avec la BAD et Africare.

En 2009, il fait son entrée à la Banque Islamique de Développement (BID) à Djeddah, en Arabie Saoudite, en tant que Vice-Président. Il se consacre notamment à la mise en œuvre du Programme spécial pour le Développement de l’Afrique (SPAD – financement au travers de projets variés de 22 pays africains à hauteur de 4,2 milliards de dollars).

Doté d’une vision innovante sur les questions de développement économique en Afrique, Birama B. Sidibé est aujourd’hui candidat à la présidence de la BAD, dont l'élection se tiendra le 28 mai prochain, à l'occasion de l'assemblée annuelle de la Banque, à Abidjan (Côte d'Ivoire).

A propos de La Banque Africaine de Développement
La (BAD) est une banque multinationale de développement dont le siège se trouve à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Elle est chargée de promouvoir le développement économique et le progrès social dans les pays africains. Fondée en 1964, elle compte 53 pays membres africains, et est soutenue par 24 pays européens, sud et nord-américains, et asiatiques.

Tribune
Bamako / Paris, le 23 avril 2015

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TAUX D'INTERET LEGAL

L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".

Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".

Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.

L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."


Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Lundi 4 Mai 2015




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