À propos du livre
« C’est parce que je devais parler que j’ai passé une semaine difficile. À cause de l’angoisse de parler.
Je devais parler le dimanche suivant. À la radio. Peu importe de quoi. Je devais parler, c’est tout.
Comment avais-je pu me laisser tomber dans ce piège ? Peut-être parce qu’il est plus simple de consentir. Il faut moins de mots pour un consentement que pour un refus. Refuser c’est parler. Je ne sais plus parler. »
Franz Bartelt évoque avec tendresse un écrivain qui n’aime pas parler, un alter ego silencieux qui préfère l’écriture pour régler ses comptes avec le passé.
www.finitude.fr
« C’est parce que je devais parler que j’ai passé une semaine difficile. À cause de l’angoisse de parler.
Je devais parler le dimanche suivant. À la radio. Peu importe de quoi. Je devais parler, c’est tout.
Comment avais-je pu me laisser tomber dans ce piège ? Peut-être parce qu’il est plus simple de consentir. Il faut moins de mots pour un consentement que pour un refus. Refuser c’est parler. Je ne sais plus parler. »
Franz Bartelt évoque avec tendresse un écrivain qui n’aime pas parler, un alter ego silencieux qui préfère l’écriture pour régler ses comptes avec le passé.
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