
Rémy Mahoudeaux
J'ai reçu vendredi dernier mes taxes foncières. En zélé contribuable, j'ordonne à mon navigateur d'afficher www.impots.gouv.fr et je saisis les numéros fiscaux et références d'avis et j'autorise ainsi le prélèvement des sommes qui me sont réclamées. Simple et assez rapide, peut-être un brin fastidieux : saisir deux fois l'adresse du courriel pour confirmation sans possibilité de copier-coller m'avait irrité jadis, et je n'essaye plus maintenant le copier-coller … J'aurais juste une petite suggestion pour encore améliorer l'interface utilisateur : puisqu'à un numéro fiscal peuvent correspondre plusieurs références d'avis (agrégation en UML), il y aurait moyen de fluidifier le processus en permettant le traitement simultané de ces avis.
Puis samedi j'ai reçu mon avis d'impôt 2013 avec un solde d'IR à régler. Je décide de m'acquitter de ce débours avec mon téléphone prétendument intelligent. Lancer une application, appuyer sur 2 boutons, viser le code carré (et non plus barre), confirmer, saisir l'adresse de courriel une fois, vérifier et valider : tout cela a duré moins d'une minute. Alors je dis bravo et merci : un (petit) progrès qui facilite (un peu) la vie …
Disclaimer / Déni de responsabilité : Il va sans dire ou écrire que ce satisfecit adressé aux informaticiens à la solde de Bercy est strictement conjoncturel et ne saurait être réutilisé ultérieurement pour des occurrences navrantes qui ne manqueront pas d'advenir, quand bien même ce ne serait qu'à cause de la loi de Murphy, fatalité prégnante dès que l'on touche aux systèmes d'informations.
Puis samedi j'ai reçu mon avis d'impôt 2013 avec un solde d'IR à régler. Je décide de m'acquitter de ce débours avec mon téléphone prétendument intelligent. Lancer une application, appuyer sur 2 boutons, viser le code carré (et non plus barre), confirmer, saisir l'adresse de courriel une fois, vérifier et valider : tout cela a duré moins d'une minute. Alors je dis bravo et merci : un (petit) progrès qui facilite (un peu) la vie …
Disclaimer / Déni de responsabilité : Il va sans dire ou écrire que ce satisfecit adressé aux informaticiens à la solde de Bercy est strictement conjoncturel et ne saurait être réutilisé ultérieurement pour des occurrences navrantes qui ne manqueront pas d'advenir, quand bien même ce ne serait qu'à cause de la loi de Murphy, fatalité prégnante dès que l'on touche aux systèmes d'informations.
Rémy
Mahoudeaux
Managing Director,
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