Conformément aux priorités établies en mai 2024 par la Déclaration de Séoul pour une IA sûre, novatrice et inclusive adoptée par l’Australie, le Canada, l’Union européenne, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Japon, la République de Corée, la République de Singapour, le Royaume- Uni et les États‑Unis d’Amérique, Mme Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, annonce le lancement d’un institut national consacré à l’évaluation et la sécurité de l’IA, garantissant ainsi la sécurité nationale dans ce domaine.
Piloté par le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) au nom du Premier ministre et par la Direction générale des Entreprises (DGE) du ministère de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, cet institut permettra de fédérer un écosystème d’acteurs nationaux de premier rang.
Piloté par le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) au nom du Premier ministre et par la Direction générale des Entreprises (DGE) du ministère de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, cet institut permettra de fédérer un écosystème d’acteurs nationaux de premier rang.
L’État, dans sa volonté de soutenir le développement de l’intelligence artificielle et d’accompagner la transformation de l’économie qu’elle induit, contribue à étudier scientifiquement l’ensemble des effets de cette technologie, y compris en termes de sécurité.
La confiance est le fondement de la diffusion de l’IA dans l’ensemble de la société. Il est donc nécessaire de développer des outils qui en garantissent la sécurité, afin de soutenir son développement et d’encadrer son utilisation dans des secteurs sensibles tels que la médecine, l’éducation, l’industrie ou l’information. Le soutien à l'innovation dans le champ de l’intelligence artificielle doit ainsi aller de pair avec l’anticipation des possibles risques inhérents à cette nouvelle technologie ou qui pourraient l’affecter. De surcroît, la diffusion de bonnes pratiques est nécessaire.
Avec la création d’un Institut national pour l’évaluation et la sécurité de l’intelligence artificielle (INESIA), l’État matérialise son engagement en faveur d’un développement maîtrisé de l’IA dans un cadre de confiance et de sécurité.
Cet institut a pour mission de fédérer, sans création de nouvelle structure jurique, les acteurs nationaux de l’évaluation et de la sécurité, au premier rang desquels l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), le Laboratoire National de Métrologie et d’Essais (LNE) et le Pôle d’expertise de la régulation numérique (PEReN).
Le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale et la Direction générale des Entreprises (DGE) travailleront à structurer les travaux menés par cet Institut et à fédérer un écosystème dynamique de chercheurs et d’ingénieurs issus de l’ANSSI, d’Inria, du LNE et du PEReN. Leur travail portera sur l'analyse des risques systémiques dans le champ de la sécurité nationale, le soutien à la mise en œuvre de la régulation de l'IA, et l'évaluation de la performance et de la fiabilité des modèles d'IA.
Cet institut permettra à la France de jouer pleinement son rôle au sein du réseau international des AI Safety Institutes. Aux côtés du Canada, de la Corée du Sud, des Etats-Unis d’Amérique, du Japon, du Kenya, de Singapour, du Royaume-Uni ou encore l’AI Office de la Commission européenne, l’INESIA travaillera à promouvoir la sécurité, l’inclusivité et la confiance dans l’IA.
En structurant la recherche française en matière d'évaluation, dans un esprit de coopération et de soutien à l'innovation, au profit de l'écosystème et des citoyens, la création de l’INESIA constitue une étape décisive pour placer la France parmi les leaders mondiaux de l’IA.
La confiance est le fondement de la diffusion de l’IA dans l’ensemble de la société. Il est donc nécessaire de développer des outils qui en garantissent la sécurité, afin de soutenir son développement et d’encadrer son utilisation dans des secteurs sensibles tels que la médecine, l’éducation, l’industrie ou l’information. Le soutien à l'innovation dans le champ de l’intelligence artificielle doit ainsi aller de pair avec l’anticipation des possibles risques inhérents à cette nouvelle technologie ou qui pourraient l’affecter. De surcroît, la diffusion de bonnes pratiques est nécessaire.
Avec la création d’un Institut national pour l’évaluation et la sécurité de l’intelligence artificielle (INESIA), l’État matérialise son engagement en faveur d’un développement maîtrisé de l’IA dans un cadre de confiance et de sécurité.
Cet institut a pour mission de fédérer, sans création de nouvelle structure jurique, les acteurs nationaux de l’évaluation et de la sécurité, au premier rang desquels l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), le Laboratoire National de Métrologie et d’Essais (LNE) et le Pôle d’expertise de la régulation numérique (PEReN).
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Cet institut permettra à la France de jouer pleinement son rôle au sein du réseau international des AI Safety Institutes. Aux côtés du Canada, de la Corée du Sud, des Etats-Unis d’Amérique, du Japon, du Kenya, de Singapour, du Royaume-Uni ou encore l’AI Office de la Commission européenne, l’INESIA travaillera à promouvoir la sécurité, l’inclusivité et la confiance dans l’IA.
En structurant la recherche française en matière d'évaluation, dans un esprit de coopération et de soutien à l'innovation, au profit de l'écosystème et des citoyens, la création de l’INESIA constitue une étape décisive pour placer la France parmi les leaders mondiaux de l’IA.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigée par Finyear.com.
Même s'il a fait l'objet d'une sélection par la rédaction qui a jugé que son contenu pouvait relever d'une information totale ou partielle à soumettre aux lecteurs, seul l'émetteur de ce communiqué de presse ou Opinion est responsable de son contenu.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc...) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement. Tout investissement comporte des risques de pertes partielles ou totales en capital. La rédaction décline toute responsabilité.
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