La loi Fillon de 2003 portant réforme des retraites a confié au Conseil d’orientation des retraites (COR) la mission de rendre un avis technique, pour chaque génération, sur la durée d’assurance nécessaire pour une retraite à taux plein en fonction de l’espérance de vie.
Le COR s’était déjà prononcé en 2011, en fixant à 166 semestres la durée d’assurance nécessaire pour la génération née en 1955.
Le 25 septembre 2012, le COR s’est à nouveau prononcé et fixe également à 166 semestres la durée d’assurance nécessaire (41 ans ½) pour la génération née en 1956. Son calcul est effectué suivant les critères fixés par l’article 5 de la loi portant réforme des retraites, notamment l’espérance de vie à 60 ans telle qu’estimée par l’INSEE.
Suivant cet avis, un décret du 27 décembre 2012 a fixé à 166 semestres la durée d’assurance nécessaire pour bénéficier d’une pension de retraite à taux plein et la durée des services et bonifications nécessaire pour obtenir le pourcentage maximum d'une pension civile ou militaire de retraite pour les assurés nés en 1956.
Source :
Squire Sanders | Avocats Paris | www.ssd.com
Le COR s’était déjà prononcé en 2011, en fixant à 166 semestres la durée d’assurance nécessaire pour la génération née en 1955.
Le 25 septembre 2012, le COR s’est à nouveau prononcé et fixe également à 166 semestres la durée d’assurance nécessaire (41 ans ½) pour la génération née en 1956. Son calcul est effectué suivant les critères fixés par l’article 5 de la loi portant réforme des retraites, notamment l’espérance de vie à 60 ans telle qu’estimée par l’INSEE.
Suivant cet avis, un décret du 27 décembre 2012 a fixé à 166 semestres la durée d’assurance nécessaire pour bénéficier d’une pension de retraite à taux plein et la durée des services et bonifications nécessaire pour obtenir le pourcentage maximum d'une pension civile ou militaire de retraite pour les assurés nés en 1956.
Source :
Squire Sanders | Avocats Paris | www.ssd.com
Autres articles
-
NFT Factory s'envisage en mode itinérant avant de se ré-ancrer au coeur de la capitale
-
La startup française, Multis s'abrite désormais au sein de l'entreprise suisse, Safe,
-
Mon Petit Placement se place auprès du grand public
-
Shine : les deux co-fondateurs passent la main à la direction de la fintech
-
Spendesk fait l’acquisition d’Okko pour mutualiser la gestion des achats et des dépenses