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Finyear Eco - 6 novembre 2014 (n°5 - 16H00) | L’Europe aujourd’hui, la Chine demain

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel. Finyear Eco est exclusivement réservé aux investisseurs et aux conseillers financiers professionnels et n’est pas destiné aux particuliers.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco - 6 novembre 2014 (n°5 - 16H00) | L’Europe aujourd’hui, la Chine demain
N°5 - 16H00

L’Europe aujourd’hui, la Chine demain

Par Maarten-Jan Bakkum, Stratégiste Sénior Marchés Émergents, ING Investment Management

La sévère correction des marchés financiers au cours de ces dernières semaines était principalement imputable aux inquiétudes relatives à l’Europe. Les investisseurs voient la croissance de la zone euro se replier, alors que les risques déflationnistes augmentent et que les décideurs politiques semblent perdre le contrôle. La France continue à défier les autres États membres de la zone euro avec un déficit budgétaire trop élevé et un manque de réformes. En outre, la Grèce a de nouveau été touchée par une tempête la semaine passée. Par conséquent, des doutes quant à la pérennité des ratios d’endettement élevés des pays du sud de l’Europe ont refait surface.

Étant donné que la source des récentes craintes se situe en Europe, les marchés émergents sont restés jusqu’à présent relativement épargnés par la correction. Tous les marchés ont certes perdu du terrain, mais dans une moins large mesure qu’en Europe. Ceci est notamment lié au fait qu’une grande partie des attentes irréalistes relatives à la croissance du monde émergent ont déjà été ajustées au cours de ces dernières années.

Par ailleurs, les développements au sein de la zone euro peuvent avoir un impact positif sur les marchés émergents. Ces dernières années, la pérennité des flux de capitaux vers les marchés émergents a été remise en cause dans un contexte de diminution de l’assouplissement monétaire aux États-Unis. Or, en raison des problèmes en Europe, la BCE est désormais contrainte d’adopter un assouplissement quantitatif, tandis que la Fed doit temporairement reporter son premier relèvement des taux. Ceci est une bonne nouvelle pour les marchés émergents qui sont largement tributaires des capitaux étrangers.

Alors que la croissance décevante en Europe pose problème aux pays exportant beaucoup vers l’ancien continent, elle est donc bénéfique pour les pays émergents ayant besoin de capitaux étrangers pour financer la croissance de leurs crédits et leurs déficits courants. La baisse des taux en Europe et aux États-Unis contribuera indéniablement à alléger la pression dans de nombreuses parties du monde émergent. Globalement, l’effet sera positif à court terme. D’importants flux de capitaux vers les obligations des marchés émergents devraient entraîner une appréciation des devises et un redressement des marchés d’actions.

Un problème substantiel continue néanmoins à justifier une grande prudence à l’égard des marchés émergents : la Chine. Le principal moteur de la croissance du monde émergent a en effet des ratés. Les risques augmentent. Le marché immobilier est en chute libre, ce qui exerce d’importantes pressions sur la croissance et le système financier. La Chine est par ailleurs confrontée à des sorties de capitaux depuis le début de l’année. Il s’agit d’un nouveau défi pour les décideurs politiques et ceci devrait inciter les investisseurs à se montrer plus prudents.

Dans le climat de nervosité qui règne actuellement sur les marchés financiers, l’attention des investisseurs pourrait glisser de l’Europe vers la Chine. Dans ce cas, les marchés émergents seraient vulnérables. Nous avons observé ceci à plusieurs reprises ces dernières années, après l’annonce d’un déclin de la croissance ou de problèmes du système bancaire en Chine.

ING Investment Management


N°4 - 11H00

Les révélations sur les pratiques fiscales du Luxembourg risquent de peser sur Juncker

Plus de 300 multinationales ont négocié leur niveau d'imposition avec le Luxembourg selon une enquête menée par l'ICIJ. Le nouveau président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker,à la tête du Grand-Duché pendant plus de 18 ans, est directement mis en cause.

Une enquête réalisée par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) révèle que le Luxembourg fait office de refuge fiscal pour plus de 300 multinationales qui échappent ainsi à la fiscalité de leur pays. Parmi celles-ci, PepsiCo Inc., AIG Inc. ou encore Deutsche Bank AG ont pu ainsi économiser des milliards de dollars en faisant transiter par le Grand-Duché des sommes colossales qui se comptent en centaines de milliards de dollars, révèle l’enquête qui se fonde sur 28 000 pages confidentielles...

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N°3 - 10H30

UBS daily roundup - Politics, policy, and politics and policy

Paul Donovan daily briefing.

• The US mid-term election (partial) results were taken well by financial markets. The key investor flash points now are likely to be government shutdown risks and debate about Fed independence (markets will want Congress to realise that economists, not politicians, should run central banks).

• The Bank of England meets on policy – having been early to tighten quantitative policy (from Q2 2013) and innovative in tightening regulatory policy (announced over the summer) the pressure for action on interest rates may have diminished somewhat.

• With Euro area inflation not seen falling further, and political pressures swirling around the topic, we do not see the ECB pursuing an open ended commitment to purchase Euro government bonds. However, in the wake of Japanese PM Abe's quantitative policy change last week, the topic is bound to be raised today.

• The US has a trio of Fed speakers, but of more interest for the medium term it also has productivity and unit labour cost data. With around two thirds of US inflation coming from labour costs, this is pertinent to issues around the timing of US interest rate changes.

www.ubs.com/investmentbank


N°2 - 10H00

US Indices Rise in the Wake of Republican Triumphs in the Midterms, Commodities Continue to Fall

Asian shares and commodity currencies stumbled on Thursday as prices for a host of commodities retreated due to lingering concerns over slower global growth, while Tokyo stocks stepped back after posting large gains in a Bank of Japan-inspired rally. Meanwhile, U.S. stocks rose on Wednesday, with both the S&P 500 and Dow advancing to records after Republicans took control of the Senate, allaying fears of drawn-out runoffs and raising investor hopes for more business- and energy-friendly policies. The Dow rose 100 points to close at a record high of 17,484 and the S&P500 closed 11 points higher at 2023.

The Dollar was down 0.2 percent at 114.39 Yen after storming to a seven-year high of 115.52. Meanwhile, the Euro traded at $1.2483 - near a two-year low of $1.2439 hit on Monday - undermined by concerns that the Euro zone economy could be slipping into recession and deflation. The Australian Dollar flirted with a four-year low of $0.8606 hit on Wednesday, while the Canadian Dollar stood near five-year lows of C$1.1466 to the U.S. Dollar.

Gold fell as low as $1,137.40 per ounce on Wednesday, down 2.3% in its second-largest one-day drop so far this year. It last traded at $1,143.80. Silver fetched $15.31 per ounce after a 4.1 percent fall on Wednesday. Copper, a barometer of global demand, eased 0.3% to $6,618.25 per tonne, weighed by worries of softening consumption in China. Smaller than expected rise in U.S. crude inventories also supported prices, with U.S. crude futures traded at $78.70 per barrel, off two-year lows of $75.84 hit on Tuesday.

In equities Marks and Spencer’s continues its run after yesterday’s results with the stock currently trading 5% higher (nearly 15% in two days) trading at 467p. Continuing the Grocer theme J Sainsbury Plc's answer to discounters Aldi and Lidl was unveiled on Thursday, with the opening of its first Netto-branded store in northern England tasked to win over thrifty shoppers. Morrison’s, Britain's No. 4 grocer, posted another big fall in quarterly underlying sales, continuing to be hurt by its move to cut prices to counter a loss of market share to the discounters and by a weak overall food market, the stock is currently trading up 3.5% at 168p per share.

Today’s macroeconomic data releases include UK Industrial production figures (9.30am), the UK Interest Rate Announcement (12pm) and US Jobless Claims at (13.30).

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.com


N°1 - 9H00

Les marchés ont les yeux rivés sur la BCE

Marchés actions
Sur les marchés actions, les principaux indices à travers le monde ont clôturé en territoire positif, à l’exception du Nasdaq qui a cédé 0.06% à 4 620.72 points, les marchés saluant notamment la victoire des républicains aux Etats-Unis. En effet, ces derniers ont réussi à récupérer le bon nombre de sièges pour contrôler le Sénat, ce qui laisse suggérer un avenir plus favorable aux entreprises, et tout particulièrement celles liées au secteur énergétique. Le Dow Jones et le S&P500 côtoient des niveaux records à présent avec une progression respectivement de 0.58% et 0.57% à 17 484.53 points et 2 023.57 points. L’autre événement qui a rassuré les marchés provient de la publication du résultat de l’emploi américain dans le secteur privé par l’ADP qui montre la création de 230k contre 220k attendu. A noter que le rebond effectué par le baril de pétrole, après ses fortes chutes les derniers jours, a été favorable aux pétrolières, qui « pèsent lourd » au sein des indices américains.

Un peu plus tôt dans la journée, les indices européens avaient également fortement rebondi, le CAC 40 s’adjugeant notamment 1.98% à 4 208.42 points, tout comme le Dax et le Footsie qui progressent respectivement de 1.63% et 1.32%.

Il y a quelques dizaines de minutes, la Bourse de Tokyo a souffert en concédant 0.86% à 16 792.48 points après plusieurs séances de forte progression suite à l’annonce de la BoJ Vendredi dernier. Rappelons que la BoJ a mis en place de nouvelles mesures de soutien à l’économie, notamment en augmentant fortement son volume de rachat d’actifs de 20 milliards de dollars.

Selon les dernières indications disponibles, les principales bourses européennes sont attendues en léger repli ce matin à l’ouverture, avant la conférence mensuelle du président de la BCE, Mario Draghi. Ce dernier semble sous pression alors que certaines voix s’élèvent contre la gestion de sa politique et face à une Allemagne toujours réfractaire à enclencher plus de mesures de soutien à l’économie.

Forex
Sur le marché des devises, la monnaie unique baissait face au dollar mercredi, toujours sujette aux inquiétudes persistantes concernant la santé de l'économie de la zone euro sur fond de rumeurs de dissensions au sein de la Banque centrale européenne.

La croissance de la zone euro ne devrait pas dépasser 0,8% cette année et 1,1% en 2015, selon les prévisions économiques d'automne rendues publiques mardi par la Commission, qui s'est ainsi montrée nettement plus pessimiste qu'au printemps dernier. Les inquiétudes concernant la France étaient accentuées mercredi par le fait que l'activité dans le secteur privé dans le pays, industrie et services confondus, a poursuivi sa contraction en octobre. Pour le cabinet Markit, qui publie les indices PMI composite, la situation en France est préoccupante, et le fait que la croissance de l'activité privée a montré des signes d'essoufflement en octobre dans l'ensemble de la zone euro témoigne d'une "économie chancelante semblant pencher davantage du côté de la détérioration que d'un regain de dynamisme".

Dans ce contexte, les cambistes attendent avec prudence la décision de politique monétaire de la BCE jeudi, et cette prudence a encore été renforcée mardi par des rumeurs selon lesquelles Mario Draghi, le président de la BCE, serait mis en difficulté par plusieurs banquiers centraux en zone euro. Les cambistes seront ainsi particulièrement attentifs à la conférence de presse de M. Draghi suivant la décision de politique monétaire de la BCE.

De son côté, le dollar tirait parti jeudi de la victoire des républicains lors des élections de mi-mandat aux États-Unis.
En effet, le Sénat et la Chambre des représentants tenus par les républicains tandis que la présidence revient aux démocrates est une situation créant une sorte de blocage, il serait donc peu probable de voir des changements de politique significatifs dans les deux ans à venir jusqu'à la prochaine élection présidentielle. Mercredi, le dollar profitait aussi de l'annonce d'une hausse plus forte qu'attendu des créations d'emplois dans le secteur privé aux États-Unis en octobre, avec 230.000 nouveaux emplois. Les cambistes sont particulièrement attentifs à ces données car la Réserve fédérale américaine (Fed) fait de l'amélioration notable et pérenne du marché du travail la condition d'un éventuel resserrement monétaire. En attendant, les cambistes décortiqueront aussi jeudi les demandes hebdomadaires d'allocations chômage.

Ce jeudi, la paire majeure du forex s’échange aux environs de $1,2511.

Outre-Manche, la livre sterling a cédé du terrain face au dollar après la publication de l’indice Markit des directeurs d'achat (PMI) inférieur aux attentes et à son plus bas niveau depuis mai 2013 dans le secteur des services au mois d'octobre. Il a atteint 56,2 points après 58,7 points en septembre. Les économistes attendaient en moyenne 58,5 points. Suite à cette annonce, la livre perdait jusqu'à 0,84%, s'échangeant à 1,58688 dollar, son plus bas niveau depuis un an. Ce matin le cable évolue autour de $1,5986 et la paire EURGBP aux environs de £ 0,7822.

Le dollar a atteint son plus haut niveau face au yen depuis sept ans, stimulé par des signes de vigueur de l'économie américaine et les élections de mi-mandat qui ont vu les républicains prendre le contrôle du Sénat .

La monnaie du Japon a, pour sa part, baissé par rapport à la plupart de ses concurrents les plus importants après que le gouverneur de la Banque du Japon, Haruhiko Kuroda a dit qu'il ne voyait pas de limite aux étapes pour vaincre la déflation.
Ainsi le billet vert s’échange aux environs de 114,37 yens ce matin et l’euro à 143,06 yens.

Matières premières
Le WTI revient dans le vert ce jeudi, après avoir rebondi mercredi soir à New York.

Le WTI sur le contrat décembre était à $78.91 le baril en hausse de 23 centimes de matin. Celui-ci a grimpé de $1.49 à $78.68 hier après avoir touché un plus bas à $76.47. Il y a eu peu de contrats échangés, le volume était de 46% inférieur à la moyenne des 100 jours. Le Brent lui était en hausse de 15 centimes à $83.10 le baril, la prime avec le WTI s’est contractée à $4.21.

Les acheteurs ont été soutenus par des informations au sujet d'attaques sur les champs pétroliers libyens qui ont entraîné une baisse de plus de 30% de la production journalière, et l'annonce d'une explosion sur un oléoduc saoudien. Le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, qui représente son pays auprès de l'OPEP, a rencontré le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Naimi. Il aurait déclaré que l’effondrement des prix était une préoccupation pour tout le monde sans pour autant annoncer une baisse de la production.

C’est sur les statistiques que tout s’est joué, la hausse moins forte que prévue des stocks de brut aux Etats-Unis la semaine dernière a dopé les prix. Les stocks ont augmenté de 460 000 barils soit un chiffre inférieur au consensus.

Sur les métaux, l’or est massivement vendu sur les marchés depuis maintenant quelques semaines, l’appréciation du dollar ne profite pas au métal jaune. Le contrat décembre sur l’or a diminué de 0.2% à $1144 l’once après avoir connu un plus bas sur les $1137.10. Les placements dans le SPDR Gold Trust ont diminué pour une deuxième journée hier, atteignant la plus faible valorisation depuis Septembre 2008. En effet, près de 1.9 milliards de dollars de valeur ont été effacées dans le fonds de métaux précieux.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- PhotoBox signe un accord pour acquérir Hofmann, fournisseur espagnol de livres photo 04/11/2014
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- Ateliers Mécaniques de Bussière entre dans le giron de Mécapole 04/11/2014
- Cotty Vivant Marchisio & Lauzeral et Squire Patton Boggs sur l’investissement de Kantar Retail dans la société Planorama 04/11/2014
- Le Chatelard 1802 lève 1,5 M€ grâce à Audacia 04/11/2014
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- Bouygues Immobilier prend une participation de 40% dans Les Jardins d’Arcadie 04/11/2014
- Le Groupe Josso ouvre son capital au Groupe PGS 04/11/2014
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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 6 Novembre 2014




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