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Finyear Eco | 6 janvier 2015 (n°5 - 14H00) : La Réserve Fédérale sera attentive à ne pas reproduire la même stratégie monétaire qu’en 1994 !

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Le quotidien Finyear offre aux investisseurs et aux conseillers professionnels des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco | 6 janvier 2015 (n°5 - 14H00) : La Réserve Fédérale sera attentive à ne pas reproduire la même stratégie monétaire qu’en 1994 !
N°5 - 14H00

La Réserve Fédérale sera attentive à ne pas reproduire la même stratégie monétaire qu’en 1994 !

Pierre Guillemin, Directeur de la gestion diversifiée et actions chez Swiss Life Asset Managers, nous livre ses perspectives de marché pour les prochains mois.

2015 sera l’année du resserrement monétaire américain. Comment voyez-vous évoluer la politique monétaire de la Réserve Fédérale ?

Le consensus de marché table sur une première remontée des taux directeurs au printemps 2015. Nous constatons que chaque communication de la Fed est susceptible de faire réagir vivement les marchés : le mouvement correctif du mois d’octobre en est un exemple, puisqu’il a été essentiellement causé par quelques rumeurs autour d’une remontée précoce des taux. Notre scénario est plutôt celui d’un « tapering » en douceur, assez progressif dans le temps. La banque centrale américaine est attentive à ne pas reproduire la même stratégie qu’en 1994, qui avait fait plonger les marchés obligataires. Elle peut d’ailleurs s’appuyer sur des conditions de marché sensiblement différentes de l’époque, qui faciliteront le pilotage du resserrement monétaire.

En quoi le contexte actuel est-il différent ?

Le prix des matières premières est un facteur déterminant. En 1994, il existait une forte pression haussière sur les matières premières : gaz naturel, métaux industriels. Cette tension inflationniste avait poussé la Fed à agir prématurément, avec une vive remontée des taux qui avait surpris les marchés. Aujourd’hui, nous observons au contraire une conjonction de facteurs divergents, avec d’un côté une reprise économique assez soutenue aux Etats-Unis, favorisée par la baisse du chômage et le regain de la demande intérieure, de l’autre des cours des matières premières, dans l’ensemble, baissiers. Dans ce contexte, le niveau d’inflation reste contenu et la faiblesse des coûts énergétiques est bénéfique aux marges bénéficiaires des entreprises. Cet environnement justifie une hausse modérée des taux directeurs. Les restrictions progressives des conditions de financement seront mieux absorbées par les entreprises, grâce à l’effet positif du prix des matières premières permettant de réduire les coûts de production industrielle.

« Le concept ‘Smart Beta’ permet de mieux gérer le profil rendement/risque des portefeuilles »

Quelles sont vos préférences en termes d’allocation d’actifs ?

Nous continuons de favoriser les actions tout en étant très attentif à la façon de surpondérer la classe d’actif. Nos analyses nous indiquent de surpondérer les stratégies défensives de Mininum Volatilité à ce moment de l’évolution des marchés financiers. L’approche quantitative que nous déployons depuis de nombreuses années chez Swiss Life Asset Managers, nous permet d’identifier les phases des marchés actions pour lesquelles les schémas de construction de portefeuille sous forme Minimum Volatilité sont plus adaptés que d’autres.

Concernant l’univers obligataire, nous préférons les taux sans risque (Bund allemand, T-Note américain, Gilt britannique) aux dettes périphériques. De son côté, le crédit corporate, en haut de cycle, semble relativement cher, ce qui impose d’être sélectif dans le choix des émetteurs. Quant à la duration de nos positions obligataires, actuellement de 6,5, nous étudions en ce moment la meilleure manière d’en gérer le cycle afin de rendre nos portefeuilles plus dynamiques sur cet aspect du risque. La gestion de la duration permet d’ajuster la sensibilité au risque de taux du portefeuille, afin de protéger celui-ci contre une éventuelle tension significative des taux longs, les premiers à réagir en cas de resserrement des conditions monétaires.

Comment l’approche quantitative que vous évoquiez se caractérise-t-elle ?

Notre philosophie d’investissement s’appuie étroitement sur la recherche académique, qui, pour nous, est essentielle. Nous développons notre analyse du cycle économique grâce à des outils probabilistes. L’agrégation d’indicateurs économiques hebdomadaires, mensuels et trimestriels, sur chacune des grandes zones géographiques, aboutit à la constitution de quatre indices, permettant d’évaluer la situation de l’inflation, de l’emploi, des capacités d’utilisation et du sentiment des agents économiques. Ces derniers sont ensuite agrégés en un unique indice, l’indice global de santé économique, grâce auquel nous obtenons une projection des perspectives probables d’évolution du cycle conjoncturel. In fine, nous calculons l’allocation d’actifs optimale en fonction de ce scénario.

Cette allocation est ensuite comparée à une construction de portefeuille basée sur une parité des risques entre les différentes classes d’actifs. La combinaison de ces deux approches, totalement complémentaires par construction, nous fournit les portefeuilles-modèle que nous mettrons en oeuvre dans nos fonds et mandats.

De plus, nous développons nos analyses par classes d’actifs. Nous avons par exemple conçu un modèle de construction de portefeuille actions autour du concept « Smart Beta » (Minimum Volatilité, Risk parity, Equal-weighted) pour contrôler notre profil rendement/risque. Ce modèle permet de gérer la dynamique des marchés et d’y adapter les schémas de Smart Beta les mieux adaptés au contexte de risque prévalant à tout instant. La conséquence de cette approche est un abaissement général du beta actions des portefeuilles (le beta moyen de notre allocation est aujourd’hui de 0.83) et surtout, une plus grande stabilité des rendements réalisés. In fine, il est fondamental, à nos yeux, de construire des portefeuilles les plus robustes dans le temps pour générer des profils rendement/risque attractifs.

A propos de Swiss Life Asset Managers
Fort d’une expertise en gestion d’actifs, acquise depuis plus de 150 ans, et de la solidité du Groupe Swiss Life, Swiss Life Asset Managers a développé une offre complète de produits et de services. Celle-ci s’appuie sur les compétences avérées des différents métiers de la gestion d’actifs en intégrant la gestion des risques pour servir à ses clients des performances régulières et durables. Au 31/12/2013, Swiss Life Asset Managers gère 104,1 milliards d’euros pour le compte du Groupe Swiss Life et 22,5 milliards d’euros pour le compte de clients externes en France, Suisse et Allemagne.
www.swisslife-am.com


N°4 - 12H00

Quatre certitudes au sujet de la Grèce

Une note de Christopher Dembik, Economiste, Saxo Banque.

Le retour de l’aversion au risque en ce début d’année s’explique par la conjonction de trois facteurs : la baisse sans précédent du prix du baril de pétrole, le retour de la crise souveraine européenne par le truchement de la Grèce et, enfin, les fortes attentes de la part des opérateurs vis-à-vis de la BCE.

C’est toutefois, à court terme, certainement l’échéance électorale grecque qui provoque le plus d’inquiétudes. Donnée nouvelle, elle est intégrée par les investisseurs dans les prix offerts par le marché, ce qui a entraîné la forte chute des indices en ces premiers jours de janvier.

Le risque politique ne peut pas être appréhendé parfaitement, c’est pour cela qu’il peut causer d’importantes perturbations sur les places boursières.

A propos de la Grèce, nous avons toutefois quatre certitudes :

- La Grèce ne sortira pas aujourd’hui ni demain de la zone euro mais la question pourrait se poser à plus long terme car le pays n’a toujours pas renoué avec la compétitivité et son endettement s’est considérablement alourdi à cause des errements de l’austérité aveugle. A court terme, il n’y a aucune raison qu’après les efforts massifs consentis par les Grecs et la solidarité manifestée par les autres pays de la zone euro que Syriza et / ou la troïka choisissent la voie de la rupture et le retour à la drachme. Les récentes tribulations allemandes pour faire pression sur la Grèce sont vaines et ne traduisent très certainement pas un changement réel de ligne politique à Berlin.

- L’Europe n’est pas complètement armée pour faire face à un défaut souverain de la Grèce. En dépit des garde-fous que constituent le MES et le programme OMT de la BCE, il sera très difficile de circonscrire les conséquences d’un Grexit. Les précédents historiques montrent qu’il est quasiment impossible de maintenir en l’état une union monétaire lorsque le processus de décomposition a commencé. Les marchés financiers ne manqueront pas de se tourner vers les autres pays vulnérables où la croissance est atone voire négative, où l’inflation est problématique et où la soutenabilité de la dette est une question ouverte. On pense bien-sûr à l’Italie mais également, dans une moindre mesure, à la France qui ne peut pas se satisfaire de son statut de moins mauvais emprunteur de la zone euro.

- Il parait indéniable que la prochaine réunion de la BCE qui doit, à en croire le consensus, conduire à l’annonce d’un QE souverain, sera parasitée par les élections législatives en Grèce qui auront lieu le 25 janvier. Il n’est pas certain que la BCE soit à l’aise de lancer officiellement un vaste programme de rachats de dettes souveraines avant même que le nouveau gouvernement grec soit constitué et que son agenda politique soit dévoilé. Il y a donc un risque élevé de déception du marché lors de la journée du 22 janvier.

- Les conséquences d’un Grexit sont mal connues et difficiles à estimer. Les chiffres de plusieurs dizaines de milliards d’euros qui sont évoqués peinent à prendre en compte toutes les conséquences possibles. On peut toutefois considérer qu’un scénario catastrophe pour les économies nationales n’est pas automatique. Le risque de bond de l’inflation n’est pas inévitable et dépendra étroitement des choix de politique monétaire et de politique budgétaire. Surtout, les économies ont de fortes chances de s’adapter en l’espace de seulement quelques années au nouveau paradigme en réorientant leur offre vers les nouveaux marchés qui seraient apparus. C’est la conclusion qu’on peut tirer notamment de l’éclatement de l’Empire austro-hongrois. A défaut de permettre d’envisager avec précision l’avenir, l’Histoire peut fournir un éclairage intéressant.


N°3 - 11H30

In the Spotlight: Oil and Indices, the Euro, Verizon and AOL

Happy New Year?

International Indices plummeted yesterday as oil prices slumped still further, with Brent Crude dropping below $53 a barrel for the first time since 2009 while West Texas Crude dropped below the psychological barrier of $50 per barrel. In the US, the Dow fell by 1.86% to 17,501.65 and the S&P dropped by 1.83% to a 2020.58 level, while in Japan the Nikkei was also heavily hit, closing down by 3.02% this morning. Yesterday the FTSE dropped by around 2%, registering its worst first Monday of the year since records began, and today the FTSE is currently down by more than 1%.

EuroCrisis 2015?

The Euro hit a 9 year low against the Dollar on Sunday evening, briefly touching a level of 0.84163, a figure not seen since early March 2006. Continued turmoil in Greece continues to unnerve the markets, with an upcoming general election set for the 25th January heralding the distinct possibility of success for the Far Left Syriza coalition. This past Friday the German daily Der Spiegel reported that Chancellor Angela Merkel and Finance Minister Wolfgang Schaeuble are of the opinion that the Euro will be able to withstand a Greek exit. Though this report may have been intended to calm general fears over the possibility of a Greek goodbye, the currency’s subsequent slump seems to suggest that markets were disconcerted by the apparent acceptance of that course by the Eurozone’s most powerful economy. The Greek ASE index dropped by a further 5.6% yesterday; it is closed today for the Epiphany holiday.

Takeover Tuesday

Bloomberg is reporting this morning that Verizon has spoken to AOL about the possibility of a takeover. Although Bloomberg has stressed that no formal proposal has been made, AOL stock rose by 11.87% in after-hours trading yesterday.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk


N°2 - 9H30

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European equities are trading lower this morning failing to stage a rebound after yesterday’s sharp decline.
Continuing uncertainty surrounding the upcoming Greek election and the potential fall-out of Greece possibly leaving the Euro is spooking investors.

News out of China that major infrastructure projects will be accelerated to boost growth and that a services PMI showed are rise has so far done little to boost the mood of traders.
With the overall sentiment having turned substantially negative over the past few days any positive news is likely to be ignored or will only have a limited temporary impact on markets.

Continuing to draw major attention is the sharply falling oil price, while in the medium to long-term lower energy prices are positive for growth in the short-term however many see the ongoing collapse in oil prices as a sign that economic growth especially in the Euro-zone and China won’t recover any time soon.

Technically markets are heavily oversold however with uncertainty especially what Greece is concerned likely to stay around nobody feels in a real rush to take advantage of lower share prices just yet instead the general consensus seems to be that in the days ahead stocks will become even cheaper.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°1 - 9H00

La fermeté allemande met une nouvelle fois les marchés à rude épreuve

Marchés actions
Les places boursières américaines ont enregistré une lourde perte sur la séance d’hier, plombées par les inquiétudes sur une sortie éventuelle de la Grèce de la zone euro et dans un contexte économique morose avec des risques déflationnistes en Europe et également en Chine. Les investisseurs craignent également un éclatement de la bulle du pétrole de schiste aux Etats-Unis, ce qui pousserait un grand nombre d’entreprises en faillite. Dans ce contexte, le Nasdaq recule de 1,57% à 4 652,57 points, le S&P s’affiche en baisse de 1.83% à 2 020,58 points et le Dow Jones perd 1,86% pour terminer la séance à 17 501,54 points.

La tendance est similaire du côté des marchés asiatiques ce matin dans le sillage de Wall Street, pénalisés par les mêmes raisons. Le maintien du yen face à ses principales contreparties n’a pas favorisé la tendance. Le Nikkei termine ainsi en baisse de 3,02% à 16 883,19 points et le Topix perd quant à lui 2,85% à 1 361,14 points.

Sur les marchés européens, les indices ont également fortement reculé hier pénalisés par la baisse des cours de l’or noir et les doutes sur le maintien de la Grèce au sein de la zone euro. La Chancelière allemande, Angela Merkel avait en effet laissé planer le doute en se disant prête ce weekend à laisser sortir la Grèce de la zone euro si la gauche radicale prenait le pouvoir dans le pays lors des élections législatives qui se tiendront le 25 janvier prochain. L'indice CAC 40 chute de 3,31% à 4.111,36 points, tandis que Francfort a lâché 2,99% et Londres 2,00% pour terminer respectivement à 9 473.16 points et 6 417.16 points. Quelques minutes avant l’ouverture le contrat à terme de l’indice parisien perdait 0,76% à 4 218,5 points.

Forex
Du côté du marché des devises, l’Euro a continué à souffrir face à sa principale devise de contrepartie, à savoir le dollar, revenant ainsi à son plus bas niveau depuis près de neuf ans. Cette réaction est due aux craintes de plus en plus importantes de voir la Grèce quitter l’Union Européenne. En effet, les campagnes électorales ont débuté pour les législatives en Grèce, et le parti anti européen et anti austérité pourraient s’imposer alors qu’ils pointaient en tête des sondages en fin d’année dernière.

De plus, au vue de la situation économique au sein de la zone euro, les investisseurs s’accordent de plus en plus à dire que la BCE se dirige inexorablement vers la mise en place d’un programme de rachats de dettes souveraines. En effet, dans une interview publiée vendredi dernier, Mario Draghi a indiqué être prêt à agir pour contrer un scénario déflationniste dans la zone euro. Après avoir touché son plus bas niveau hier à 1.1850, le cross EURUSD remontait ce matin à 8h30 aux alentours des 1.1954.

De même, face à la devise nippone, l’Euro concède également du terrain. Face à ces multiples inquiétudes, les investisseurs en profitent pour se tourner vers des valeurs refuges comme le Yen, permettant au Yen de grappiller du terrain face à un large panel comprenant les paires de devises majeures. L’EURJPY s’échange ce matin proche de ses niveaux du début du mois de Novembre dernier à 142.19.

Le CAD et le Rouble se sont retrouvés dans le rouge hier, entrainés par la chute continue du baril de pétrole, le WTI passant notamment sous la barre des 50$. La Russie étant le plus gros exportateurs de pétrole au monde, le rouble a été particulièrement attaqué, perdant jusqu’à 8.7% à 60.85$ pour 1 dollar.

Matières premières
L’actualité des matières premières reste marquée ce matin par le passage du pétrole américain sous la barre symbolique des 50 dollars le baril dans un contexte où les stocks américains devraient augmenter.

En effet, les stocks du plus grand pays consommateur de pétrole au monde devraient probablement augmenter de 750 000 barils pour la semaine qui vient de s’écouler. Cette anticipation exacerbe encore un peu plus un climat de surabondance de l'offre mondiale. Par ailleurs, personne n’est prêt à couper sa production, et certains pays seraient même prêts à l’étendre come en Afrique de l’Ouest, en Amérique latine, aux États-Unis et au Canada, alors même que la Russie et l'Irak ont déjà fait état d’une augmentation de leur production, comme l’a indiqué Morgan Stanley hier dans une note de recherche. L'Iran peut stimuler les exportations outre-mer d'environ 500 000 barils par jour si les sanctions occidentales sont levées, a indiqué la banque. Tout cela entraine par conséquent les prix au plus bas niveau depuis le mois d’Avril de 2009.

On notera que quelques tensions sont apparues en Libye, où un pétrolier grec a été bombardé près d'un port à l'est après avoir échoué à fournir des détails sur son itinéraire selon Ahmad al-Mismari, un porte-parole de l'armée.

Plus précisément ce matin, le WTI pour livraison Février abandonne encore 53 centimes à $ 49,51 le baril dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange poursuivant sa chute de près de $ 2,65 hier dans des volumes en ligne avec la moyenne à 100 jours. Le Brent pour règlement Février est lui aussi dans le rouge de 68 centimes, ou de 1,3 pour cent, à $ 52,43 le baril sur l’ICE de Londres. La prime du brut sur le WTI s’établit à 2,96 $ aujourd'hui.

Dans un contexte d’aversion au risque, les métaux progressent une nouvelle fois. Après avoir clôturé hier aux abords des 1205$ l’once, l’or se traite ce matin aux encablures des 1210$. L’argent a confirmé hier son franchissement à la hausse de la barre symbolique des 16$ l’once et traite en ce moment à 16.26$. Le platine marque sa différence en restant plus stable ce matin, et traite sur les mêmes niveaux qu’hier aux alentours des 1214$.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mardi 6 Janvier 2015




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