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Finyear Eco | 4 mars 2015 (n°6 - 14H45) | Behind the Curve (Kepler Cheuvreux)

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Le quotidien Finyear offre aux investisseurs et aux conseillers professionnels des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco | 4 mars 2015 (n°6 - 14H45) | Behind the Curve (Kepler Cheuvreux)
N°6 - 14H45

Behind the Curve (Kepler Cheuvreux)

La récente audition de Janet Yellen devant le Sénat américain lui a donc donné l’occasion de faire savoir que la Réserve Fédérale Américaine n’était pas pressée de relever ses taux directeurs, en tout cas qu’une remontée des taux était « peu probable » avant juin. Cela repousse probablement à septembre la date de la première remontée de taux, une telle décision ne pouvant raisonnablement pas se prendre durant l’été, où l’absence de nombreux investisseurs et la faiblesse des volumes tend à exacerber les mouvements des marchés financiers.

Ainsi, malgré un rythme de création d’emplois de retour sur ses plus hauts, en dépit de l’augmentation des salaires supérieure à l’inflation, la présidente du FOMC se dit plus préoccupée par le ralentissement chinois et le risque de déflation en Europe que par la nécessité de normaliser la politique monétaire des Etats-Unis.

Si elle peut se permettre d’attendre, c’est bien sûr grâce à la chute des matières premières, qui a permis à l’économie américaine d’afficher un recul (modéré) des prix sur 1 an. Mais, non seulement l’inflation sous-jacente reste proche des 2%, mais de surcroit, les effets transitoires de la chute des matières premières vont s’estomper progressivement et faire remonter les anticipations d’inflation tout au long de l’année. Ainsi, la Fed aurait plutôt intérêt à commencer à durcir sa communication plutôt que la rendre plus accommodante.

En réalité, ce message de patience traduit surtout les craintes que la Fed peut avoir des effets potentiels d’un premier durcissement monétaire 8 ans après le déclenchement de la crise des subprimes, et notamment des répercussions sur les devises, sur les marchés obligataires, et en définitive sur l’économie mondiale.

Les adeptes de la théorie du temps cyclique rappelleront que c’est un durcissement monétaire (et budgétaire) trop important qui, en 1937, avait replongé les États-Unis en crise et vu le Dow Jones abandonner la moitié de sa valeur… Soit précisément 8 ans après le début de la grande dépression.

Jean-Gabriel ATTALI
Stratégiste Cross Asset
Kepler Cheuvreux - Investment Solutions

L’ACTU EN CHIFFRES

14% de performance depuis le début de l’année 2015 pour l’indice Euro Stoxx 50
Les actions européennes profitent largement de l’affaiblissement de l’Euro et des annonces de la Banque Centrale Européenne qui commencera ses rachats ce mois.

7,2% de croissance prévue pour l’économie chinoise au premier trimestre 2015
La chine a vu sa croissance ralentir en 2014 notamment en raison d’un tassement du secteur immobilier et d’une contraction de l’activité industrielle.

0,3% d’augmentation de la dépense des ménages américains en janvier 2015
L’amélioration du marché de l’emploi et la chute des prix des matières premières, et notamment du pétrole, ont permis aux ménages américains d’accroitre leurs dépenses de consommation. Avec une croissance annualisée de l’économie qui s’affiche à 2,2% en rythme annualisé au 4ème trimestre après 5% au 3ème trimestre, les États-Unis affichent un fort dynamisme.

Kepler Cheuvreux


N°5 - 11H00

Le volume des ventes du commerce de détail en hausse de 1,1% dans la zone euro

En hausse de 0,8% dans l’UE28.

En janvier 2015 par rapport à décembre 2014, le volume des ventes du commerce de détail corrigé des variations saisonnières a augmenté de 1,1% dans la zone euro (ZE19) et de 0,8% dans l’UE28, selon les estimations d'Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.
En décembre, le commerce de détail avait progressé de 0,4% dans les deux zones.

EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat


N°4 - 10H45

PMI services français : Il est encore trop tôt pour se réjouir...

Une note de Christopher Dembik, Économiste, Saxo Bank.

Le PMI services français est en ligne avec l’estimation flash, à 53,4 pour le mois de février. C’est la confirmation que le secteur des services, dominant dans l’économie française, renoue avec la croissance. Un retour progressif de la confiance et une consommation en hausse expliquent cet élan positif qui contraste avec la mauvaise performance persistante du secteur manufacturier.

Toutefois, le PMI services n’est pas à l’abri d’une chute dans les prochains mois du fait de nombreuses incertitudes pesant sur la dynamique économique. Une hausse de la fiscalité locale est notamment probable dans la foulée des prochaines scrutins électoraux afin de faire face à la baisse des dotations aux collectivités locales et de mettre en place la réforme territoriale, ce qui pourrait gripper la consommation. Les mois à venir seront donc cruciaux pour confirmer l’embellie économique encore fragile qui se dessine.

Le choc extérieur positif provoqué par un euro et un pétrole faibles pourraient permettre d’atteindre l’objectif de 1% de croissance en 2015. Si la dynamique positive s’amplifie, il n’est pas exclu d’avoir une bonne surprise à la fin de l’année. Mais, dans tous les cas, il ne faut pas trop attendre des retombées bénéfiques du contre-choc pétrolier et de la stratégie de dévaluation de l’euro menée par la BCE puisqu’elles ne permettront pas de faire reculer durablement le chômage. Même les scénarios les plus optimistes, qui tablent sur une progression potentielle du PIB de l’ordre de 1,5% cette année, n’anticipent pas de déclin net du taux de chômage.

Comme le montre l’évolution sectorielle, lorsqu’il y a hausse des effectifs, elle se fait dans des proportions marginales. Il s’agit, au demeurant, très souvent d’emplois précaires qui permettent de répondre à des besoins ponctuels et qui ne se convertissent que rarement en CDI. Le secteur manufacturier est, en particulier, toujours soumis à des destructions d’emplois, n’ayant pas encore restauré ses marges à l’exportation. La politique de l’offre menée par le gouvernement est clairement un message positif mais elle peine à porter ses fruits dans un contexte de plus en plus concurrentiel à l’international. Il y a toutefois des signes de reprise encourageants, notamment dans l’automobile.

Le gouvernement aurait certainement tort d’attendre que le renforcement de la croissance mondiale se diffuse aussi à la France. En dépit de la contrainte budgétaire, il y a une marge de manœuvre certaine pour agir. Deux leviers pourraient être actionnés pour renforcer la confiance des agents économiques : l’investissement public ciblé et la baisse de la fiscalité.

Un investissement public bien ciblé s’accompagnant d’une participation du secteur privé a des effets vertueux bien connus sur l’emploi, l’innovation et la demande agrégée grâce à l’effet multiplicateur. En période de faible confiance dans l’avenir, c’est à l’Etat d’assumer la prise de risque et les pertes qui vont avec afin de diminuer, in fine, le coût de financement pour les acteurs privés.

En ce qui concerne la fiscalité, les pistes sont nombreuses : baisse de l’impôt sur les sociétés pour les entreprises de taille intermédiaire qui représentent 25% de l’emploi salarié, cadeau fiscal pour les primo-accédant afin de relancer le marché de l’immobilier ou encore baisse des taxes sur l’essence.

Toutes ces mesures répondent à l’urgence de soutenir la demande agrégée et le retour de la confiance. C’est seulement à ces conditions que la France pourra renouer rapidement avec la croissance et peut-être espérer atteindre un niveau de progression du PIB suffisant pour inverser la tendance de long terme à la hausse du chômage.


N°3 - 10H00

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European equities are trading moderately higher this morning showing early signs of trying to stage a rebound after yesterday’s late afternoon sell-off.
Overnight news was mostly positive with India surprising markets by announcing another interest rate cut and a closely watched Chinese services PMI showed a rise compared to the previous months.
Yesterday’s sell-off has been rather intense but not necessarily unsurprising with markets having risen substantially over the past few weeks without taking much of a breather which consequently led to highly overbought market conditions.
Understandably and rather typical the market had to correct a bit and often the more bullish the overall sentiment is the more aggressive these moves to the down-side turn out to be.
Focus this morning will be on Euro-zone services PMIs of individual countries and the Euro-zone as a whole and Euro-zone retail sales with both expected to show improvements compared to last month. Technically the pictures isn’t quite as positive anymore after yesterday’s sharp reversal because of this further losses are possible, however once the down-side momentum starts stalling new buyers are likely to be attracted by cheaper price, especially as the overall sentiment remains positive.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°2 - 9H15

UBS daily roundup - Is anecdote better than sentiment?

Paul Donovan daily briefing.

• Assorted service sector sentiment figures come out on both sides of the Atlantic today. The reliability of these surveys is such that there is really no point getting too worked up as to minor moves, but in both Europe and the US the data should be consistent with ongoing economic expansion..

• The Fed's Beige Book of economic anecdote is likely to keep a broadly bland tone to the overall economic assessment, but the details may be interesting. The Fed is of the opinion that the lower oil price is inflationary as a source of demand stimulus, and evidence of that process may be forthcoming.

• As the Bank of England start their policy meeting, the BRC report further deflation in shop prices – the consequence of an ongoing (and presumably temporary) supermarket price war. As with oil prices, the attitude of the Bank of England is that this will provide additional stimulus to the UK economy.

• Australian growth in the fourth quarter of last year was in line with expectations. The detail showed a good performance for private sector demand, and a reasonable level of export demand, but the capital spending story was weak and that may trouble the RBA as it looks to balance a strong housing market with weaker economic trends.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 9H00

Les marchés tentent de repartir de l'avant après avoir marqué une pause hier

Marchés actions
Les marchés américains ont marqué une pause hier dans une séance très peu animée. L’absence d’annonces a permis aux investisseurs de reprendre leur souffle avant plusieurs grands rendez-vous en fin de semaine. En effet, après avoir inscrit de nouveaux records lundi, Wall Street préférait temporiser dans un élan de prises de bénéfices. Dans ce contexte, l’indice Dow Jones perdait 0,47% à 18 203,37. De son côté, l’indice Nasdaq repassait sous la barre symbolique des 5000 points après avoir lâché 0,56% à 4 979,90 points. Enfin, l’indice élargi, S&P 500 reculait de 0,45% à 2 107,78 points.

Du côté des valeurs, on notera la faiblesse du secteur automobile après l’annonce d’un recul des ventes le mois dernier. On notera par exemple la baisse de 2,41% du titre Ford. Dans le secteur financier, Morgan Stanley perdait 1,16% alors que la banque s’attend à des poursuites judiciaires par l’Etat de New-York sur la qualité des prêts hypothécaires. Enfin, le géant Alibaba accusait une perte de 2,88% à 81,58 dollars soit un plus bas depuis septembre. Le titre était chahuté après que les autorités de Taïwan aient décidé d’exclure l’entreprise du pays.

Ce matin, les marchés asiatiques suivaient la tendance de Wall Street. Le Nikkei qui avait enregistré un plus haut de 15 ans en début de semaine reculait de 0,6% à 18 703,60 points. Là aussi, les indices opéraient une correction technique après un parcours sans faute depuis le début d’année.

Les marchés européens sont, quant à eux, attendus en hausse ce matin après la correction technique de la veille. La journée s’annonce chargée sur le plan macroéconomique avec les indices PMI des services ce matin. Dans l’après-midi, les investisseurs pourront suivre la publication de l’enquête ADP ainsi que l’ISM non manufacturier américain.

Forex
La monnaie unique ne parvient pas à trouver une direction claire face au billet vert. Les investisseurs restent prudents dans l’attente de la réunion demain de la Banque centrale européenne. Le dollar ressort néanmoins favorisé par une économie américaine plus robuste et une forte probabilité que la Réserve fédérale américaine revoit à la hausse ses taux directeurs dans les prochains mois. La monnaie unique a largement chuté ces derniers mois et les cambistes attendent désormais plus d’éléments pour se positionner. Les derniers indicateurs en zone euro ressortis en début de semaine s’affichent dans le vert avec un recul du chômage qui atteint un plus bas depuis avril 2012 à 11,2% et un risque de déflation qui semble s’estomper progressivement.

Dans ce contexte, la monnaie unique se négocie pour 1,1166 dollar face au billet vert. La devise nippone se traite face à l’euro à 133.68 yens et atteint face au billet vert 119,72 yens.

Coté indicateurs, l’indice PMI HSBC/Markit confirme une bonne croissance dans les services en Chine. Aujourd’hui, un certain nombre d’indicateurs seront publiés en Europe et Outre-Atlantique comme les indices PMI. Ce matin, la livre sterling se négocie pour 0,7268 pence contre la monnaie unique et atteint 1,5354 dollar contre le billet vert.

Matières premières
Les cours du pétrole marquait une pause ce matin en Asie dans l’attente de la publication des stocks américains de brut.

Le baril de « light Sweet Crude » (WTI) échéance avril est en hausse de 0.04% à 50,54 USD tandis que le Brent de la mer du nord se négocie à 60,59 USD en léger recul de 0.69%.

Le marché anticipe une hausse des réserves de brut aux Etats-Unis suivant celle de la semaine dernière. Les réserves ont augmenté de 3,95 millions de barils à 434,1 millions soit le plus haut niveau jamais enregistré depuis 1982, date de création des statistiques.

De plus, les tensions en Lybie viennent s'ajouter. En effet, des groupes islamistes radicaux se sont emparés hier de deux champs pétroliers. Selon le porte-parole des gardes des installations pétrolières, les extrémistes ont pris le contrôle des champs d'Al-Bahi et Al-Mabrouk et sont en route pour prendre le champ d'Al-Dahra, après le retrait de la force qui était chargée de surveiller ces sites, "faute de munitions". Le champ d'al-Mabrouk est exploité par une coentreprise dirigée par la Compagnie libyenne de pétrole (NOC), dans laquelle le groupe français Total détient des parts. La production pétrolière lybienne est passée de 1.5 million de barils par jour avant la chute du colonel Kadhafi à 350 000 barils par jour actuellement.

Les métaux précieux toujours stables et sans tendance avec une once d’or à 1204 USD et 16,26 USD pour l’once d’argent

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- GoCapital investit dans Bodycap 03/03/2015
- STCPartners conseille Monsieur François l’Hotel dans le cadre de la cession du contrôle de Marin’s International à Quad/Graphics, Inc. 03/03/2015
- AdotMob lève 1M€ auprès d’Iris Capital et Kerala Ventures 03/03/2015
- H. Turnauer pend une participation de 25% dans Constantia Flexibles pour 240 M€ 03/03/2015
- Unexo accompagne les dirigeants d’Armor Meca dans leurs projets de développement 03/03/2015
- Shearman & Sterling sur la cession d’Orange Communications SA (Suisse) à l’entrepreneur Xavier Niel 03/03/2015
- AG3i s’empare d’Adessia Technologies 03/03/2015
- Anaconda Pharma passe dans giron du groupe américain Biota Pharmaceuticals 03/03/2015
- Le groupe Imalia rejoint Visiativ 03/03/2015
- Crédit Agricole Régions Investissement et Bpifrance accompagnent le développement de la société Docsourcing 02/03/2015

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TAUX D'INTERET LEGAL

L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".

Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".

Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.

L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."


Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mercredi 4 Mars 2015




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