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Finyear Eco | 19 janvier 2015 (n°11 - 15H15) | La fin du taux plancher du Franc Suisse contre Euro ou la fin d’une hérésie ?

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Le quotidien Finyear offre aux investisseurs et aux conseillers professionnels des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco | 19 janvier 2015 (n°11 - 15H15) | La fin du taux plancher du Franc Suisse contre Euro ou la fin d’une hérésie ?
N°11 - 15H15

La fin du taux plancher du Franc Suisse contre Euro ou la fin d’une hérésie ?

Contrairement à ce que la majorité des analystes pense, le plus surprenant dans le cas du franc suisse ce n’est pas l’annonce de la fin du taux de change plancher mais le fait même que la BNS ait décidé d’y entrer ! D’un point de vue théorique arrimer sa monnaie signifie rendre sa politique monétaire dépendante de la monnaie à laquelle on s’arrime et ne représente un intérêt que lorsqu’un pays a une monnaie faible en déficit de crédibilité. Pourquoi donc la Suisse s’est-elle mise dans une telle situation ?

Quand le marché politique dicte la politique de la banque centrale…

La Suisse est un pays à part à bien des égards, en particulier sur le plan économique, le pays est caractérisé par un système bancaire hypertrophié au regard de la taille de son économie - le secteur bancaire représente environ 5 fois le PIB Suisse - et par une monnaie bénéficiant du statut de monnaie refuge sur le plan international et ce depuis la fin des Accords de Bretton Woods et tout référence à l’or. Avoir une monnaie ayant le rôle de monnaie refuge présente l’avantage d’attirer très facilement les capitaux étrangers ce qui permet de bénéficier de taux d’intérêt faible et créé des conditions stables de financement de l’économie. En revanche en contrepartie, en raison de ce statut de monnaie refuge, le taux de change tend à s’apprécier ce qui du point de vue des théories mercantilistes des échanges est une entrave à la capacité exportatrice des entreprises locales ce qui peut être perçue comme particulièrement préjudiciable pour un petit pays comme la Suisse. Dans ce contexte, il est facile de comprendre la tentation initiale d’avoir voulu arrimer le franc suisse à l’Euro en 2011 après la tourmente de la crise bancaire et financière de 2007 qui avait conduit à une forte augmentation du franc suisse, le franc suisse ayant joué à plein son rôle de monnaie refuge tout comme l’or sur cette même période. Cette décision d’arrimer sa monnaie à l’Euro était un clair message envoyé aux investisseurs sur les marchés et aux entreprises exportatrices. Les autorités monétaires suisses entendaient favoriser ces derniers en essayant d’atténuer l’attractivité de sa monnaie.

Le statut de monnaie refuge ne se décrète…. ni ne se contrôle …

L’épisode court d’arrimage du franc suisse à l’Euro est une belle illustration du fait que le sort d’une monnaie refuge ne se contrôle pas. En effet, il est vrai que les entreprises suisses ont dû subir non seulement la crise économique conséquence de la crise financière internationale mais également la forte hausse du franc suisse qui s’en est suivi en raison de statut de monnaie refuge. Le contexte de forte incertitude qui a prévalu surtout en 2008 a évidemment conduit les investisseurs à privilégier la monnaie suisse dans la détention de leurs avoirs tout comme l’or. Alors comment croire un instant que forcer sa baisse à travers l’accord de change à l’Euro allait réussir ? Une fois qu’une monnaie acquiert le statut de monnaie refuge, il est difficile de le contrôler, il vous échappe. En effet, une monnaie devient monnaie refuge parce qu’elle symbolise la stabilité. Ce symbole n’émerge pas de nulle part – il est en général le résultat de stabilité économique et institutionnelle constaté à travers le temps -, il n’est possible ni de le décréter, ni de le remettre en cause du jour au lendemain. Forcer la baisse du franc suisse ne peut fonctionner que si des éléments économiques tangibles indiquent que le franc suisse pourrait s’affaiblir ou serait en voie de perdre son statut de monnaie refuge. Cependant en 2011 lorsque les autorités ont décidé de fixer le taux plancher de 1 Euro = 1,20 Franc Suisse, aucun indicateur n’allait dans ce sens. D’ailleurs, les autorités suisses s’en sont vite rendu compte puisqu’au plus fort de la crise grecque, la BNS a payé cher cette décision en intervenant massivement – de l’ordre de 150 milliards de Franc Suisse - sur le marché des changes en particulier sur la période Mai - Juillet 2012.

Une situation insoutenable en 2015

Alors pourquoi avoir attendu janvier 2015 pour mettre fin à cet accord qui dès le départ paraissait difficilement soutenable dans le temps ? Parce que les signaux devenaient clairement défavorables : la crise du rouble avait conduit à un nouveau renchérissement du franc suisse en décembre 2014 – la banque nationale Suisse était intervenue à hauteur de 25 milliards de Franc Suisse sur le marché des changes. En outre, la Banque Centrale Européenne s’est positionnée dès le mois de Novembre en faveur du maintenir de taux d’intérêt faibles accompagnés de programme de rachats de titres pour des montants à priori important accentuant les pressions à la baisse sur l’Euro. Ce contexte signifiait donc pour les autorités monétaires suisses que le maintien du Franc Suisse à un taux « artificiellement » bas devenait une volonté illusoire… Il était temps de revenir à la réalité !

Par Nathalie Janson Économiste Professeur Associé NEOMA Business School.


N°10 - 15H00

L’ère des incertitudes

Une note de Christopher Dembik, Economiste, Saxo Banque.

Dans notre dernière note de l’année 2014, nous confirmions la montée en puissance des incertitudes : « appréhender avec exactitude l’évolution des marchés financiers devient de plus en plus difficile ». La décision la semaine passée de la BNS semble abonder dans ce sens.

La fin inattendue du cours plancher de l’EURCHF est unanimement considérée comme un cygne noir. Ses répercussions sont certainement beaucoup plus vastes qu’anticipé initialement :

- Une psychose s’est installée sur le marché. Des rumeurs infondées d’abandon de l’arrimage de la couronne danoise à l’euro et du dollar de Hong Kong au dollar américain ont circulé tout au long du week-end. Plusieurs fonds américains ont même contacté des banques nordiques pour vérifier qu’un effet boule de neige de la mesure de la BNS n’était pas en train de se produire ;

- La parole des banques centrales a été désacralisée. Depuis quelques années, afin de sortir de la crise, le forward guidance s’était imposé parmi les banquiers centraux pour guider au mieux les attentes des investisseurs. On savait que le gouverneur Jordan de la BNS n’était pas adepte de cette stratégie mais personne ne pouvait imaginer une seule seconde qu’une banque centrale respectée puisse tenir un double langage. Il y a encore quelques semaines, la BNS confirmait son intention de défendre à tout prix le cours plancher. Le jeudi 15 janvier, il fut abandonné sans crier garde. La confiance liant les banquiers centraux aux investisseurs est durablement écornée, ce qui complique encore plus la tâche de la BCE qui doit se réunir ce jeudi ;

- Les prochains mois seront rythmés encore par des mouvements erratiques sur le marché des changes et les dernières certitudes risquent de tomber. Il ne faudra pas attendre bien longtemps pour s’en rendre compte. Dès cette semaine, l’annonce par la BCE du lancement d’un programme de rachats de dettes souveraines (QE) et les élections législatives en Grèce ont de fortes chances de causer une grande volatilité sur les cours ;

- On aurait tort de croire que le QE souverain soit automatiquement facteur de progression de l’aversion au risque et de hausse des indices. Tout dépendra de sa crédibilité vis-à-vis du marché, de son calibrage et de la mise en place d’une mutualisation des risques encourus. A en juger par les derniers échos venant de Francfort, le risque de déception du marché est grand ce jeudi. D’autant plus que le QE est déjà intégré dans les prix, comme on peut le constater aisément au niveau des paires en EUR.

- La Grèce figure au rang des problèmes qui sont apparemment insolvables en zone euro. C’est toutefois le symbole d’une problématique bien plus large, à savoir l’incapacité de nombreux Etats à renouer avec une marge de manœuvre budgétaire réelle en dépit de la mise en place d’une vaste consolidation budgétaire, et parfois même de mesures d’austérité. Les élections législatives ont peu de chances d’aboutir à un Grexit mais elles vont une nouvelle fois rappeler aux investisseurs à quel point l’Europe parait incapable de renouer avec une dynamique de croissance positive. QE ou pas d’ailleurs.


N°9 - 11H45

Des perspectives incertaines pour l’Europe, même après le QE

Bulletin hebdomadaire JP Morgan AM du 19 janvier 2015.

Nous avons connu quelques jours particulièrement agités sur les marchés européens et la fièvre devrait continuer à monter cette semaine, d’une part avec le lancement d’un “véritable” plan d’assouplissement quantitatif (QE) par la Banque centrale européenne (BCE) au cours de sa prochaine réunion de politique monétaire le 22 janvier, désormais largement considéré comme acquis après l’avis juridique favorable émis par l’avocat général auprès de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), d’autre part avec la décision surprise de la Banque Nationale Suisse de renoncer à sa politique de taux de change plancher. Malgré cela, les perspectives de la zone euro restent, selon nous, incertaines.
Si le QE est désormais fermement attendu cette semaine, l’incertitude demeure sur son ampleur et sur les détails, comme par exemple le type de dette qui sera achetée et la clé de répartition des pertes potentielles futures générées par un programme de QE entre les banques centrales nationales. Concernant son ampleur, la BCE a fait part de son intention de porter de nouveau son bilan au niveau record atteint en 2012, ce qui implique une augmentation de celui-ci d’environ 1.000 milliards EUR. Le consensus de marché penche pour une annonce d’achats d’obligations de l’ordre de 500 milliards EUR mais, quelque peu paradoxalement, le risque est que la BCE se contente de faire ce que le consensus anticipe et que ceci soit jugé a posteriori insuffisant.

A quel niveau le plan sera-t-il jugé “suffisant” ?

Les éléments ci-dessus posent clairement la question de la façon de déterminer si la BCE en fait assez et, par extension, de la probabilité de réussite ou d’échec de tout programme de QE de la BCE. Les principaux objectifs de la BCE sont de lutter contre les pressions déflationnistes dans la zone euro et de réanimer une croissance défaillante. Les pressions déflationnistes se sont de nouveau manifestées la semaine dernière à travers le taux de swap d’inflation anticipé à cinq ans dans cinq ans, qui a chuté pour la première fois en dessous de 1,5 %, aidé en cela par la forte baisse des prix des matières premières. Il existe peut-être deux moyens différents nous permettant de mesurer la réussite d’un QE de la BCE :
1) va-t-il casser définitivement les tendances déflationnistes en zone euro, ce qui serait certainement un élément positif pour les marchés financiers ;
2) parviendra-t-il à atteindre l’objectif minimal consistant une fois de plus à tout simplement acheter du temps et donner satisfaction aux marchés financiers pendant un moment. A notre avis, la BCE devrait être capable d’atteindre ce dernier objectif mais non le premier, même si elle décidait de surprendre les marchés et d’annoncer un programme d’achats d’obligations plus proche de l’objectif total de 1 000 milliards EUR de bilan.

Sans s’attarder sur les détails relatifs aux canaux par lesquels le QE est supposé fonctionner, nous souhaitons attirer l’attention sur le fait que ce n’était pas l’aspect monétaire de l’économie de la zone euro qui a constitué la principale source de déception en 2014. Si, par exemple, la croissance de l’agrégat monétaire large M3 n’a certainement pas été optimale, elle a néanmoins connu un solide rebond à 3,1 % en variation annuelle en novembre, évolution plus ou moins en ligne avec les anticipations du début de l’année. C’est le recul de la confiance des entreprises qui a réellement créé la surprise, la plupart des économistes éprouvant les plus grandes difficultés à l’expliquer, si ce n’est par l’impact de la crise ukrainienne.

Des difficultés de nature politique

Il semble probable que le facteur complémentaire qui a joué un rôle important en 2014 ait été l’érosion de la confiance des entreprises dans les responsables politiques et dans leur capacité à trouver des solutions aux problèmes de la zone euro. Le fait que le sentiment général économique en France ait été particulièrement anémique est certainement révélateur à cet égard mais le signe le plus visible alimentant cette évolution est la montée des partis antisystème dans un grand nombre de pays de la zone euro. Avec les élections générales prévues en Espagne et au Portugal pour la fin de l’année et en Grèce la semaine prochaine, les risques liés à des évènements politiques vont rester importants. Tant en Grèce qu’en Espagne, les partis antisystème sont en tête dans les sondages d’opinion, en plaidant pour des formules de remise ou de renégociation de dette. L’économie grecque est d’une taille suffisamment réduite pour que chacun puisse espérer une contagion limitée, même dans l’éventualité d’un désaccord majeur entre un nouveau gouvernement grec et ses prêteurs officiels sur une remise de dette (nous estimons qu’un compromis reste envisageable, dans une certaine mesure). Cependant, l’impact d’une discussion similaire dans le contexte espagnol serait d’une toute autre ampleur. Nous pensons également que le risque extrême d’une confrontation majeure entre la Cour constitutionnelle allemande (GCC) et la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) ne peut être exclu si la CJUE, qui doit se prononcer plus tard cette année, suit comme prévu l’avis juridique rendu la semaine dernière. L’incertitude générée par ces développements politiques devrait continuer à peser sur les entreprises et les consommateurs pendant un certain temps, même s’il convient d’admettre que le climat des affaires semble avoir atteint récemment un point bas.

Les perspectives des marchés d’actifs européens

Qu’est-ce que tout cela implique pour les actifs européens ? Sur le plan obligataire, nous anticipons un mouvement de convergence accrue des rendements des obligations périphériques vers ceux des pays du coeur de la zone, dans le sillage du QE et nous allons par conséquent surpondérer les obligations souveraines périphériques. Nous sommes neutres sur les obligations souveraines des pays du coeur de la zone pour lesquels nous prévoyons que les rendements resteront ancrés aux niveaux actuels très faibles grâce au QE, bien qu’un rebond initial des rendements, après l’annonce du plan, soit possible.

Pour ce qui concerne les actions, le scénario est plus difficile à dresser. D’un côté, certains fondamentaux plaident en faveur des actions de la zone euro : les valorisations sont bon marché en prenant en compte tout autre critère que le ratio cours comptants/bénéfices, alors que la contraction des bénéfices devrait amorcer un virage cette année et enregistrer une hausse d’environ 16 % (contre 8 % aux Etats-Unis). La croissance des bénéfices devrait être favorisée par une reprise modérée de la croissance économique et par l’affaiblissement du taux de change de l’euro. Ce dernier est un domaine dans lequel le QE a été positif avant même d’avoir démarré, la parité de change EUR/USD ayant reculé de 17 % par rapport à son pic du mois de mai. On peut également mentionner le fait que la sous-performance des actions de la zone euro par rapport à leurs homologues américaines (U.S.) a atteint des niveaux extrêmes qui, en de nombreuses occasions passées, auraient signalé un retournement. Cependant, beaucoup de ces arguments suscitent un sentiment de déjà-vu : à l’exception de l’affaiblissement de l’euro, ils étaient tous exacts, dans une large mesure, au début de l’an dernier. Il existe une possibilité de déception pour les prévisions de bénéfices européens et l’affaiblissement de la monnaie européenne devrait maintenir à distance les investisseurs américains (U.S.) et d’autres continents. Nous allons certainement devoir surveiller attentivement tout signe de redressement plus significatif des bénéfices mais, pour le moment, nous restons neutres sur les actions européennes à l’exception du Royaume-Uni et miserions contre tout rebond qui suivrait une annonce de QE cette semaine.
Patrik Schöwitz

Réflexions diverses
- Il existe une coterie de commentateurs en chambre qui recommandent une surpondération des positions sur les actions européennes par rapport à leurs homologues américaines (U.S.), justifiée par la sous-performance généralisée des actions européennes au cours de ces dernières années. Cette dernière serait normalement censée provoquer un retournement de la performance – c’est du moins ce que prétend cette argumentation. Si l’on analyse les chiffres, il est très difficile de déterminer le point de départ d’une telle évolution. A l’exception d’une interruption importante, les actions de la zone euro ont réellement sous-performé par rapport à leurs homologues américaines (U.S.) depuis le début de la crise financière mondiale, c’est à dire depuis l’été 2007. Depuis cette époque, la sous-performance a presque atteint le chiffre stupéfiant de 45 %. Un retournement de 14% en faveur des actions européennes, qui a duré six mois, est cependant apparu au cours du second semestre de 2012. Depuis la fin de ce mouvement, les actions européennes ont sous-performé d’environ 13 %. En 2014, la sous-performance a atteint 9 % (exprimée en devises locales). Ces deux derniers chiffres ne semblent peut-être pas aussi extrêmes que cela.
- Après la brutale hausse du taux de change du franc suisse la semaine dernière, deux membres de l’équipe Global Strategy ont relevé avec pertinence qu’ils venaient de skier en Suisse. Malheureusement, il est peu probable que ce choix ait résulté d’une acuité divinatoire de la politique monétaire de la banque centrale suisse.

Document produit par l’équipe Global Multi Asset Group de J.P. Morgan Asset Management.
Édité par David Shairp, Stratégiste


N°8 - 11H30

Regulator Action Sends Chinese Stocks Plummeting, Euro Continues to Feel Fallout of SNB Decision

Chinese shares recoiled on Monday after regulators took steps to rein in speculative lending there, while investors everywhere were wary of being disappointed by the latest efforts at policy stimulus in the Euro zone. U.S. stocks rallied on Friday after five sessions of losses, helped by a sharp rebound in energy shares and data that signalled the U.S. economy was on track for solid growth. The Dow closed 150 points higher at 17,511, the S&P 500 gained 26 points to close at 2,019.

In Europe, the common currency was shaky on the Swiss franc at 1.0020 after tumbling 17% last week when the Swiss National Bank abandoned its cap on the Franc. All this uncertainty kept the Euro pinned at $1.1555, having hit an 11-year low of $1.14595 on Friday. The Dollar was a shade softer against the safe-haven Yen at 117.00, but a touch firmer on a basket of currencies around 92.669.

Oil prices had a soft tone as Brent crude futures eased 26 cents to $49.91, while U.S. crude lost 28 cents to $48.41 a barrel.

Within the equity space, it seems to be Resource stocks that are under pressure this morning, with the majority of the sectors’ players down anywhere between 0.5% and 4% in early trade.

David Papier
Market Analyst
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.com


N°7 - 11H00

La production dans le secteur de la construction en baisse de 0,1% dans la zone euro
En baisse de 0,2% dans l’UE28.

En novembre 2014 par rapport à octobre 2014, la production dans le secteur de la construction, corrigée des variations saisonnières, a reculé de 0,1% dans la zone euro (ZE18) et de 0,2% dans l’UE28, selon les premières estimations d’Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.
En octobre 2014, la production dans le secteur de la construction avait progressé respectivement de 1,1% et 0,5%.

EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat


N°6 - 9H35

La baisse des prix des matières premières change-t-elle la donne pour les marchés actions ?

Par Cyrille Collet, CFA, SFAF, Directeur des gestions actions CPR AM.

La baisse du prix des matières premières en général et celle du pétrole en particulier va changer radicalement la donne pour les entreprises et les ménages en 2015. Celle-ci n’est pas encore prise en compte dans les attentes des bénéfices des entreprises pour 2015 et réserve des bonnes nouvelles (consommation) mais également quelques mauvaises surprises (énergie) pour la seconde partie de l’année.

Du côté des entreprises, la baisse des matières premières représente une baisse de revenu pour celles qui les exploitent et les distribuent ; elle constitue également une baisse des coûts de production (dont l’énergie contribue autour de 7%) et donc une hausse des revenus pour celles qui les consomment. C’est, par conséquent, une très bonne nouvelle pour la plupart des entreprises qui vont pouvoir (enfin) augmenter le salaire de leurs employés et accroître leurs dépenses d’investissement sans que cela n’ait un impact « trop » important sur leurs marges.

Du côté des ménages, on note aux Etats-Unis qu’une baisse du prix du baril de pétrole à 40$ implique un gain de 1,35 trillion de dollars pour tous les acheteurs (pays, entreprises, ménages). Si l’on prend uniquement en compte le cas américain, on constate qu’une baisse de 1$ à la pompe du gallon d’essence augmente le revenu disponible des ménages de 1 milliard de dollars ; sachant qu’il y a environ 100 millions de ménages, cela engendre un gain moyen de 1 000 $ par foyer (principalement vers les familles à bas revenus pour lesquels le poids du coût du transport est le plus important).

En conclusion, la baisse du prix des matières premières en général et du pétrole en particulier est une bouffée d’oxygène aussi forte qu’inattendue pour les marchés actions mondiaux.

www.cpr-am.fr


N°5 - 9H30

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European stock markets are starting the new trading week on a positive note seeing some early follow-through buying after last Friday’s steep gains.
Increasing optimism that the ECB will finally announce QE during their monthly meeting later this week is continuing to drive investors into stocks.
In addition a weak Euro combined with low oil prices is stirring hopes that a sustained recovery for Euro-zone isn’t far off anymore.
No doubt the recent advance in stocks has been rather aggressive with some even considering the current move somewhat overdone.
This doesn’t necessarily mean that stocks are about to turn lower instead the occasional round of profit-taking appears likely with the overall momentum to the upside likely to moderate a bit in the days ahead.
Trading activity in general is expected to be on the light side today with the US shut for trading due to the Martin Luther King’s birthday bank holiday.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°4 - 9H05

Les marchés restent bien orientés en attendant la BCE

Marchés actions
Sur les marchés actions, alors que les principaux indices européens ont poursuivi leur progression, Wall Street en a profité pour mettre un terme à cinq séances en territoire négatif. Wall Street a en effet profité de la forte progression du pétrole, qui s’est offert le luxe d’afficher un premier gain hebdomadaire au cours des huit dernières semaines. De plus, Wall Street a également bénéficié d’indicateurs macro-économiques américains favorables pour limiter les pertes engrangées la semaine dernière. De leur côté, les indices européens sont toujours dopés par les spéculations sur la mise en place d’un QE qui pourrait être annoncée au cours de la prochaine réunion de la BCE, jeudi prochain. Les investisseurs s’attendent de plus en plus à la mise en place du programme de rachats de dettes souveraines.

Le CAC 40 a ainsi terminé la semaine avec une nouvelle séance en territoire positif après avoir progressé de 1.31% à 4 379.62 points, tout comme le Dax et le Footsie avec respectivement 1.35% et 0.79% à 10 167.77 points et 6 550.27 points. Du côté de Wall Street, le Dow Jones a pris 1.10% à 17 511.57 points, le Nasdaq 1.39% à 4 634.38 points, et le S&P500 repasse au-dessus des 2000 points après s’être adjugé 1.34% à 2 019.42 points.

Les marchés devraient être toujours très volatiles avant cette réunion alors que le bal de la saison des résultats trimestriels d’entreprises a débuté aux Etats-Unis et en Europe, et va s’accélérer dans les prochains jours. Les premiers effets de la baisse de l’euro pourraient commencer à se voir sur les comptes de résultats des entreprises européennes.

Ce matin, dans le sillage de Wall Street et des places européennes, la Bourse de Tokyo a grappillé du terrain, engrangeant 0.89% à 17 014.29 points. Dans la poursuite de leur progression la semaine dernière, et en attendant la réunion de la BCE jeudi, les principales places européennes sont attendues à la hausse ce matin à l’ouverture. Rappelons qu’en ce jour de Martin Luther King’s Day, les marchés américains seront fermés aujourd’hui. Cette semaine devrait délaisser quelque peu les indicateurs au profit des différentes Banques Centrales, et du vote en Grèce pour la présidentielle Dimanche prochain.

Forex
La décision de la Banque nationale suisse de revoir son taux plancher a créé un véritable séisme sur le marché des changes et surpris beaucoup d’investisseurs. Après avoir lourdement chuté au cours de la semaine dernière, la monnaie unique débute la semaine en se stabilisant face au dollar américain pour coter proche de 1,1580 dollar.

Les cambistes restent désormais prudents en attendant la prochaine grande réunion de la Banque Centrale Européenne. Beaucoup attendent une action de l’institution sur un programme de rachat de dettes souveraines pour relancer l’économie de la zone et l’inflation qui ne cesse de baisser. Pour rappel, les prix ont reculé de 0,2% sur le mois de décembre dans la zone euro selon une première estimation. Les investisseurs suivront mercredi également la réunion de la Banque du Japon. L’euro se négocie ce matin face au yen pour 135,58 yens et le dollar américain cote 117,06 yens. La livre sterling se négocie pour 0,7649 pence face à l’euro avant la publication du compte-rendu de la dernière réunion de la Banque d’Angleterre.

Du côté, des indicateurs économiques, les marchés seront attentifs demain à la publication de l’indice ZEW sur la confiance des investisseurs en Allemagne ainsi qu’à la croissance en Chine sur 2014. Pour les métaux précieux, l’once d’or cote 1 275 dollars et l’once d’argent 17,64 dollars.

Matières premières
Les contrats pétroliers s'inscrivent en légère baisse en ce début de semaine et devraient rester volatiles selon les analystes.
Le contrat de février sur le WTI cotait ce matin $48.34. Le contrat le plus actif, celui-de mars a perdu 33 centimes à $48.80. Le volume de tous les contrats à terme négociés était d’environ 4% inférieur à la moyenne des 100 jours. Les prix ont augmenté de 0.7% la semaine dernière. Le Brent sur Mars est en baisse de 30 centimes à $49.87 le baril. Il avait gagné 3.9% la semaine dernière à $50.17. La prime entre les deux barils s’est élargie à $1.06.
Le pétrole baisse légèrement ce matin après son premier gain hebdomadaire en deux mois la semaine passée. Les investisseurs font la part des choses entre l’augmentation de la production de l’OPEP et la crainte possible d’une diminution des exportations. Les marchés pétroliers suivront la décision de la Banque centrale européenne cette semaine et les annonces des entreprises du secteur pétrolier en termes de résultats, de suppressions d'emplois et de projets d'investissements pour cette année.

L’Irak est à un niveau de production record de 4 millions de barils par jour. Le pays prévoit d’augmenter ses exportations de brut à 3.3 millions de barils par jour cette année y compris les ventes de la région kurde semi-autonome dans le nord. Globalement le pays, membre de l’OPEP avait produit 3.35 millions de barils par jour en décembre. La production américaine a connu sa production hebdomadaire la plus élevée sur la première semaine de l’année à 9.19 millions de barils par jour depuis Janvier 1983.

L’Or cote à son plus haut niveau de quatre mois avant que les décideurs de la Banque Centrale Européenne se réunissent ce jeudi. L’once d’or retraçait de 0.2% ce matin à $1276.95 après avoir grimpé sur les $1283 la semaine dernière. Il faut noter également que l’or se négocie maintenant plus cher que le platine qui ne cote plus maintenant que $1264.13.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°3 - 9H00

Le Franc (suisse) dans le nouveau jeu monétaire mondial

Enorme surprise le 15 janvier 2015 : la Banque nationale suisse (BNS) lâche brutalement le lien qu’elle gérait depuis septembre avec l’euro : 1 euro = 1,2 Franc suisse. Immédiatement, le Franc suisse remonte vers 1,01 : + 20 % en deux jours ! Les entrepreneurs se plaignent, disant qu’ils ne pourront plus exporter, même leurs produits de luxe ou high tech. Mais on n’entend se plaindre ni les banquiers ni les détenteurs d'avoirs suisses. Les marchés de change sont secoués. Certains opérateurs accusent des pertes significatives, au point d’être menacés (la cotation du courtier FXCM a été suspendue). Des pertes sont annoncées dans des banques et des hedge funds. Du jamais vu, venant d’une entité aussi respectable que la BNS.

Que ne veut plus et ne veut pas la Banque nationale suisse ? ...

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N°2 - 8H45

UBS daily roundup - Mr Draghi's one big idea

Paul Donovan daily briefing.

• This week has always been about Mr Draghi's relentless pursuit of his one big idea (quantitative policy). Nowotny of the ECB commented over the weekend that there were limits on what the ECB could do to stimulate growth, but that will not stop quantitative policy.

• We expect a EUR1tn bond buying plan (it may not all be sovereign bonds) along with a good chance that national central banks are required to take the risk of their own sovereign debt – and extraordinary circumstance, reflecting the political realities the ECB has to deal with.

• The Swiss National Bank's actions last week may make things worse for the ECB. If SNB-induced market volatility increases balance sheet pressure for Euro area banks (reducing their willingness to lend) it makes things worse for the Euro area.

• The US has the Martin Luther King holiday today. Swiss producer price data will be overlooked as predating last week's currency move. Japanese consumer confidence improved a little, industrial production data remained negative.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 7H30

L'agenda économique de la semaine du 19 au 25 janvier 2015

Lundi 19 janvier
Au Japon, il faudra suivre la publication de plusieurs indicateurs dont la production industrielle et le taux d’utilisation des capacités de production pour le mois de novembre ainsi que la confiance des consommateurs pour le mois de décembre.
Pour la zone euro, il faudra regarder les résultats de la balance des paiements courants du mois de novembre et la production de la construction.

Mardi 20 novembre
En Chine, il conviendra de surveiller le résultat du PIB du quatrième trimestre 2014 et le taux de croissance de l’année dernière. Pour le dernier trimestre, le taux de croissance est attendu à 1,7 % contre 1,9 % au troisième trimestre. Sur l’année, le taux de croissance se serait élevé à 7,2 %. Devrait être également connu le taux d’investissement urbain du mois de décembre qui est attendu stable, à 15,8 %, par rapport à novembre. De même, la production industrielle du mois de décembre devrait ressortir en hausse à 7,4 % en rythme annuel contre 7,2 % en novembre. Les ventes de détail pour le mois de décembre ont dû progresser au mois de décembre de 11,7 % comme au mois de novembre.
En Italie, sera publié le résultat de la balance commerciale du mois de novembre.
En Allemagne, il conviendra de suivre l’enquête ZEW sur le sentiment économique pour le mois janvier qui est attendue en hausse comme celle concernant la zone euro.

Mercredi 21 janvier
Début du Forum de Davos qui se terminera à la fin de la semaine.
Au Japon, il faudra regarder la déclaration de la politique monétaire de la Banque centrale.
Toujours au Japon seront communiqués l’indice de la production tous secteurs industriels pour le mois de novembre ainsi que l’indice économique avancé.
Au Royaume-Uni, il faudra suivre la réunion de la Banque centrale. Seront également publiés le taux de chômage du mois de décembre et l’évolution des salaires moyens.
Aux Etats-Unis, seront communiqués le nombre de permis de construire pour le mois de décembre ainsi que les mises en chantier. Ces deux résultats sont attendus en légère hausse.

Jeudi 22 janvier
En Chine, sera rendu public l’indice du climat des affaires pour le mois de décembre.
Au Japon, sera publiée l’enquête mensuelle économique de la Banque centrale.
En Espagne, sera rendue publique l’enquête sur l’emploi du quatrième trimestre 2014.
En Italie, il faudra suivre les commandes et les ventes de produits industriels pour le mois de novembre. Seront également connues les ventes de détail.
Au niveau de la zone euro, il faudra suivre avec attention les annonces de la BCE.
Toujours au niveau de la zone euro, il faudra analyser l’indicateur sur la confiance des consommateurs du mois de janvier.

Vendredi 23 janvier
Au Japon, il faudra regarder l’indice des directeurs d’achat (PMI) su secteur immobilier pour le mois de janvier.
L’indice PMI manufacturier sera également publié en Chine, en France, en Allemagne et aux Etats-Unis. Il devrait ressortir en légère hausse dans ce pays. L’indice PMI-service sera également communiqué pour la zone euro.
Au Royaume-Uni sera connu le résultat des ventes de détail du mois de décembre.
Aux Etats-Unis, il faudra suivre les ventes de maisons existantes pour le mois de décembre. Plus de 5 millions de vente ont dû être réalisées contre 4,9 millions au mois d’octobre.

Dimanche 25 janvier
Elections législatives en Grèce

Extrait de la Lettre Eco de Philippe Crevel du 17 janvier 2015.
L'information économique par Lorello ecodata Philippe Crevel




Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Roche fait l’acquisition de Trophos pour 120 M€ 16/01/2015
- Air Liquide annonce l’acquisition d’Optimal Medical Therapies 16/01/2015
- Neoen acquiert Juwi EnR 16/01/2015
- Aertus Finance conseille le Groupe Conix dans l’acquisition d’Adéquation BI 16/01/2015
- Baker & McKenzie conseille Arcil dans le cadre de l’acquisition d’Axone- Systems 16/01/2015
- Europcar effectue une première acquisition stratégique avec Ubeeqo 16/01/2015
- Delta Drone: Acquisition de 50,1% de la société Sud-Africaine Cap Minerals Africa 16/01/2015
- Dalkia se développe à travers l’acquisition de Cesbron 16/01/2015
- Les dirigeants du groupe familial Lacoste choisissent Siparex pour accompagner leur développement 16/01/2015
- Le Battling Club, avec une levée de fonds de 900 K€, boxe dans la cour d’Audacia 16/01/2015

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Lundi 19 Janvier 2015




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