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Fabrice Keller
Pourriez-vous nous présenter la Turnaround Management Association ?
TMA est une association qui regroupe les professionnels du retournement et de la restructuration d’entreprise. Elle est ouverte à tous ceux qui, dans le cadre de leur activité professionnelle, interviennent dans le traitement des entreprises en difficulté ou en retournement. Il peut s’agir d’avocats, de conseils financiers, de banquiers, d’investisseurs, de mandataires de justice, de managers de transition, etc.
TMA a été créée aux Etats-Unis en 1988, avec trois objectifs :
1. Communication : Promouvoir et valoriser, sur le marché, l’expertise spécifique des professionnels du retournement.
2. Formation : Servir de plate-forme de formation continue aux membres pour diffuser les « best practices ». Par exemple, aux Etats-Unis, et en partenariat avec de grandes universités, TMA dispense une certification (« CTP » ou « Certified Turnaround Professional ») qui est reconnue comme un label de qualité.
3. Networking : Faciliter les échanges entre professionnels du monde entier.
TMA compte aujourd’hui plus de 9000 membres dans le monde. L’association est organisée en « chapters » locaux ; elle en compte aujourd’hui 46, dont une trentaine aux Etats-Unis et 9 en Europe, dans les pays suivants : Allemagne, Espagne, Finlande, France, Italie, Pays-Bas, République tchèque, Royaume-Uni, Suède. TMA est également présent au Japon et en Amérique du Sud.
Quelles sont ses missions et ses objectifs en France ?
Dans le cadre des objectifs généraux de l’association décrits ci-dessus, TMA France a vocation à être une « fenêtre ouverte » sur l’International. Dans un contexte où le marché du retournement d’entreprises s’internationalise de plus en plus vite, nous voulons faire profiter nos membres français de la ressource fantastique que constituent nos 9000 membres dans le monde, tant en terme de réseau que d’expertises sectorielles ou techniques. Nous souhaitons être la plate-forme à travers laquelle les nouvelles tendances de marché ou les nouvelles pratiques sont identifiées et analysées, pas seulement à l’échelon français, mais européen et mondial.
TMA est une association qui regroupe les professionnels du retournement et de la restructuration d’entreprise. Elle est ouverte à tous ceux qui, dans le cadre de leur activité professionnelle, interviennent dans le traitement des entreprises en difficulté ou en retournement. Il peut s’agir d’avocats, de conseils financiers, de banquiers, d’investisseurs, de mandataires de justice, de managers de transition, etc.
TMA a été créée aux Etats-Unis en 1988, avec trois objectifs :
1. Communication : Promouvoir et valoriser, sur le marché, l’expertise spécifique des professionnels du retournement.
2. Formation : Servir de plate-forme de formation continue aux membres pour diffuser les « best practices ». Par exemple, aux Etats-Unis, et en partenariat avec de grandes universités, TMA dispense une certification (« CTP » ou « Certified Turnaround Professional ») qui est reconnue comme un label de qualité.
3. Networking : Faciliter les échanges entre professionnels du monde entier.
TMA compte aujourd’hui plus de 9000 membres dans le monde. L’association est organisée en « chapters » locaux ; elle en compte aujourd’hui 46, dont une trentaine aux Etats-Unis et 9 en Europe, dans les pays suivants : Allemagne, Espagne, Finlande, France, Italie, Pays-Bas, République tchèque, Royaume-Uni, Suède. TMA est également présent au Japon et en Amérique du Sud.
Quelles sont ses missions et ses objectifs en France ?
Dans le cadre des objectifs généraux de l’association décrits ci-dessus, TMA France a vocation à être une « fenêtre ouverte » sur l’International. Dans un contexte où le marché du retournement d’entreprises s’internationalise de plus en plus vite, nous voulons faire profiter nos membres français de la ressource fantastique que constituent nos 9000 membres dans le monde, tant en terme de réseau que d’expertises sectorielles ou techniques. Nous souhaitons être la plate-forme à travers laquelle les nouvelles tendances de marché ou les nouvelles pratiques sont identifiées et analysées, pas seulement à l’échelon français, mais européen et mondial.
