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FY Eco (20-03-2015) n°7 - 14H30) | Les marchés maintiennent le cap de la hausse après la FED

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Chaque jour, votre quotidien Finyear vous offre (investisseurs et conseillers professionnels) des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

FY Eco (20-03-2015) n°7 - 14H30) | Les marchés maintiennent le cap de la hausse après la FED
N°7 - 14H30

Les marchés maintiennent le cap de la hausse après la FED

Marchés actions :

Cette semaine, les principales places à travers le monde devraient gagner du terrain après une semaine relativement faible en publications macroéconomiques. En Europe, le CAC s’est installé confortablement au-dessus de la barre symbolique des 5 000 points et devrait progresser pour la septième semaine consécutive. Le Dax devrait progresser pour la dixième semaine consécutive et a battu des records cette semaine en dépassant les 12 200 points avant de revenir s’établir aux encablures des 12 000 points. Le Footsie a un parcours nettement plus contrasté et affiche une forte progression cette semaine, effaçant les trois dernières semaines de pertes pour revenir légèrement en dessous des 7000 points. Tout comme le Footsie, le Dow Jones et le S&P500 devraient rebondir cette semaine, après trois semaines en territoire négatif. Le Nasdaq devrait mettre un terme à deux semaines de pertes.

Dès le début de semaine, les investisseurs avaient d’ores et déjà les yeux tournés vers le FOMC de la FED qui s’achevait mercredi. Avant cette date, le consensus restait partagé entre une hausse en Juin ou en Septembre, même si ce dernier restait pour le moment majoritaire. Les principales places ont temporisé avant cette fameuse réunion. A l’issue du communiqué de la FED, Wall Street a tout particulièrement décollé.

En effet, sans surprise le terme « Patience » a été retiré du communiqué de la FED. Cependant, la présidente Janet Yellen, a tenu à préciser que l'abandon de ce mot ne signifiait pas pour autant que la FED allait se hâter pour relever ses taux. Cette future hausse des taux est même jugée « improbable » pour le mois d’Avril selon la FED. Néanmoins, cette hausse pourrait se produire à partir de n’importe quelle réunion dorénavant. La FED s’est donc offert un certain nombre de libertés. Janet Yellen, et les gouverneurs de la FED, attendent désormais un signe supplémentaire de l’embellie de l’économie américaine que ce soit sur le marché de l’emploi US ou du côté de l'inflation. Cette inflation sera au cœur de l’actualité au cours des prochains mois en raison de la chute du pétrole et de la hausse du dollar qui devrait l’affaiblir. En effet, les prix à l’importation vont notamment baisser. De plus, la FED a abaissé ses prévisions de croissance pour cette année 2015 suite à de nombreux indicateurs décevants outre-Atlantique ces dernières semaines. La croissance pour cette année aux Etats-Unis a été abaissée à une fourchette comprise entre 2.3% et 2.7%. Cette décision fait notamment suite à des publications macroéconomiques quelque peu décevantes ces dernières semaines.

Les marchés se tournent à présent vers le dossier grec. Les investisseurs attendent dorénavant d’en savoir un peu plus sur l’avancée des négociations autour du dossier grec. La prochaine réunion devrait avoir lieu lundi prochain à Berlin, même si les négociations semblent au point mort. Le nouveau gouvernement, par la voix de son premier ministre Alexis Tsipras, doit maintenant transmettre une nouvelle liste de réforme beaucoup plus détaillée. La pression s’accentue sur Athènes, alors que le conseil de l’Union Européenne n’a pas communiqué de date concernant le déblocage d’une nouvelle tranche.

Ce dossier grec devrait en tout cas maintenir une pression certaine, tout particulièrement sur les places européennes qui évoluent sur de hauts niveaux à l’heure actuelle, et de nouveaux catalyseurs devraient être nécessaires pour atteindre de nouveaux plus hauts.

Forex :

La monnaie unique est restée sous pression face au billet vert cette semaine, plombée par les politiques monétaires divergentes de la Banque centrale européenne et la Réserve fédérale américaine. Lors de sa réunion de deux jours qui s’est tenue cette semaine la Fed a confirmé la bonne santé économique du pays et laissé entrevoir une possible remontée des taux dans les prochains mois en retirant le mot « patient » de son vocabulaire. Aucun moment précis n’a encore été évoqué même si beaucoup d’analystes s’accordent sur une hausse des taux pour juin ou septembre. Janet Yellen a cependant souligné que le contexte économique des dernières semaines était mitigé avec une inflation qui restait basse, pénalisée par la hausse du dollar et la chute du prix du baril de brut léger américain.

Ces dernières affirmations de la Fed ont redonné confiance aux investisseurs et favorisées la monnaie unique face au billet vert. Néanmoins l’embellie a été de courte durée pour l’euro qui reste toujours sous pression avec la situation économique difficile de la zone euro.

Bien que n’étant pas à l’agenda du sommet de l’Union Européen de jeudi, la Grèce s’est retrouvée au centre des discussions mettant en lumière les difficultés économiques persistantes pour le pays et les risques que pourrait engendrer une sortie du pays de la zone euro. Les derniers propos du Premier ministre grec, Alexis Tsipras, lors du sommet européen à Bruxelles ont redonné quelque peu confiance aux investisseurs. Celui-ci s’est voulu rassurant sur la situation de son pays et s’est engagé à proposer rapidement des réformes aux créanciers européens.

Des affirmations qui permettent de maintenir l’espoir et soutenir l’euro sur le marché des changes. En fin de semaine, l’euro s’échange proche de la barre des 1,07 dollar pour 1,0690 dollar contre le billet vert. Face à la devise britannique, un euro atteint 0,7246 pence.

La devise nippone lâche de son coté du terrain face à ses principales contreparties notamment l’euro et le dollar pour se négocier respectivement à 129,39 yens et 121,04 yens. Le gouverneur de la Banque centrale du japon a rappelé lors de son dernier discours les difficultés à combattre la déflation dans le pays et a réaffirmé être prêt à revoir sa politique monétaire accommodante si la situation économique du pays se détériorait.

La Banque nationale suisse a quant à elle décidé jeudi de maintenir inchangé ses taux directeurs. Rappelons que la Banque centrale avait abaissé ses deux taux le 15 janvier dernier pour les faire passer à des niveaux négatifs avec un taux de dépôt de -0,75% et un taux Libor à trois mois compris entre -1,.25% et -0,25%. Pour dynamiser l’économie du pays et affaiblir leur devise, les Banques centrales baissent leur taux vers des plus bas. La Suède, qui fait également partie de ces quelques pays avec la Suisse et le Danemark à maintenir des taux négatifs, a poussé davantage ses taux en territoire négatif, après l’intervention de la Banque centrale suédoise mercredi, pour combattre les risques déflationnistes et l’appréciation de la couronne suédoise face à la monnaie unique.

En fin de semaine, le devise helvétique se négocie pour 1,0549 France suisse face à l’euro tandis qu’elle atteint 0,9862 franc suisse face au billet vert. De son côté, la couronne suédoise s’échange à 9,2863 couronnes suédoises face à l’euro et 8,6825 couronnes suédoises contre le dollar américain.

Matières premières :

Au chapitre des matières premières, le baril de Brent se dirige vers une troisième semaine de baisse après être passé sous les $54 ce matin.

Le Brent pour livraison mai perdait 33 centimes ce matin à $54.10. Le contrat est sur une baisse de 1% sur la semaine. Le WTI pour avril lui perdait 21 centimes à $43.75 le baril et se dirige vers une cinquième semaine de pertes hebdomadaire, le contrat avril expire aujourd’hui. La prime entre les deux contrats était de $8.92.

Les dirigeants européens se sont réunis à Bruxelles pour de nouvelles négociations sur l'Iran. Un négociateur européen de haut rang a déclaré que les six puissances mondiales avaient peu de chance de parvenir à un accord avec Téhéran dans le cadre de son programme nucléaire. Rappelons qu’un accord avec l'Iran pourrait conduire à l'assouplissement des sanctions restreignant les exportations de pétrole en provenance du pays, ce qui pourrait renforcer de nouveau la surabondance de l'offre mondiale.

Le pétrole a été sous pression avec les remarques du ministre de pétrole du Koweït. Ce dernier a déclaré hier que l’OPEP n’avait pas d’autre choix que de garder ses niveaux de production actuels pour maintenir ses parts de marché. La prochaine réunion du groupe a lieu le 5 juin. En février les chiffres de production étaient établis à 30.6 millions de barils par jour. Pesant également sur les prix, les exportations du sud de l’Irak ont augmenté en mars par rapport à février où le mauvais temps avait retardé les cargaisons. Le deuxième producteur de l’OPEP est parti pour faire de nouvelles exportations record.

Outre atlantique, les stocks de brut ont augmenté de 9.62 millions de barils à 458.5 millions la semaine dernière selon l’EIA. C’est un plus haut niveau historique alors qu’en même temps la production s’est accélérée à 9.42 millions de barils par jour, le rythme le plus rapide depuis au moins Janvier 1983. Les stocks physiques à Cushing en Oklahoma ont grimpé de 2.87 millions de barils à 54.4 millions, un plus haut niveau jamais atteint depuis avril 2004.

La Fed a ouvert la porte à une possible augmentation des taux d’intérêts directeurs dès le mois de juin, retirant notamment le mot « patient » de son communiqué mais ne semble pas pour autant vouloir se précipiter. La chute du dollar sur cette dernière déclaration de politique de la Fed a changé la direction du marché qui était largement baissière après la dernière publication sur l’avancée des stocks américains.
Selon le sondage hebdomadaire bloomberg, les analystes pensent à 53% que le baril de WTI pourrait poursuivre sa chute la semaine prochaine.

L’or se dirige vers son premier gain hebdomadaire depuis février, souffrant de la forte appréciation du dollar. Cette fois c’est l’intervention de la réserve fédérale américaine mercredi qui a permis de faire rebondir le métal jaune. Le contrat avril sur le Comex gagnait 0.1% à $1170.10. L’argent était stable à $16.1401 après avoir grimpé de 3.1% sur la semaine. Le Platinum perdait 0.2% à $1123.50.

Saxo Banque (France)


N°6 - 9H30

Actions zone euro : Rothschild & Cie Gestion croit au potentiel des valeurs de retournement

A l’occasion de son évènement « Esprit Partenaires », qui a eu lieu le 11 mars dernier, l’équipe de Rothschild & Cie Gestion a présenté ses convictions de gestion devant 200 investisseurs professionnels.

Alors que les perspectives macroéconomiques s’éclaircissent progressivement en zone euro, l’équipe de Rothschild & Cie Gestion, continue de croire au potentiel de rattrapage de certaines valeurs européennes. Pour Didier Bouvignies et Philippe Chaumel, Co-Responsables de la Gestion, les craintes actuelles de déflation en zone euro, une préoccupation centrale pour les investisseurs, sont excessives. « Ces craintes ont surtout été renforcées par la chute récente des prix des matières premières. Dans les prochains mois, nous tablons plutôt sur une hausse des prix à la consommation au regard de l’amélioration de la situation économique européenne et de l’augmentation des prix à l’importation » explique Didier Bouvignies.

Redémarrage du crédit et de l’investissement en zone euro

Pour bon nombre de pays de la zone euro, la dépréciation de l’or noir a des effets bénéfiques tangibles. « Ce mouvement contribue mécaniquement à redonner mécaniquement du pouvoir d’achat aux ménages et améliorer les balances commerciales de pays comme l’Italie, l’Espagne ou la France dont le déficit énergétique s’est réduit » observe-t-il.

A cela s’ajoute l’impact positif de la baisse des taux d’intérêt et de l’euro. La baisse de l’euro favorise légitimement les exportations et augmente l’inflation importée. « Le taux de change effectif nominal devient très favorable pour les entreprises de la zone, cela a d’ores et déjà un effet substantiel sur leurs résultats » commente Philippe Chaumel.

Dans un environnement monétaire ultra-accommodant, le maintien des taux obligataires à des niveaux proches de zéro favorise notamment la demande de crédit et le redémarrage des investissements en construction. « Nous observons une inflexion de l’évolution des crédits au secteur privé, en particulier concernant les prêts aux ménages dont les flux redeviennent significativement positifs » précise Philippe Chaumel. « La baisse des taux, la politique de l’offre conduite en zone euro par les allégements de charges qui pèsent sur les entreprises et le plan Juncker améliorent les conditions de l’investissement, un des principaux points faibles de la zone euro ces dernières années » ajoute-t-il.

Les valeurs de retournement, bien plus attrayantes que les valeurs de croissance

Ces perspectives économiques positives ne sont pas encore totalement valorisées par les marchés boursiers. En effet, avec un PER de 15,1 (contre 17,4 aux Etats-Unis et 14,6 au Japon) et un rendement de 3 %, les actions européennes affichent encore une prime de risque attractive en comparaison des actifs des autres zones géographiques (8% en zone euro contre 5,1% outre-Atlantique).

Au sein des actions de la zone euro, il existe une divergence significative entre les profils de titre. Particulièrement élevée, la valorisation des titres de croissance semble aujourd’hui peu attrayante, à la différence des valeurs de retournement. « Nous continuons de privilégier la thématique de retournement, c’est-à-dire des titres décotés, d’entreprises ayant initié un cycle de restructuration, entre ajustement des coûts et de leurs activités, qui profitera à la croissance de leurs résultats » expliquent les gérants.

« Peugeot S.A est un bel exemple de recovery dans un secteur d’activité qui amorce tout juste son rebond. Les mesures de restructuration rigoureuse du groupe ont valu au titre de doubler depuis début 2014 ». L’équipe de gestion apprécie également certaines valeurs financières, celles dont les valorisations actuelles sous-estiment les retours sur fonds propres. « Nous maintenons une surpondération en faveur de banques françaises et italiennes comme Société Générale, BNP Paribas et Intesa SanPaolo, mais restons à l’écart des grandes banques espagnoles exposées à l’activité des marchés émergents » concluent-ils.

A propos du Groupe Rothschild & Cie Gestion
Avec 24,2 milliards d’euros d’encours, Rothschild & Cie Gestion se situe parmi les grands noms de la gestion dite de conviction en France et en Europe. La société dispose d’expertises en gestion classique se concentrant sur les actions européennes, les obligations crédit et convertibles et la gestion diversifiée flexible.
Parallèlement, Rothschild & Cie Gestion a développé, via sa filiale Rothschild HDF Investment Solutions, une offre de solutions d’investissement en architecture ouverte. Rothschild HDF Investment Solutions assemble, de manière innovante, optimale tout en recherchant à contrôler les risques, des expertises internes et externes sélectionnées et suivies avec rigueur.

À propos de Paris Orléans, maison mère du Groupe Rothschild
Paris Orléans est centré sur les métiers suivants :
- le Conseil financier (Global Financial Advisory) - conseil en fusions et acquisitions, conseil en financement et en restructuration de dette et conseil sur les opérations de marchés de capitaux ;
- la Banque privée et la gestion d’actifs (Wealth and Asset Management) ;
- le Capital investissement (Merchant Banking)

Paris Orléans SCA est une société en commandite par actions de droit français, au capital de 142 208 216 €, inscrite au Registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 302 519 228. Siège social : 23 bis avenue de Messine, 75008 Paris, France. Paris Orléans est cotée sur le NYSE Euronext à Paris, Compartiment A – Code ISIN : FR0000031684.
www.paris-orleans.com


N°5 - 9H15

UBS daily roundup - Back to bickering (Euro-style)

Paul Donovan daily briefing.

• With central bank excitement now out of the way, for the most part, attention can return to the ongoing German crisis in Europe. The EU summit continue, with requests for reform being made of Greece, but as yet few demands for reform being made of Germany.

• The liquidity of the Greek banking system is the more critical issue than whether there is a sovereign default. Monetary union survival is, historically speaking, dependent on the banking system – and contagion of a monetary union failure is transmitted via the banking system.

• The Bank of England Chief Economist made a statement of the obvious yesterday, to the effect that if deflation occurred and was seen as enduring, the Bank would ease. The UK does not have a general price decline, nor is it likely to any time soon, so the issue is somewhat moot.

• Minutes from the Bank of Japan did not give much indication of future policy action. The BoJ is waiting for the wage settlements from large companies to see if the deflation mentality (focused on wage deflation not CPI deflation) is able to be broken.

www.ubs.com/investmentbank


N°4 - 9H00

Les regards à nouveau tournés vers les réformes grecques en ce jour des 4 sorcières

Marchés actions
Les principales places à travers le monde ont évolué sans grande tendance hier. Wall Street a notamment souffert de la nouvelle baisse du pétrole qui avait pourtant bien rebondi mercredi, et n’a donc pas poursuivi sur sa progression entamée après le discours de la FED. Le Dow Jones et le Nasdaq abandonnent ainsi respectivement 0.65% et 0.49% à 17 959.03 points et 2 089.27 points. Le Nasdaq a sorti son épingle du jeu en s’adjugeant 0.19% à 4 992.38 points soutenu notamment par la progression de Facebook, le secteur pharmaceutique et les Biotechs.

En Europe, les places boursières n’auront finalement pas profité du discours de la FED. Rappelons que la FED n’a plus employé le terme « Patient » mais Janet Yellen a tout de même précisé que la disparition de ce mot ne signifiait pas pour autant que la FED allait se hâter de relever ses taux. Cette future hausse des taux est même jugée « improbable » pour le mois d’Avril selon la FED. Néanmoins, cette hausse pourrait se produire à partir de n’importe quelle réunion dorénavant. Janet Yellen attend désormais un signe supplémentaire de l’embellie de l’économie américaine que ce soit sur le marché de l’emploi US et une meilleure inflation. Cette inflation sera au cœur de l’actualité au cours des prochains mois en raison de la chute du pétrole et de la hausse du dollar qui devrait l’affaiblir. En effet, les prix à l’importation vont notamment baisser. De plus, la FED a abaissé ses prévisions de la croissance pour cette année 2015 suite à de nombreux indicateurs décevants outre atlantique ces dernières semaines.

Le CAC 40 a grappillé 0.07% à 5 037.18 points, tout comme le Footsie qui affiche une progression de 0.25% à 6 962.32 points. Le Dax a souffert en reculant de 0.20% à 11 899.40 points. Les investisseurs attendent dorénavant d’en savoir un peu plus sur l’avancée des négociations autour du dossier grec.

Ce matin, la Bourse de Tokyo s’est adjugé 0.43% à 19 560.22 points. Les principales places européennes sont attendues à la hausse à l’ouverture. Un accord aurait été trouvé entre Holcim et Lafarge après les tensions ces derniers jours, qui ont même remis en cause le projet de fusion.

Forex
Après avoir bien rebondi suite à la Fed, la monnaie unique repart à la baisse face au billet vert pour repasser ce matin sous la barre des 1,07 dollar pour se traiter à 1,0665 dollar. La fragilité de l’euro atteste des difficultés économiques que rencontre la zone euro. Lors du sommet de l’Union Européenne hier la Grèce s’est engagée à présenter dans les prochains jours une liste de réformes pour renégocier son refinancement face à ses partenaires européens. Ces déclarations permettent de garder espoir sur un sauvetage de la Grèce et ainsi éviter toute sortie du pays de la zone euro qui alimenterait le risque systémique.

Ce contexte européen plombe les taux d’emprunts pour les pays européens. C’est au tour de l’Irlande d’emprunter à des taux d’intérêt négatifs, après l’Allemagne et la France. Face à la devise britannique, la monnaie unique s’échange pour 0,7231 pence et atteint 128,93 yens conte la monnaie japonaise.

Le billet vert bénéficie toujours des derniers propos venus de la Réserve fédérale américaine qui confirment que l’institution devrait prochainement revoir à la hausse ses taux directeurs ce qui rendrait le dollar américain plus rémunérateur face à ses principales contreparties. Ce matin, le dollar s’échange pour 120,77 yens contre la devise nippone et se négocie à 1,4761 dollar face à la livre sterling.

Matières premières
Les prix sur le pétrole se dirigent vers une cinquième baisse hebdomadaire dans un contexte ou la surabondance mondiale s’aggrave. Le contrat avril sur le WTI se négocie à $43.65 le baril, en baisse de 31 centimes ce matin. Le contrat sur Mai maintenant plus actif est échangé quant à lui à $45.41. Le volume des contrats à terme négociés était d’environ 57% inférieur à la moyenne des 100 jours. Le Brent était en baisse de 11 centimes à $54.32 le baril à Londres. Il avait déjà perdu $1.48 hier à $54.43. La prime entre les deux contrats était de $8.92.

Le repli de jeudi révèle que l'attention se porte de nouveau sur les fondamentaux du marché, alors qu'un excédent de 1,5 million de barils par jour est prévu pour le premier semestre 2015. L’OPEP a toujours besoin de garder son objectif de production pour garder ses parts de marché. La prochaine réunion du groupe a lieu le 5 juin. En février les chiffres de production étaient établis à 30.6 millions de barils par jour. L’Iran pourrait augmenter ses exportations dans les mois qui viennent si l’aboutissement à un accord sur son programme nucléaire a lieu. Les puissances mondiales ont proposé de suspendre les restrictions sur les exportations de pétrole si la République islamique accepte des limites strictes sur son programme nucléaire pendant au moins une décennie.

Outre atlantique, les stocks de brut ont augmenté de 9.62 millions de barils à 458.5 millions la semaine dernière selon l’EIA. C’est un plus haut niveau historique alors qu’en même temps la production s’est accélérée à 9.42 millions de barils par jour, le rythme le plus rapide depuis au moins Janvier 1983.

Du coté des métaux précieux, l’or se dirige vers sa première ascension hebdomadaire depuis février grâce au discours de la politique de la réserve fédérale américaine qui s’est montrée moins patiente quant au relèvement de ses taux. L’once d’or s’échangeait à $1171 l’once ce matin, progressant de 1.1% cette semaine. Le métal était tombé à un plus bas de $1142.92 mardi alors extrêmement touché par la forte valorisation du dollar américain sur les autres devises.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°3 - 8H30

Where is the Pain Threshold for China’s Growth?

By Chi Lo, Senior Economist, Greater China, BNP Paribas Investment Partners.

The risk of US interest rate normailisation affecting China (via capital outflows) could be limited1 because of the large Sino-US interest rate spread (more than four percentage points at the time of writing), the lack of free capital flows in and out of China, and the lack of substitutability between Chinese and US assets. In other words, the conditions for “uncovered interest rate parity” do not apply to China. These arguments still stand, despite the prospect of Chinese interest rate cuts in the short-term.

What about the risk to China’s growth from the withdrawal of foreign capital as the US quantitative easing (QE) ends? Some analysts have argued that China financed most of its economic recovery from the global financial crisis with imported capital. They cite the fact that cheap money created by the US Fed’s QE policy flooded offshore centres, mainly Hong Kong, and then went to China in the form of carry trades. These QE-induced funds were first converted into Hong Kong dollars, which is pegged to the US dollar, and then invested in renminbi (RMB)-denominated high yield financial products issued by mainland Chinese companies in the offshore Hong Kong (or CNH) market.

Official data seems to support this argument. Hong Kong banks’ net claims on China have soared since 2010 to unprecedented amounts (Chart 1). As of Q3 2014, the latest data available, international claims and liabilities of Hong Kong banks were HKD9.4 trillion and HKD 7.0 trillion, respectively, resulting in HKD2.4 trillion of net claims. Meanwhile, net claims by Hong Kong banks on China amounted to HKD 2.6 trillion, up from almost zero in 2009. The fact that net claims on China by Hong Kong banks have risen exponentially in recent years while total net claims are almost equal to the net claims on China suggests that the bulk of Hong Kong banks’ foreign lending had funded China’s growth (Chart 2).


The end of US QE should reverse this flow of capital (via the CNH market) to China, which could hurt growth. However, this argument is flawed for the simple fact that the HKD2.6 trillion net claims by Hong Kong banks on China account for only 2.4% of China’s total outstanding loans. How could the reversal of such a small share of foreign capital drag down the Chinese economy?

The key risk to China’s growth is not the end of the US QE, but weak aggregate demand. The relevant question is: where is the pain threshold for China’s growth and what will be the catalyst for Beijing to resort to a significant economic bailout? We have argued that it would not be inflation because there is none, or a credit event in the system since Beijing still has a selective “implicit guarantee” policy that protects systemic confidence. The key to answering the growth-pain threshold question lies in China’s labour market.

Beijing will tolerate slow growth for the sake of structural reforms as long as employment remains resilient. This has been the case so far, despite slowing economic growth,. China’s labour demand-to-supply ratio has remained above one since 2009, suggesting tight labour market conditions (Chart 3). The economy has grown in size, with the labour-intensive services sector now accounting for a larger share, hence demanding more labour, than the manufacturing sector. Meanwhile, growth of the labour force has decline due to an ageing population.

However, if economic growth slows to the point where it destabilises the labour market, that would likely prompt Beijing to aggressively ease policy to mitigate the risk of social discontent. In the short-term, the demand and supply balance still favours a resilient labour market, allowing Beijing to refrain from major policy easing.

So where exactly is this threshold? Econometric modeling cannot provide any precise answers due to imperfect data and unstable structural parameters in the economy. The market’s estimates range from a growth rate of 5% to 6.5%. This means that Beijing has a rather high growth-pain threshold, giving it the leeway to purse structural reforms at the expense of growth.

BNP Paribas
www.bnpparibas-am.com

N°2 - 8H15

Dollar strength tips Fed towards later rate rise

Commentaire de Keith Wade, chef économiste et stratégiste chez Schroders, suite à la réunion de la Réserve fédérale américaine hier.

“We have pushed back our forecast for the first US interest rate rise following the latest meeting of the Federal Open Market Committee.

The latest statement from the US Federal Reserve (Fed) had something for everyone, with both hawks and doves claiming it confirmed their views on the future path of rates. Although it remains a close call, we are pushing our forecast for the first US rate rise out from June to September 2015.

As expected, the Fed dropped its pledge to be "patient" before raising rates thus creating the opportunity to move for the first time in nearly a decade. Although this supports the view that the first rate rise will come in June, any hawkish sentiment was softened by a dovish assessment of the economy. The Federal Open Market Committee cut its forecasts for growth, inflation and future interest rates. In short, the Fed sees more slack and less wage pressure than before, meaning that it can take its time in making its first move.

From our perspective the timing of the first rate hike is still a close call. The labour market will continue to tighten, with unemployment set to drop significantly further and we expect activity to pick up after the recent soft patch, which owes much to the one-off effects of bad weather and the West coast dock strike. Against this have been concerns about low headline inflation and the risk of contagion to the emerging markets from higher US rates. However, low headline CPI prints are a consequence of low energy prices (which we see as positive for the economy) and contagion risks are always with us and will only build if rates never rise.

In our view, the factor tipping the balance toward a later move is the strengthening of the US dollar. Whilst a strong dollar has been part of our forecast we did not expect the scale of the move seen since the start of the year. As a result monetary conditions have tightened by more than expected, putting downward pressure on activity. In particular, imported goods prices will be lower, thus weighing on core inflation and allowing the Fed more leeway on tightening.

We still believe that rates need to rise as the economy is getting back to normal with unemployment near equilibrium and credit growth resuming. However, the Fed is clearly happy to be cautious and keep the liquidity flowing for a little longer.”

Schroders


N°1 - 8H00

Le moment serait-il venu de revoir le secteur de la défense ?

Avec les attaques terroristes du 11 septembre, le monde a découvert une nouvelle forme de guerre, et l’Occident a ainsi dû reconsidérer sa vision du conflit. L’idée plutôt simpliste selon laquelle les guerres doivent être menées et gagnées (ou perdues, parfois) a ainsi volé en éclats. L’«asymétrie» qui prévaut dans cette guerre moderne – avec des accès de violence localisés et un système d’alliances complexe – signifie que l’idée même de «gagner» appartient au passé.

En revanche, ce qui reste vrai c’est que la guerre a un coût. La crise économique de 2008 et les dix années de combats menés dans le désert ont contraint les Etats-Unis et l’Europe à opérer de sérieuses coupes budgétaires. Le Royaume-Uni a, pour sa part, réduit son budget de 3,6% chaque année depuis 2009, et la plupart des membres de l’OTAN ont suivi un processus similaire. Pour la quasi-totalité des pays, excepté les Etats-Unis, les dépenses restent aujourd’hui inférieures aux 2% du PIB recommandés.

En quoi est-ce important ? Au moment où l’Europe a réduit ses dépenses de défense d’environ 20%, la Russie, elle, les a augmentées de plus de 50%, le tiers étant consacré à la sûreté nucléaire. Le pays s’affiche aujourd’hui en 3e position en matière de dépenses de défense, derrière les Etats-Unis et la Chine. Cette dernière est dans sa deuxième décennie de hausses budgétaires à deux chiffres et ne consacre toujours que 1,5% de son PIB à la défense. Selon les dernières annonces en provenance de Chine, la priorité du pays semble être de «rattraper» les Etats-Unis (les dépenses absolues en USD représentent toujours le quart du budget américain).

Si les dépenses de défense de la Chine constituent une menace encore lointaine, celles de la Russie présentent, elles, un risque bien réel et immédiat. En effet, il n’est plus controversé aujourd’hui de dire que l’ambition de V. Poutine pourrait ne pas se limiter à l’Ukraine. La réponse militaire ne paraît certes pas la plus appropriée, mais la question des dépenses de défense ne doit plus être négligée. L’Europe doit donc trouver l’argent. La création d’une armée européenne, comme suggéré par M. Juncker, pourrait être une bonne idée, mais elle semble lointaine. L’Allemagne a déjà commencé à commander des systèmes de défense antimissile, et les pays baltes ont augmenté leurs dépenses d’USD 300 millions au dernier trimestre. La question est généralement très impopulaire sur le plan politique et, avec les bombardiers russes qui menacent l’espace aérien britannique, le message devient peut-être plus acceptable auprès de l’électorat.

Ces développements bénéficient-ils aux sociétés de défense européennes ? Oui, mais pas à toutes. Nombre d’entre elles sont en effet très exposées au budget américain; or, il est peu probable que ce dernier augmente à court terme. Il est très probable que les révisions des bénéfices (BPA) soient les plus fortes du côté des entreprises qui présentent les qualités et les atouts suivants : une exposition aux marchés émergents «partenaires» en croissance comme l’Inde, le Brésil et l’Indonésie; un statut d’acteur local ou de niche avec une excellente technologie; la capacité à opérer une restructuration «bottom-up».

FACTEURS HAUSSIERS

Les risques accrus liés à la Russie et à l’Etat islamique (EI) rendent les hausses budgétaires plus acceptables sur le plan politique.

Les Etats-Unis exercent une pression grandissante sur l’Europe pour qu’elle s’implique plus en matière de défense.

FACTEURS BAISSIERS

La défense européenne ne peut pas directement tirer parti des fortes hausses budgétaires opérées ailleurs, notamment en Chine et en Russie.

Les budgets européens sont très tendus: augmenter les dépenses dans ce domaine impliquerait une réduction dans d’autres secteurs.

Les préoccupations éthiques sont fortes à l’égard des investissements dans le secteur de la défense.

Ce commentaire est signé Victoria Legett, fund manager European Equities chez UBP

Groupe Union Bancaire Privée (UBP)
www.ubp.com

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TAUX D'INTERET LEGAL

L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".

Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".

Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.

L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."


Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 20 Mars 2015




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