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FY Eco (17-04-2015) n°6 - 14H30 | Hyperliquidité

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Chaque jour, et plusieurs fois par jour, votre quotidien Finyear vous offre (cadres financiers, investisseurs et conseillers professionnels) des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

FY Eco (17-04-2015) n°6 - 14H30 | Hyperliquidité
Note de la rédaction

Le flux journalier d'actus économiques (Finyear Éco) cesse à compter de ce jour et sera remplacé par la publication d'un ou plusieurs articles économiques par semaine.
Merci de votre compréhension.

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N°6 - 15H30

Hyperliquidité

Par Eric Galiègue, Valquant.

La période que nous vivons demeure un défi pour les analystes et les économistes. Le cœur de notre schéma haussier de moyen terme repose sur la persistance de ce que nous appelons l’hyperliquidité. Cette hyperliquidité justifie tous les excès. Nous le rappelons à nouveau : elle n’est pas dans les manuels économiques et apparait très peu dans les théories économiques. Nous avançons toujours en « terra incognita »…

L’hyperliquidité va durer, et longtemps
Les banques centrales, initiatrices du phénomène, sont totalement prisonnières et obligées de continuer à absorber des actifs financiers par émission de monnaie, à financer la dette excessive, surtout publique. Mme Yellen n’a quasiment plus de raison pour augmenter ses taux, même si le « Beige Book », le rapport économique des 12 banques régionales de réserve, a souligné que l’économie américaine a continué de progresser. Il a aussi rappelé les raisons du ralentissement en cours : la hausse du dollar, la baisse des cours du pétrole et des conditions météo très compliquées dans une partie des USA pendant l’hiver… M. Draghi, malgré la perspective de taux négatifs sur le 10 ans allemand, qui valait 0,08 % hier, a validé le programme de rachats d’actifs financiers, au même rythme et aussi longtemps qu’annoncé en janvier… La banque d’Angleterre, qui a pratiqué un Quantitative Easing de plus de 20% du PIB national, n’est pas prête à reprendre l’argent crée avec une aussi faible inflation. Si on considère que le Japon est loin d’avoir fini son propre programme, et que la Banque Centrale de Chine va s’y mettre, on peut considérer que l’hyper liquidité va durer encore longtemps…

L’hyperliquidité favorise trop le « retour aux actionnaires »
Le « courtermisme » est le grand gagnant de cette hyperliquidité. Elle autorise tous les excès, dénoncés par Laurence Finck, le Directeur Général du plus grand gestionnaire d’actif du mode, BlackRock. Dans un article publié cette semaine dans la presse financière américaine, il dénonce les pratiques qui favorisent le court terme et condamne les visions de long terme. La pratique la plus évidente est d’augmenter l’endettement, facile à obtenir à un taux très bas, pour racheter les actions par annulation, en vue d’une « relution » du bénéfice par action… L’année dernière, les entreprises américaines ont consacré 1000 milliards de dollars à leurs actionnaires. C’est plus de 6 % du PIB américain !

L’hyperliquidité détourne les investisseurs de la détention obligataire, pour favoriser la détention des actions
L’évaluation par comparaison des rendements est redoutable… Avec des rendements qui convergent vers 0, il ne faut pas avoir fait de longues études pour justifier n’importe quelle valorisation des actions…

L’hyperliquidité perturbe la perception du risque
Le cas Grec est à ce titre impressionnant. Le FMI a annoncé quasiment officiellement que la Grèce va faire défaut sous un mois, en confirmant que le FMI ne négociera pas un report d’échéance pour le prochain remboursement. Le premier ministre Tsipras a annoncé qu’il pouvait accepter un compromis, mais pas une compromission. M. Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des finances, a dit que « personne ne dispose du moindre indice laissant espérer que nous parviendrons à un accord ». La probabilité de la sortie de la Grèce de la zone Euro n’a jamais été aussi élevée, les taux grecs affichent près de 13 %, et le marché des actions ne réagit pas…

Nous confirmons que la probabilité d’une consolidation brutale est élevée à court terme, mais considérons toujours que la perspective à moyen terme demeure favorable pour les actions.

Investisseurs : Recommandons aux investisseurs à risque moyen et faible de ne pas être investi actuellement. Les investisseurs à profil de risque élevé peuvent rester investis, tant que la tendance reste favorable.

Spéculateurs : Le dernier gap a été comblé, le Cac 40 déclencherait un signal de vente court terme sous 5200 points.

Tendances sur les taux et les devises : Les taux souverains poursuivent leur baisse, partout dans le monde, sauf en Grèce …Le taux du Bund allemand se rapproche de 0 (0,08%), la France a émis à 5 ans à un taux légèrement négatif.

Tendances récentes sur les matières premières : Le cours du pétrole a fortement remonté.


N°5 - 15H15

Désordre à l’ouverture alors que la Grèce inquiète

La fin de semaine approchant, il semblerait de toute évidence que le récent rallye des marchés européens perd de sa superbe, le DAX inscrivant sa plus forte baisse depuis janvier terminant potentiellement la semaine dans le rouge.

Même les actions américaines publiant des résultats positifs ont peiné à se maintenir après un début de semaine haussier. Parallèlement, les chiffres économiques mitigés ont mis le dollar en équilibre sur un pied, et permis au pétrole d’inscrire de nouveaux plus hauts annuels.

Alors que se tient la réunion du G20 et du FMI à Washington, la Grèce continue d’être au premier plan, le sujet principal d’un chapitre supplémentaire d’une saga homérique.

Les rumeurs selon lesquelles la présidente du FMI Christine Lagarde refuse d’accorder un délai supplémentaire aux officiels grecs a entrainé un revirement du sentiment des opérateurs hier, avec un Bund allemand qui a inscrit un nouveau record historique à 0.073%. Plus tard le ministre des finances Varoufakis, à la suite de son rendez-vous avec le président Obama, a rencontré le président de la BCE Mario Draghi, à la suite de quoi il a clairement statué qu’il ne signerait aucune autre extension ou version d’un accord.

Malheureusement cette détermination Grecque est proportionnelle à la détermination allemande. Le ministre des finances Schaueble a suggéré qu’ils étaient les bienvenus à chercher de l’argent ailleurs s’ils le souhaitaient.

La faiblesse du Dollar américain hier ont permis à la monnaie unique de se reprendre malgré les craintes au sujet d’un Grexit. Nous pourrions voir cette dernière continuer de rebondir, notamment si l’inflation devrait se reprendre en zone euro alors qu’elle stabilise outre atlantique.

On suivra donc les chiffres finaux du CPI du mois de Mars, le chiffre annuel est attendu en baisse de 0.1% mais le mensuel glissant en amélioration de 0.6 à 1.1%

Si les chiffres US ne rebondissent pas autant qu’en Europe, le Dollar pourrait être de plus en plus sous pression, surtout après les commentaires du membre de la FED Eric Rosengren hier. Ce dernier a expliqué qu’aucune des deux conditions pour un changement de politique n’avaient été remplies, que l’économie US étaient toujours trop faible, contrastant avec son homologue Stanley Fisher qui suggérait l’inverse.

Le CPI US est attendu à 0% sur un an et en hausse de 0.2% en mensuel glissant.

Par Nicolas Chéron, Responsable du département Recherche chez CMC Markets France

Ce commentaire présente un caractère purement informatif et ne constitue ni un conseil en investissement, ni une recommandation d’achat ou de vente d’instruments financiers.

A propos de CMC Markets : Fondé en 1989 par Peter Cruddas, CMC Markets est l’un des principaux courtiers en CFD dans le monde. A l’origine spécialisé sur le marché des devises (Forex), CMC Markets s’est rapidement positionné sur les CFD (Contract for Difference), avant de lancer en 1996 la première plate-forme globale de trading en temps réel sur le Forex. Présent en France depuis fin 2010, CMC Markets est agréé par la FCA au Royaume-Uni (Financial Conduct Authority) et enregistré auprès de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution en France.

Les CFD (contract for difference) sont des produits financiers à effet de levier comportant un risque de perte supérieure au capital investi. Ces produits présentent un caractère hautement spéculatif. Ils sont destinés à des investisseurs avisés pouvant surveiller leurs positions de façon continue et ayant les moyens financiers de supporter un risque de perte en capital. Les CFD sont liés à des actifs sous-jacents extrêmement variés. Les CFD présentent des risques spécifiques qui peuvent varier grandement d’un produit à l’autre, par exemple s’agissant de la rapidité des variations des cours ou en matière de liquidité.


N°4 - 14H00

Les marchés marquent le pas, la Grèce inquiète toujours

Marchés actions :

Les principales places actions en Europe accusent le coup ce vendredi, après avoir consolidé tout au long de la semaine. Le CAC 40 accuse le coup pour la deuxième semaine consécutive et s’éloigne quelque peu de son plus haut niveau depuis 2008 à 5 250 points. De même le Dax efface plusieurs semaines de gain. En dépit de cette baisse, les principales places restent sur des niveaux très élevées.

La semaine a commencé de façon plutôt calme. Les investisseurs se sont donc montrés prudents avant plusieurs journées chargées en publications macroéconomiques. Cette semaine, la BCE s’exprimait également. De plus, les investisseurs attendent avec impatience la suite des publications des résultats trimestriels, et tout particulièrement des grandes banques cette semaine. Suite à la forte hausse du dollar ces derniers mois face à un large panel de devise, et tout particulièrement face à l’euro, les entreprises US exportatrices seront tout particulièrement scrutées pour jauger l’impact de cette forte variation. Les résultats des entreprises sont, sans surprise, attendus à la baisse pour ce premier trimestre de l’année. Les premières publications font état de plusieurs bonnes surprises et notamment du côté des banques américaines.

L’un des dossiers majeurs de ces derniers mois, à savoir la dette grecque revient sur le devant de la scène cette semaine. La situation autour de la dette grecque reste en effet toujours très préoccupante. Standard and Poor’s a abaissé sa note sur la dette grecque à CCC+ avec une perspective négative. De plus, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a précisé que les différents partis étaient encore loin d’un accord, alors que l’on s’approche rapidement d’une date butoir. Standard and Poor’s précise même que la Grèce pourrait se retrouver en situation critique dès le 12 mai si le pays rembourse le FMI. Le premier ministre grec, Alexis Tsipras, continue de se montrer confiant sur le dénouement de ce conflit qui oppose principalement les membres de l’Eurogroupe et la Grèce. Le scénario du Grexit, bien que toujours peu probable selon les protagonistes, circulent de plus en plus. La rencontre entre Vladimir Poutine et le premier ministre grec il y a quelques jours n’invite pas à l’optimisme. Les différentes réunions et rencontres entre la Grèce et les membres de l’Eurogroupe vont s’avérer déterminantes dans les prochains jours.

Les résultats trimestriels d’entreprises ont quelques peu occulté les différentes publications macroéconomiques cette semaine. Et pourtant ces chiffres ont été globalement décevants tout au long de la semaine, repoussant l’idée d’une hausse des taux avant l’été. Les chiffres de l’inflation et de l’emploi seront toujours scrutés avec attention dans les prochaines semaines.

Forex :

La semaine a été favorable pour la monnaie unique européenne avec la conférence de presse du président de la Banque centrale européenne. Ce dernier s’est montré confiant sur l’efficacité des mesures apportées par l’institution pour relancer l’économie de la zone euro et surtout atteindre l’objectif d’inflation proche de 2%.

Les marchés ont également bien accueilli les propos de Mario Draghi sur la situation de la Grèce qui selon lui ne devrait pas faire défaut. Des propos qui ont renforcé la confiance des investisseurs alors que la Grèce reste l’un des principaux risques de déstabiliser la zone euro. En début de semaine, la commission européenne a rappelé que beaucoup de travail restait à être réalisé pour Athènes. De son côté, l’économiste en chef du FMI n’excluait pas le scénario d’une crise grecque. Les interrogations restent encore bien présentes sur la capacité de la Grèce à rembourser sa dernière tranche d’aide du plan d’aide UE-FMI alors que ses créanciers ont demandé au gouvernement grec une liste de réformes d’ici le 20 avril.

Les indicateurs économiques en provenance de la zone euro ont également jouer en faveur de la monnaie unique à l’image du marché automobile qui affiche une progression de 10,8% des immatriculations de voitures neuves pour le mois de mars, soit la plus forte hausse depuis un an.

En parallèle le billet vert a souffert d’indicateurs ressortis dans le rouge, comme l’activité manufacturière de la région de New York qui enregistre une forte baisse sur le mois d’avril pour repasser dans le rouge. La production industrielle a reculé de 0,6% le mois dernier soit sa plus forte contraction depuis plus de deux ans et demi. Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont déçu également en atteignant un plus haut niveau de six semaines et les mises en chantier progressent moins que prévu. Ces dernières statistiques sèment le doute sur une possible remontée des taux de la part de la Réserve fédérale américaine dans les prochains mois, ce qui pourtant semblait presque acquis par les investisseurs.

En fin de semaine, la monnaie unique se traite au-dessus de la barre des 1,08 pour s’échanger à 1,0812 dollar, soutenue par les prix à la consommation qui sont ressortis en hausse de 1,1% sur un mois.

De son côté, la devise britannique se renforce face à ses principales contreparties pour s’échanger en fin de semaine à 0,7194 pence face à l’euro et repasser au-dessus de la barre des 1,50 contre le billet vert pour se négocier aux alentours de 1,5020 dollar. Les investisseurs ont bien accueilli les chiffres sur l’emploi vendredi en Grande-Bretagne. Le nombre de personnes travaillant a progressé de 248 000 pour atteindre un plus haut de 7 ans avec un niveau record de 31 049 millions de personnes ayant un emploi dans le pays. Le taux de chômage tombe à 5,6%, un plus bas depuis juillet 2008.

Au Japon, l’indice mesurant la confiance des ménages japonais s’affiche également dans le vert en progressant de 0,8 point sur un mois pour atteindre 41,7 points lorsque les analystes tablaient sur une hausse à seulement 41,4 points. Dans contexte, la devise nippone s’échange pour 118,80 yens face au billet vert et atteint 128,37 yens contre l’euro.

Matières premières :

Le pétrole s’apprête à enregistrer sa plus forte progression sur une semaine depuis quatre ans. Le contrat de mai sur le WTI s’échangeait en baisse de 55 centimes ce matin à $56.16. Depuis le début de l’année, les prix ont augmenté de 5.7%. Le Brent sur juin s’échangeait à $63.45, et est en passe d'enregistrer la hausse hebdomadaire la plus importante en quatre ans avec près de 9.6%. Le volume total a été environ 19% inférieur à la moyenne des 100 jours. La prime entre les deux barils était de $5.78.

Le Ministre du pétrole Iranien a suggéré mardi que l’OPEP devrait réduire d’au moins 5% sa production. Samir Kamal, le représentant de la Libye à l’OPEP lui avait dit que l’organisation devrait réduire de 800 000 barils par jour sa production pour pouvoir accueillir la nouvelle offre de l’Iran.
Le département de l’énergie américain prévoit un ralentissement sur le mois de mai de la production de pétrole de schiste. La production de brut a baissé de 20 000 barils par jour à 9.4 millions la semaine dernière. Les données de l’EIA montrent une contraction de l’offre du pétrole de schiste. La baisse du nombre d’appareils de forage en activité a conduit à une baisse de production du gaz de schiste. Le nombre de puits de forage en activité a diminué encore à 760 la semaine dernière, un taux d’utilisation au plus faible depuis décembre 2010. Schlumberger, le plus grand fournisseur au monde de services pétroliers a annoncé une suppression de 11 000 emplois en raison de la chute des prix.

Les cours de l'or noir ont été soutenus aussi mercredi par l'annonce d'une hausse plus modérée que prévue des stocks de pétrole aux Etats-Unis la semaine dernière. Les stocks de brut ont augmenté de 1.29 million de barils la semaine dernière à 483.7 millions alors qu’une hausse de 3.6 millions était attendue. C’est le plus haut niveau en données hebdomadaires compilées depuis Août 1982.

Le pétrole a également été soutenu par le conflit au Yémen. Al-Qaida a pris le contrôle de plusieurs positions clés dans le sud du pays avec notamment un aéroport, un port maritime et une raffinerie. Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a rassuré les puissances mondiales hier en affirmant qu’un accord nucléaire avec l’Iran serait examiné au congrès. L’Arabie Saoudite a produit au mois de mars à un niveau le plus élevé depuis plus de trente ans. Le pays a augmenté sa production de brut de 658 800 barils par jour en mars à 10.294 millions. L’Arabie Saoudite compte toujours bien défendre ses parts de marchés. La tendance reste toujours sur une surabondance de l’offre mondiale, en effet même si la hausse des stocks a été plus modérée, le niveau des stocks reste sur un niveau record. Du point de vue de la demande, la croissance chinoise a été moins élevée que prévu pour le premier trimestre et cela ne pourra qu’aggraver la surabondance de l’offre mondiale.

Sur les métaux précieux, l’once d’or se dirige vers une perte sur la semaine. L’once d’or semble se stabiliser autour des $1200 en attendant la réunion de la Fed à la fin du mois. Elle cotait ce matin au-dessus de ce seuil symbolique à $1206. L’argent augmentait de 0.2% à $16.324. Le platinum lui prenait aussi 0.2% à $1162.37.

L'équipe Saxo Banque


N°3 - 9H15

Les marchés indécis en cette journée des 3 sorcières

Marchés actions
Les principales places actions ont souffert hier. En Europe, faut de catalyseurs, le CAC 40 a cédé 0.57% à 5 224.49 points, le Dax 1.90% à 11 998.86 points et le Footsie 0.51% à 7 060.45 points. De même, en dépit de bons résultats trimestriels notamment du côté des banques, Wall Street a également très légèrement concédé du terrain. Le Dow Jones recule de 0.04% à 18 105.77 points, le S&P500 de 0.08% à 2 104.99 points et le Nasdaq de 0.06% à 5 007.79 points.

Les principales places boursières américaines ont stagnées pour la séance d’hier. En effet, les investisseurs n’ont pas eu l’appétit pour le risque et ce, malgré la publication de statistiques économiques qui conforte le maintien de la politique accommandante de la Fed. Sur le front des annonces économiques, les opérateurs de marché ont pris connaissance des mises en chantier aux USA qui affichent une augmentation de +3% alors que le consensus tablait sur +10%. L’autre mauvaise statistique concerne les permis de construire qui ont été publiés à 1 039 000 contre 1,08 million pressentis. Enfin, les nouvelles inscriptions au chômage s’établissent à 294 000 nouveaux inscrits au lieu des 280 000 attendus par les analystes.

Ce matin, la Bourse de Tokyo a reculé de 1.17% à 19 652.88 points, consolidant avant le début des publications des entreprises japonaises la semaine prochaine. Les principales places européennes sont attendues en ordre dispersé à l’ouverture. Le dossier grec devrait petit à petit revenir sur le devant de la scène. Même si le premier ministre grec, Alexis Tsipras, montre son optimisme, un accord est encore loin d’être trouvé et une des échéances principales arrive à grand pas. La Grèce pourrait se retrouver à la mi-mai à cours de trésorerie.

Forex
La monnaie unique regagne un peu de terrain face au billet vert soutenue par les propos du président de la Banque centrale américaine, qui s’est montré optimiste sur l’efficacité de la politique monétaire menée par la banque centrale pour redynamiser l’économie européenne.

En parallèle, le dollar américain ressort pénalisé par des indicateurs économiques qui s’affichent en dessous des attentes. Après l’activité manufacturière dans la région de New York et la production industrielle aux Etats-Unis, ce sont les inscriptions hebdomadaires au chômage qui déçoivent en atteignant un plus haut niveau de six semaines et les mises en chantier progressent moins que prévu. Ce contexte économique déstabilise les investisseurs qui avaient pris l’habitude d’indicateurs solides en provenance des Etats-Unis et sème le doute sur un prochain relèvement des taux de la part de la Réserve fédérale américaine.

Ce matin, la monnaie unique se négocie pour 1,0760 dollar face au billet vert et s’échange pour 0,7208 pence face à la devise britannique. La devise nippone de son coté, recule face à l’euro pour s’échanger à 127,97 yens et atteint 118,92 yens contre le dollar américain.

Aujourd’hui les investisseurs suivront la publication des chiffres sur l’inflation au sein de la zone euro pour le mois de mars, dévoilés à la suite de la conférence de presse de Draghi il y a deux jours au cours de laquelle le président de l’institution a rappelé l’objectif d’atteindre une inflation proche de 2%.

Matières premières
Le pétrole s’apprête à terminer la semaine en forte hausse malgré la surabondance persistante de l’offre mondiale.

Le contrat de mai sur le WTI s’échangeait en baisse de 55 centimes ce matin à $56.16. Le Brent sur juin s’échangeait à $63.45 ce matin, il est sur la hausse hebdomadaire la plus importante en quatre ans avec près de 9.6%.

Le département de l’énergie américain a annoncé que la production de pétrole par méthode de schiste devrait diminuer en mai. Le pétrole a également été soutenu par le conflit au Yémen. Al-Qaida a pris le contrôle de plusieurs positions clefs dans le sud du pays avec notamment un aéroport, un port maritime et une raffinerie.

Les stocks américains ont progressé à un plus haut niveau la semaine dernière alors que la production a commencé à diminuer. La baisse d’activité des plateformes américaines expliquent principalement cette baisse de production.

Sur les métaux précieux, l’once d’or se dirige quant à elle vers une perte sur la semaine. L’once d’or semble se stabiliser autour des $1200 en attendant la réunion de la Fed à la fin du mois. Elle cotait ce matin en dessus de ce seuil symbolique à $1197.85.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°2 - 9H00

UBS daily roundup - Does Greece slip up?

Paul Donovan daily briefing.

• Euro consumer price data will probably be negative on the year, but this is not deflation. Deflation is a general decline in prices not one price falling and other prices rising (Mr Draghi, please take note). We see Euro inflation rising over the remainder of the year.

• US consumer price data should show support from housing (a "price" that no one actually pays) and very little effect from the dollar (exporters to the US will match US producer prices as a rule, regardless of currency). We also have rising US inflation this year.

• The UK has labour market data – a political football given the election campaigning. The data should show further labour market strength as firms have seemingly chosen to invest in labour rather than capital (implying lower productivity and higher employment).

• The Greco-German drama continues in Europe. The EU Commission said negotiations need to be more intense for a deal to be done at the Eurogroup's cosy little chat in Riga next week (can they get more intense?). The IMF's Lagarde said she wants her money back.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 8H00

Élections au Royaume-Uni

Bulletin hebdomadaire de J.P.Morgan Asset Management.

- Les élections générales qui vont se tenir dans moins de quatre semaines au Royaume-Uni semblent bien parties pour être les plus incertaines de la période contemporaine

- Il existe plus de huit scénarios plausibles, situation qui suggère des négociations post-électorales particulièrement laborieuses

- Les actifs britanniques (plus spécialement la livre sterling et le FTSE) pourraient se retrouver sous pression au cours de cette période

Dans moins de quatre semaines, vont se tenir au Royaume-Uni les élections générales largement considérées comme les plus incertaines de ces dernières années. Les sondages d’opinion attribuant au parti travailliste et au parti conservateur environ 34 % des intentions de vote, aucun des deux principaux partis ne semble donc à même de parvenir à se constituer une majorité parlementaire. Les pronostics des bookmakers tablent sur une probabilité de 80 % d’absence de contrôle d’ensemble après les élections, ce qui suggère un gouvernement de coalition à la couleur politique nuancée. Mais pourquoi une telle évolution pourrait-elle être inquiétante pour les actifs britanniques ? Après tout, les coalitions sont largement répandues en Europe, et la stabilité de l’alliance conservateurs/libéraux-démocrates au pouvoir au Royaume-Uni a surpris de nombreux analystes politiques.

En deux mots, il existe une incertitude à la fois sur la nature de toute coalition et sur le processus selon lequel elle se formera. La montée des partis concurrents – le SNP (Scottish National Party), l’UKIP (UK Independence Party) et le Green Party – apporte une nouvelle complexité au calcul, à la fois en termes de nombre de sièges gagnables par ces partis et sur la façon dont ils pourraient perturber les schémas traditionnels de vote favorables aux grands partis. Prise séparément, la popularité du parti Liberal Démocrates a fortement reculé, ce qui suggère que son rôle antérieur d’éminence grise a peu de chance de se répéter. A l’inverse, les pronostics et les résultats des sondages annoncent l’émergence du SNP à la troisième place.

Les pronostics des bookmakers suggèrent jusqu’à huit scénarios plausibles à l’issue de cette élection, le résultat “stable” au sens traditionnel (une majorité pour l’un des grands partis ou une coalition centriste) n’étant créditée que d’une probabilité de un contre trois. Cette situation ouvre la porte à une période d’incertitude, les partis jouant du coude pour former un gouvernement viable. Un nouvel élément entre en ligne de compte dans les calculs post-électoraux (le référendum sur le maintien du Royaume-Uni au sein de l’Union européenne promis par les conservateurs et exigé par l’UKIP), ce qui pourrait bouleverser l’idée habituelle selon laquelle le centre droit est un solide soutien pour l’économie.

En prenant du recul, on s’aperçoit qu’une question de nature philosophique prend forme : le système politique du Royaume-Uni est-il en train d’évoluer du bipartisme vers le multipartisme. Sans doute, le système uninominal majoritaire à un tour du Royaume-Uni pourrait devenir de plus en plus incompatible avec le processus électoral, si le Royaume-Uni devait évoluer vers un système multipartite. L’un des attraits des actifs britanniques aux yeux des investisseurs internationaux est traditionnellement leur statut de valeur refuge – largement renforcé par un solide droit de propriété et un régime parlementaire prévisible. Si, fondamentalement, un système bipartite ou multipartite est parfaitement légitime et fonctionnel, la transition de l’un à l’autre n’est pas sans risques ni tensions.

Les élections du 7 mai vont peut-être apparaître rétrospectivement comme un tournant important dans la transition du bipartisme vers le multipartisme. Celle-ci étant en cours peut introduire une certaine volatilité pour les actifs britanniques et, au moins pendant un certain temps, provoquer une hausse des primes de risque sur le Royaume-Uni. Les âpres négociations qui devraient s’ouvrir à la suite des élections pourraient amplifier ces risques, en particulier si le Royaume-Uni se retrouve avec un gouvernement minoritaire ou une coalition reposant sur d’importantes concessions faites à un parti minoritaire.

Les cinq dernières années montrent que le Royaume-Uni est parfaitement capable de fonctionner dans le cadre d’une coalition gouvernementale. Cependant, l’élection de 2015 devrait se traduire par une compétition bien plus serrée entre les principaux partis et faire apparaître l’influence nettement accrue des nouveaux partis. La formation de la coalition conservateurs/libéraux-démocrates en 2010 n’a demandé que cinq jours et a évité d’importantes perturbations de marché ; mais, cette fois-ci, le contexte pourrait rappeler davantage l’incertitude politique du début des années 1970. L’expérience d’un gouvernement minoritaire en 1974 n’incite pas à l’optimisme : le gouvernement travailliste minoritaire n’a duré que d’avril à octobre, avant la tenue d’une seconde élection qui a donné une majorité de trois sièges au parti travailliste. Au cours de cette période, la livre sterling a reculé de 5 % contre le dollar U.S. et les actions britanniques ont chuté de 43 %, réalisant ainsi une sous-performance de 22 % par rapport à leurs homologues des États-Unis.

Selon nous, la plupart des marchés financiers anticipent une issue plus proche de celle de 2010, alors que les pronostics politiques suggèrent un niveau d’incertitude ressemblant davantage à celui qui prévalait en 1974. Nous ne doutons pas que, dans le temps, le Royaume-Uni s’adaptera à un système multipartite, s’il s’agit bien de la direction qu’emprunte le contexte politique du pays. Mais, dans tout processus, il existe des points de friction et les conséquences de l’élection de 2015 pourraient engendrer une période de volatilité.

Un autre sujet de préoccupation est l’important déficit budgétaire du Royaume-Uni et le déficit de 5,5 % de la balance courante – le pire enregistré depuis 1961. Les données historiques suggèrent que la combinaison d’un double déficit avec l’incertitude politique est néfaste pour la livre. Ainsi, tout résultat électoral perçu comme renforçant les pronostics de sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne ou compromettant la discipline budgétaire, pourrait être négatif pour cette devise.

Dans ces conditions, comment un investisseur multi-actifs devrait-il aborder l’élection à venir ? Selon nous, la devise est immédiatement vulnérable. Non seulement l’incertitude politique est un problème pour la livre, mais tout résultat qui aurait pour conséquence un affaiblissement des engagements de réduction des déficits pourrait rapidement orienter les projecteurs sur la faiblesse de l’équilibre budgétaire et de la balance commerciale. Ce seul fait pourrait détourner les investisseurs internationaux des actifs britanniques dans leur ensemble.

Les précédents historiques suggèrent que les actions britanniques réagissent mal à l’incertitude politique mais en même temps, qu’elles offrent à la fois des rendements attractifs et des qualités défensives. Dans l’ensemble, nous estimons que l’incertitude politique constitue un motif d’inquiétude, susceptible de s’aggraver au fur et à mesure que durera la formation d’un gouvernement après l’élection. Nous maintenons donc une légère sous-pondération sur les actions britanniques, appelée à devenir progressivement plus négative si les négociations post-électorales traînent en longueur.

Les Gilts (obligations d’Etat britanniques) sont soutenues par la demande internationale de duration et l’incertitude qui devrait suivre l’élection pourrait renforcer la demande intérieure pour les actifs “sans risque” du Royaume-Uni. Les Gilts pourraient cependant se montrer vulnérables à toute coalition adoptant une position fermement anti-austérité. Si le dérapage budgétaire est un risque dans les combinaisons échafaudées pour constituer une coalition, il est peu vraisemblable qu’une coalition, même très orientée à gauche, inverserait les économies budgétaires à titre de geste d’ouverture politique. Ainsi, en résumé, nous restons circonspects sur les actifs britanniques d’ici aux élections, en optant pour une sous-pondération sur la livre sterling et une certaine prudence sur les actions de ce pays.

Réflexions diverses :

- Pourquoi un parlement sans majorité constitue-t-il l’hypothèse centrale des organismes de sondage et des bookmakers ? Pour une raison simple : à moins de quatre semaines de l’échéance décisive, les deux principaux partis,conservateur et travailliste, se sont stabilisés à environ 33% des intentions de vote. Les calculs traditionnels indiquent qu’il manquerait au Labour sept sièges pour recueillir la majorité, de telle sorte que, avec les libéraux-démocrates crédités de 10% dans les intentions de vote (ce qui équivaudrait à 24 sièges),cette situation impliquerait une coalition travaillistes/libéraux-démocrates (en règle générale, au moins 40% des suffrages sont nécessaires pour garantir une majorité en état de fonctionner). Mais les calculs traditionnels des sondages ne tiennent pas compte du transfert des voix vers le SNP attendu en Ecosse, qui pourrait coûter au Labour plus de 40 sièges. Ainsi, en réalité, il pourrait manquer, tant au Labour qu’aux conservateurs, 40 à 50 sièges pour disposer d’une majorité, si l’on en croît les sondages actuels.

- En tenant compte des sièges que pourrait gagner le SNP en Ecosse, il faudrait quele parti travailliste recueille quatre à cinq points de pourcentage supplémentaires pour avoir un espoir de majorité ; quant aux conservateurs, ils auraient besoin d’un sursaut encore plus important : 3% de plus que le vote obtenu en 2010 (soit six à sept points de plus que leur position actuelle). Le dernier gouvernement au pouvoir qui a réussi à faire progresser son score électoral après une législature complète a été celui d’Anthony Eden en 1955, époque à laquelle le mouvement n’a été que de 1,5 points. La probabilité de voir se constituer un parlement sans majorité paraît donc particulièrement élevée.

John Bilton

Document produit par l’équipe Global Multi Asset Group de J.P. Morgan Asset Management.
Édité par David Shairp, Stratégiste.
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TAUX D'INTERET LEGAL

L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".

Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".

Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.

L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."


Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 17 Avril 2015




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